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Le roi de Sardaigne investit à Nice
FRANCE

Le roi de Sardaigne investit à Nice

par JMS 11 mars 2025

Le roi de Sardaigne investit à Nice est le premier épisode d’une histoire qui rappelle l’évolution de la cité jusqu’à la Révolution française.

 » Lorsque le 20 février 1773, Victor-Amédée III monta sur le trône des rois de Sardaigne, les finances de l’Etat étaient si prospères et florissantes, qu’il n’hésita point de continuer avec ardeur, les grands travaux commencés par son père, Charles-Emmanuel III, tant en Piémont, que dans notre Comté de Nice.

Il fit d’abord réparer et ouvrir aux voitures, la grande route muletière, dite Ducale, qui de Limone, par le col de Tende, aboutissait à Nice, où on avait déjà creusé, dans la carrière de Saint-Recoubré, le beau port de Limpia, qu’il fit agrandir.

Commencé en 1749, sous la direction du comte Robilant, ingénieur civil des Etats Sardes, on posa solennellement la première caisse du môle, le 22 juillet 1750, d’après les uns, le 9 septembre 1751, d’après les autres.

La présence du marquis de Sainte-Julie, gouverneur de Nice, des autorités civiles et militaires, et le grand concours de la population niçoise, consacrèrent cette fête du commerce et du travail.

Le roi de Sardaigne investit à Nice se poursuit avec l’épisode intitulé « Le nouveau port de Nice ».

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Une impératrice sur la promenade des Anglais
FRANCE

Une impératrice sur la promenade des Anglais

par JMS 22 octobre 2025

Une impératrice sur la promenade des Anglais est un article qui rappelle la venue de cette altesse russe.

 » L’impératrice de Russie est à Nice.

Sa majesté a fait son entrée dans le carrosse à quatre chevaux du roi de Sardaigne, qui était allé l’attendre à Villafranche-sur-Mer, avec coureur, escorte et tout.

Le docteur Kavell est le médecin ordinaire de l’impératrice ; M. de Storch, secrétaire des commandements; M. Waldeil, employé aux comptes de la cour.

C’est à ce dernier qu’Alphonse Karr aura affaire pour le règlement des fraises, violettes de Parme, choux de Bruxelles, volailles grasses et autres importations poétiques ou succulentes qu’il a introduites à Nice et qu’il est en possession de fournir aux têtes couronnées.

L’impératrice a choisi pour son logement la belle villa de Orestis, qui le dispute sur la promenade des Anglais, au bord de la mer, à la somptuosité de la villa Avigdor.

Elle se promène sans cesse, quand elle n’est pas malade, dans sa voiture à deux chevaux, devant laquelle court un heiduque galonné, et toute sa livrée est d’ailleurs magnifique.

Elle-même se contente du simple chapeau rond à plume blanche des baigneuses, ce qui ne la différencie pas des mille et une Anglaises ambiantes dans la contrée, mais ne l’empêche pas d’être entourée partout des plus respectueux hommages. »

Une impératrice sur la promenade des Anglais est un texte déniché dans le livre « L’année anecdotique » de Félix Mornand, publié en 1860.

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Monaco sans le sou
MONACO

Monaco sans le sou

par JMS 11 août 2025

Monaco sans le sou est le premier épisode d’une série consacrée à la création du Casino de Monte-Carlo.

« Monaco, cette principauté souveraine qui se mire dans les flots bleus de la Méditerranée n’a guère plus grand de territoire que la butte Montmartre en y ajoutant le cimetière.

On arrive de Nice à Monaco en trente, minutes, laissant sur la droite de la gare du chemin de fer l’étonnante capitale de l’Etat monégasque perchée sur un roc, sorte de cap fleuri qui s’avance dans la mer.

Le prince Charles III tient sa cour au sommet de la montagne, dans un petit palais à l’italienne qu’on a voulu rendre quelque peu imposant en plaçant à l’entrée de vieux canons, dérobés à la boutique d’un antiquaire plutôt qu’à un musée d’artillerie.

Longtemps, les princes de Monaco furent réduits à la portion congrue ; la gêne était même entrée dans leur maison, depuis qu’en 1848, le royaume de Sardaigne s’était annexé une partie des Etats princiers. »

Monaco sans le sou se poursuit avec l’épisode « Les Spélugues à Monaco ».

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La Fête de l'Annexion à Nice
FRANCE

La Fête de l’Annexion à Nice

par JMS 19 juin 2025

La Fête de l’Annexion à Nice est un article qui rappelle les festivités auxquelles ont donné lieu la réunion du comté de Nice à la France.

« Le procès-verbal de la remise et de la réception de l’arrondissement de Nice vient d’être signé au palais du Gouvernement, à midi, en ce 14 juin 1860, par M. le Commissaire extraordinaire du Roi de Sardaigne et par le représentant français M. Piétri, en présence de Mgr l’Évêque, du Conseil municipal et de toutes les Autorités civiles et militaires de la ville aux cris de Vive l’Empereur ! Vive Victor-Emmanuel !

Pendant la signature, le pavillon Sarde a été amené et remplacé par le pavillon Français, l’un et l’autre successivement salués par 21 coups de canon.

A l’apparition du pavillon Français, la foule, réunie et compacte malgré une pluie ballante a poussé une clameur immense et longuement répétée de Vive l’Empereur !

Un Te Deum a été chanté avec une pompe inaccoutumée par Mgr l’Évêque et son clergé dans la Cathédrale de Sainte-Reparate envahie dès le matin par la multitude.

Le Te Deum a été suivi d’une revue des troupes du 90ème de ligne. Le 8e hussards, le bataillon de gendarmerie ont défilé aux cris de Vive l’Empereur, Vive l’Impératrice, Vive le Prince Impérial, que la foule répétait avec enthousiasme.

La proclamation de M. Piétri aux habitants de Nice a été affichée à partir de midi ; elle est lue avec avidité par la population.

La ville est tout entière dans une joie que rien ne peut décrire toutes les fenêtres sont pavoisées ; on fait les apprêts d’une illumination générale et les plus pauvres quartiers ne sont pas les moins empressés.

Ce soir, M. Piétri donne à M. le Commissaire extraordinaire du Roi de Sardaigne un banquet auquel assisteront toutes les Autorités religieuses civiles et militaires.

Dimanche prochain, il y aura une nouvelle fête.

L’annonce définitive de la réunion se répand depuis hier au soir dans les campagnes et partout elle est accueillie avec une indescriptible émotion au cri de Vive l’Empereur ! »

La Fête de l’Annexion à Nice est un texte découvert dans le « Journal des Pyrénées-Orientales » du 19 juin 1860.

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Monaco occupé par les Anglais
MONACO

Monaco occupé par les Anglais

par JMS 5 mars 2025

Monaco occupé par les Anglais est une histoire qui raconte leur arrivée après le retour de Napoléon 1er de l’île d’Elbe.

« Le 13 mars 1815, le colonel Burke de l’armée anglaise s’est présenté au palais princier de Monaco.

Il était porteur d’une lettre de M. d’Azorque, commandant à Nice pour le roi de Sardaigne, avisant le prince de Monaco que le colonel avait l’ordre d’occuper Monaco.

Le prince de Monaco s’opposa à cette occupation, estimant que le récent traité de Paris du 30 mai 1814 avait rétabli la souveraineté de la principauté dans ses anciens rapports avec la France et que, par conséquent, si occupation il devait y avoir, elle devait être faite par des troupes françaises.

Le colonel Burke répondit qu’il ne connaissait que son devoir et que son devoir lui commandait d’occuper la place.

N’ayant pas les moyens de résister et ne souhaitant pas mettre en danger les braves gens qui l’entouraient, le prince de Monaco accepta sous la contrainte cette occupation.

Dans la foulée, les troupes anglaises entrèrent à Monaco. »

Monaco occupé par les Anglais est un article inspiré par la « Gazette nationale » du 14 avril 1815.

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Le port franc de Nice
FRANCE

Le port franc de Nice

par JMS 20 janvier 2025

Le port franc de Nice est un récit qui rappelle les privilèges accordés pour développer le trafic maritime de la Savoie.

 » On peut faire remonter jusqu’au moyen âge l’origine de la franchise du port de Nice.

Charles d’Anjou, devenu comte de Provence, y créa un arsenal maritime en 1250, avec darse intérieure, tandis qu’au dehors des murailles, à leur pied, une jetée protégeait le port Saint-Lambert.

Mais la darse était petite et le port peu sûr.

Tout à côté, la merveilleuse rade de Villefranche, enserrée malheureusement de trop près par des montagnes escarpées pour qu’une ville importante pût se développer sur ses bords, le complétait et donnait un abri aux navires par les gros temps.

Charles y créa un port en 1280 et, pour attirer-des habitants, accorda des privilèges qui valurent le nom de Villefranche à la nouvelle cité.

Les Génois en furent si inquiets qu’ils en réclamèrent la suppression au fils de Charles d’Anjou, en 1285, et voulurent la lui imposer par une guerre qui dura jusqu’en 1302.

Au début du XVIIe siècle, la darse et la jetée du port Saint-Lambert n’existaient plus, détruites par des tempêtes au XVIe siècle ; Villefranche restait le seul port de Nice.

Les vieux privilèges des deux villes avaient été solennellement confirmés à perpétuité par le pacte conclu avec le duc de Savoie, quand les Niçois, se séparant de la Provence par hostilité pour le comte Louis d’Anjou, s’étaient donnés au duc Amédée VII, en 1388.

Mais c’est en 1666 que la franchise de Nice et de Villefranche fut définitivement établie et organisée par le duc qui voulut, peut-être, imiter l’exemple donné par Louis XIV à Dunkerque.

Cependant, Nice et Villefranche n’en étaient-pas moins trop mal placées pour devenir de grands marchés commerciaux.

Adossées aux Alpes, trop près de Marseille et de Gènes, elles n’étaient pas capables de rivaliser avec des ports aussi anciennement maîtres du trafic que le duc de Savoie aurait voulu leur disputer.

Quant au Piémont et à la Savoie, ni leurs productions, ni leur industrie, ne pouvaient alimenter un trafic assez actif pour attirer en. grand nombre les négociants et les navires étrangers.

La franchise fut donc insuffisante pour transformer Nice qui resta, jusqu’à sa réunion à la France, une place de médiocre importance.

Les Niçois, cependant, tenaient à leur franchise et les rois de Sardaigne la maintinrent pendant tout le dix-huitième siècle. En 1724, Victor Amédée II l’avait confirmée par un édit du 30 janvier.

En 1748, le port actuel fut creusé à l’est du château. Aussitôt un acte royal du 12 mars 1749 renouvela la déclaration de franchise pour Nice et pour Villefranche.

A la veille de la Révolution française, il avait été fortement question de créer « un nouveau port plus grand, plus sûr, auquel on aurait donné la franchise absolue. Les événements ne permirent pas de réaliser ces projets.

Réunie à la France en 1793, Nice perdit aussitôt son port franc pour le recouvrer en décembre 1817 seulement, à la suite des réclamations qu’elle adressa au roi Victor Emmanuel.

Les nouveaux rois de Sardaigne voyaient-ils dans les privilèges de Nice des vestiges gênants du passé ? Les Génois, nouveaux sujets des Etats Sardes, y étaient-ils hostiles ? Le 11 juin 1851 parut une Ordonnance royale qui supprimait le port franc.

Mais les Niçois y étaient restés beaucoup plus attachés qu’on ne pensait. La Municipalité envoya une protestation énergique.

Une pétition qui circulait sur les places publiques recueillit en trois jours plus de 11.000 signatures.

Pour empêcher une insurrection menaçante, le gouvernement fit arrêter les membres du Conseil municipal qui avaient pris la direction du mouvement. Il fallut recourir à la troupe et faire faire les sommations légales pour disperser la foule ameutée à la suite de ce coup de force.

Le résultat fut que le gouvernement sarde devint odieux aux Niçois.

Le port franc de Nice avait eu une longue histoire obscure. Pourtant, ce dernier épisode montre bien qu’il avait contribué à la prospérité de la ville.

L’histoire des franchises n’offre même aucun autre exemple d’essai de soulèvement d’une population pour empêcher la suppression. »

Le port franc de Nice est un texte trouvé dans le livre « Ports francs d’autrefois et d’aujourd’hui » par Paul Masson, publié en 1904.

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Incident de frontière à Gattières
FRANCE

Incident de frontière à Gattières

par JMS 13 janvier 2025

Incident de frontière à Gattières est une histoire qui raconte un malheureux évènement entre la France et la royaume de Sardaigne.

 » En 1726, un homme, arrêté par une brigade de la maréchaussée française sur un chemin voisin de Gattières, alors en territoire sarde, cherche à se sauver et est tué.

Le chemin appartient-il à la France ? à la Sardaigne ? est-il commun aux deux états ?

Le 9 juillet, à Aix, Lebret, premier président et intendant de Provence, délègue Louis de Lombard de Gourdon, chevalier, seigneur de Gourdon, lieutenant-général au siège de Grasse.

Le 24 septembre, à Villefranche, le comte de Chamousset, « gouverneur de la ville et du fort de Villefranche, commandant de la ville de Nice et du comté de Nice », délègue François Audiberti, sénateur de Nice.

En octobre, les deux commissaires, accompagnés de gens de Gattières (Sardaigne) et de Saint-Jeannet (France), examinent les lieux et le 13, ils conviennent que le chemin est sarde.

Le 11 novembre, le comte Maffei écrit de Paris au roi de Sardaigne — dont il était sans doute l’ambassadeur — que Louis XV a ordonné d’arrêter, puis de détenir au fort Saint-Jean à Marseille, jusqu’à ce que S. M. de Sardaigne demande sa grâce, le brigadier qui commandait le détachement de la maréchaussée et des soldats qui ont commis l’attentat sur le territoire de Gattières.

Le 23, le roi de Sardaigne ordonne à Maffei de solliciter sa grâce. »

Incident de frontière à Gattières est un texte trouvé dans les « Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes » de 1907.

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Restauration à Monaco
MONACO

Restauration à Monaco

par JMS 24 septembre 2024

Restauration à Monaco est une histoire qui raconte comment le Prince a retrouvé sa principauté après la chute de Napoléon.

 » Après la chute de l’Empire, le premier traité de Paris, 30 mai 1814, rétablit l’ancien ordre des choses.

Après avoir réglé la situation des divers Etats de l’Europe, Talleyrand y fit ajouter ces mots : « Et le Prince de Monaco rentrera dans ses Etats. »

Par ailleurs, l’article 8 disait : « La Principauté est replacée dans la position qu’elle occupait avant le i er janvier 1792. »

Le drapeau des Grimaldi fut arboré sur le Palais le 17 juin 1814.

Mais le roi Louis XVIII, malgré les instances du Prince, n’envoyait pas la garnison de 500 hommes que, d’après le traité de Péronne, la France était tenue d’entretenir à Monaco.

Le gouverneur général de la Principauté, qui était alors M. de Millo-Terrazzani, dut lever et équiper une compagnie de cadets pour fournir les postes de la Principauté.

Après Waterloo, lorsque la Sainte-Alliance conclut le traité de paix de Paris du 20 novembre 1815, le protectorat de Monaco fut transféré à la Sardaigne, qui s’empressa de faire occuper la place par une garnison.

Les troupes sardes occupèrent Monaco jusqu’en 1859.

Le 18 janvier de celte année, le vapeur Malfatano entra dans le port de Monaco et embarqua les troupes piémontaises qui étaient envoyées sur la frontière d’Autriche où la guerre allait commencer. »

Restauration à Monaco est un texte extrait des « Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes » de 1882.

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Nice avant la France (1)
FRANCE

Nice avant la France (1)

par JMS 13 septembre 2024

Nice avant la France (1) est un récit qui reprend les souvenirs de M. R. Morrison sur la ville en 1843.

« Quand j’ai connu Nice, nous dit-il, le comté faisait alors partie du territoire du Royaume de Sardaigne, et la frontière française était à la rivière du Var.

Il n’y avait pas de quais au Paillon, il n’y avait pas de Jardin Public, ni de Promenade des Anglais.

Le bureau de Poste était alors à l’extrémité est de la rue du Pont Neuf, et était un établissement très primitif.

En venant à l’ouest du bureau de Poste, du côté nord de la rue, se trouvait un entrepôt anglais de tapis et de meubles tenu par un Anglais nommé Messiah, et à côté se trouvait l’échoppe de Mme Hammand, une couturière anglaise.

A l’angle de la place Saint-Dominique, côté ouest, le consul britannique avait son bureau.

À l’extrémité ouest de la rue se trouvait Weeks, le tailleur et mercier anglais.

Une autre maison de commerce anglaise était celle de M. Berlandina, épicier, qui était située rue Saint-François do Paule, tout près du théâtre.

Le marché à cette époque, et de nombreuses années après, se tenait sur la Piazza St. Reparata, et de 7h à 10h tous les matins, toutes les rues étroites qui y menaient étaient presque bloquées par les acheteurs et les vendeurs.

Le Corso Saleya et la Terrasse étaient les promenades à la mode.

Ce qui m’a paru très notables, c’étaient alors les habitudes observées par les Niçois : se lever tôt et se coucher à huit ou neuf heures du soir. Alors qu’à sept heures du matin la ville était aussi animée qu’à midi maintenant, le soir tout était calme à huit ou neuf heures. »

Nice avant la France (1) est un texte découvert dans le journal « The Nice Times » du 20 décembre 1885. Cet article a une suite intitulée Nice avant la France (2).

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La France perd Nice
FRANCE

La France perd Nice

par JMS 25 juillet 2024

La France perd Nice raconte les conséquences du traité de Paris après le départ de Napoléon pour l’île d’Elbe.

 » La France envahie, Napoléon est déchu par le Sénat le 3 avril 1814 et est exilé, par les Alliés, sur l’île d’Elbe.

Les vainqueurs discutent à Paris.

On laisse à la France une partie de la Savoie, mais le sort de Nice est encore en discussion.

Une influence personnelle fit pencher la balance en faveur de la maison de Savoie.

Le tsar de Russie Alexandre avait pour aide de camp un officier originaire de Nice, le comte Michaud, qui, après avoir fait partie de l’armée piémontaise jusqu’à l’armistice de Cherasco, était passé alors au service de la Russie, où il était devenu major général.

Il céda aux sollicitations de cet aide de camp de confiance, et, un traité fût signé à Paris le 30 mai 1814.

Et, le 12 juin 1814, un général piémontais, octogénaire et infirme, le commandeur Caquéron d’Osasque, vint, au nom du roi de Sardaigne, remplacer le préfet Dubouchage, qui emporta les sympathies de tous ses anciens administrés. »

La France perd Nice est un texte tiré de la « Revue contemporaine » du 1er janvier 1860.

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