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"Saint-Jean"

Bouillabaisse de Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

Bouillabaisse de Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 24 mai 2023

Bouillabaisse de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un récit qui rappelle les traditions culinaires de la ville.

 » Il faut aller visiter la madrague du golfe de Saint-Hospice, destinée à la pêche du thon, et que l’on dresse d’ordinaire en février ou mars.

Le propriétaire, M. Giosan, habitant de Nice, indique obligeamment l’heure à laquelle on fait la levée des filets, qui a lieu trois fois par jour.

C’est à Saint-Hospice que l’on va se régaler du fameux bouilla-baïsso, matelotte nationale, d’un goût particulier, et qui doit être mangée sur place.

Il sera nécessaire d’avertir la veille, ou mieux encore l’avant-veille, la cabaretière Gioanetta, afin qu’elle ait le temps de se procurer le poisson.

Il faut, pour le bouilla-baïsso du poisson d’élite, pris dans le roc et qui est plus savoureux.

Pendant les préparatifs du repas, si la madrague en laisse le loisir, on ira visiter la tour de l’église, à la pointe de Saint- Hospice.

La vigne que l’on traverse donne un vin blanc fort agréable : on en demandera pour arroser la bouillabaisse. »

Bouillabaisse de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un texte repêché dans le livre « L’Italie confortable » de M. Valery, édité en 1842.

Cliquez ICI pour lire une nouvelle histoire.

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Luther à Nice
FRANCE

Luther à Nice

par JMS 1 juillet 2025

Luther à Nice est un récit qui rappelle que ce prêtre à l’origine de la Réforme protestante a prêché dans cette ville.

« La rue Sincaïre est une voie qui conduit au cœur de la vieille ville de Nice.

Le nom de cette rue vient d’une tour pentagonale qui se trouvait, dans les environs (en patois : tour cinq caïre).

C’est là que Catherine Ségurane s’illustra lors du siège de Nice en 1543.

Au haut de cette rue est un vieux couvent transformé aujourd’hui en caserne, la caserne Filley.

L’église Saint-Martin qui se trouve à côté et que l’on appelle église Saint-Augustin est restée célèbre.

Martin Luther y a célébré la messe le 20 juin 1534, ainsi qu’en fait foi un manuscrit conservé dans la sacristie. »

Luther à Nice est un texte découvert dans le livre « Nice pratique et pittoresque » de A. Lacoste et G. Pietri, publié en 1893.

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Incident de frontière à Gattières
FRANCE

Incident de frontière à Gattières

par JMS 13 janvier 2025

Incident de frontière à Gattières est une histoire qui raconte un malheureux évènement entre la France et la royaume de Sardaigne.

 » En 1726, un homme, arrêté par une brigade de la maréchaussée française sur un chemin voisin de Gattières, alors en territoire sarde, cherche à se sauver et est tué.

Le chemin appartient-il à la France ? à la Sardaigne ? est-il commun aux deux états ?

Le 9 juillet, à Aix, Lebret, premier président et intendant de Provence, délègue Louis de Lombard de Gourdon, chevalier, seigneur de Gourdon, lieutenant-général au siège de Grasse.

Le 24 septembre, à Villefranche, le comte de Chamousset, « gouverneur de la ville et du fort de Villefranche, commandant de la ville de Nice et du comté de Nice », délègue François Audiberti, sénateur de Nice.

En octobre, les deux commissaires, accompagnés de gens de Gattières (Sardaigne) et de Saint-Jeannet (France), examinent les lieux et le 13, ils conviennent que le chemin est sarde.

Le 11 novembre, le comte Maffei écrit de Paris au roi de Sardaigne — dont il était sans doute l’ambassadeur — que Louis XV a ordonné d’arrêter, puis de détenir au fort Saint-Jean à Marseille, jusqu’à ce que S. M. de Sardaigne demande sa grâce, le brigadier qui commandait le détachement de la maréchaussée et des soldats qui ont commis l’attentat sur le territoire de Gattières.

Le 23, le roi de Sardaigne ordonne à Maffei de solliciter sa grâce. »

Incident de frontière à Gattières est un texte trouvé dans les « Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes » de 1907.

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La messe des offertes à Villefranche
FRANCE

La messe des offertes à Villefranche

par JMS 26 décembre 2024

La messe des offertes à Villefranche est un récit qui raconte une tradition populaire qui engage les différentes corporations de la ville.

 » Dans l’église du port de Saint-Jean, commune de Villefranche, dans les Alpes-Maritimes a lieu, au moment de la messe de minuit, une curieuse cérémonie.

Elle fut célébrée à la Noël de 1887, et avec éclat.

A un certain moment de la messe de minuit, que les gens du pays appellent la messe des offertes, le curé s’assied sur une espèce de trône placé devant l’autel, et il tient dans ses bras un enfant nouveau-né, ou tout au moins aussi jeune que possible.

Un vieux patron pêcheur et un jeune mousse arrivent alors, et is engagent entre eux un dialogue sur un thème fixé d’avance et formulé en vers niçois.

Lorsqu’il est fini, l’un des deux interlocuteurs sort de l’église, et bientôt il y rentre suivi d’une sorte de procession.

A la tête sont les pêcheurs qui chantent un chœur et portent des filets et un petit bateau symbolique.

Quelques-uns ont des corbeilles remplies de poisson, qu’ils déposent aux pieds du curé ; ils sont suivis par les bergers qui offrent un mouton blanc, par les chasseurs qui font une offrande de gibier, puis viennent les autres corporations locales qui apportent aussi leur petit présent.

Lorsque le défilé est fini, le curé se lève de son trône, remet l’enfant à sa mère ou à sa nourrice, puis il achève la messe.

La même cérémonie se pratiquait, il y a cinquante ans, dans plusieurs paroisses de notre littoral, notamment à Saint-Pierre d’Arène, petite église de l’ancien faubourg de Nice, qui remplaça celle du grand couvent de Sainte-Croix.

Aujourd’hui encore, dans les environs de Menton, l’offerte de l’agneau blanc par les bergers se pratique à la messe de minuit, mais c’est à Saint-Jean seulement que la cérémonie a lieu en grande pompe, avec des costumes adaptés à la circonstance et de multiples offrandes. »

La messe des offertes à Villefranche est un texte extrait de la « Revue des Traditions populaires » de janvier 1888.

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Les Templiers de Comps
FRANCE

Les Templiers de Comps

par JMS 18 décembre 2024

Les Templiers de Comps est une histoire qui raconte le riche passé de ce village du Var.

 » Comps-sur-Artuby s’étage sur le flanc d’un coteau à 900 mètres d’altitude moyenne.

Le village se trouve sur la route de transhumance, suivie par d’innombrables troupeaux de moutons montant l’été des plaines de Provence vers les hauts pâturages des Alpes et descendant à l’automne vers la Camargue

L’histoire de Comps nous est inconnue avant le XIIème siècle.

Le pays, qui devait déjà avoir quelque importance à cette époque devint alors le siège d’une commanderie des Templiers ; ils y édifièrent, sur le coteau dominant le village, une église qui subsiste encore en bon état et a été classée comme monument historique.

Après l’abolition des Templiers, en 1312, Comps devint le chef-lieu d’une commanderie de l’Ordre de Malte, jouissant de revenus assez considérables.

Dans les premières années du XVIème siècle, les chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem devinrent les seuls seigneurs du pays.

Mais pendant le siècle précédent, au cours de la guerre entre Charles d’Anjou et Charles de Duras, qui se disputaient avec acharnement la succession de la reine Jeanne, Comps vit tomber les remparts qui l’entouraient, et qui étaient assez forts pour soutenir un long siège.

Le bourg fut également détruit, et les habitants allèrent s’établir dans la campagne, où ils bâtirent des hameaux.

Cependant quelques-uns vinrent à la paix relever la petite ville de ses ruines. elle fut bâtie en amphithéâtre sur le versant Sud du coteau aride de la chapelle des Templiers.

Actuellement, comme dans la plupart des communes de Provence, les habitants ont une tendance à descendre vers la plaine. »

Les Templiers de Comps est un texte trouvé dans le mensuel « Le Var illustré » de janvier 1921.

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Tourisme à Nice
FRANCE

Tourisme à Nice

par JMS 13 novembre 2023

Tourisme à Nice est un récit qui décrit la ville pendant la période du premier Empire.

« Les anciens quartiers de la ville de Nice ne sont point agréables.

Les vieux quartiers

Ils n’occupent guère qu’un quart de lieue sur la pente occidentale d’un rocher, sur Ie sommet duquel était un château depuis détruit.

Les rues en sont étroites, souvent tortueuses, sombres et sales.

Les nouvelles, dues à Sa Majesté Sarde, ont une beauté qui vient plutôt de leur régularité que de la somptuosité des édifices dont elles sont décorées.

La porte d’Italie est belle quoique simple ; elle mène à une assez grande place, qui est celle de Napoléon. Cette place est carrée et régulière quant aux bâtiments ; le plus beau, faisant face à la rue Napoléon est l’église des Pénitents Blancs.

Cette place a plusieurs ouvertures, une qui donne sur le rempart et mène à Villefranche, et une autre qui conduit vers le port.

Il est une autre place fort grande, qu’on nomme Impériale ; sur celle-ci est la boulangerie militaire, le quartier et l’auberge d’York.

Une plus petite est celle de la Mairie.

Les monuments publics de Nice sont peu de chose et tels que le comporte une ville dont la population ne passe guère onze à douze mille âmes, en y comptant environ mille Juifs.

Il n’y a que deux églises qui méritent d’être notées, à savoir la Cathédrale et le Jésus.

La première a une belle nef et des autels assez bien ornés. Quant à l’autre, il suffit de savoir qu’elle fut destinée aux Jésuites pour juger de toute sa solidité.

Les faubourgs

Nice a aussi ses faubourgs dont le plus considérable est celui de Saint-Jean ; les plus modernes sont ceux de la Poudrière et de la Croix-de-Marbre, où demeurent les étrangers qui viennent passer l’hiver dans cette ville.

Les habitants ont spéculé sur leur nombre en faisant construire et meubler des maisons isolées avec jardin ; leur position est très agréable, ayant vue d’un côté sur la mer et de l’autre sur une campagne très variée. « 

Tourisme à Nice est un texte découvert dans le livre « Voyage historique, chorographique et philosophique dans les principales villes de l’Italie en 1811 et 1812 , par Philippe Petit-Radel, publié en 1815.

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Torpilles à Beaulieu
FRANCE

Torpilles à Beaulieu

par JMS 24 octobre 2023

Torpilles à Beaulieu est un récit qui raconte un épisode de la fin de la seconde guerre mondiale.

 » Aux premières heures de la matinée d’hier, les habitants de Monaco, Beaulieu et Saint-Jean-Cap-Ferrat étaient réveillés par de violentes explosions successives qui ont brisé toutes les vitres, notamment à Beaulieu où les engins explosaient tout près de l’hôtel Bristol.

Il s’agirait de torpilles venues de la mer lancées sans doute par un sous-marin allemand. »

Torpilles à Beaulieu est un texte tiré du journal « La France libre » du 26 avril 1945.

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Destruction de l'église St-Nicolas à Monaco
MONACO

Destruction de l’église St-Nicolas à Monaco

par JMS 20 juillet 2022

Destruction de l’église St-Nicolas à Monaco est un article qui rappelle l’histoire des premiers édifices religieux construits dans la principauté.

 » Les titres de l’abbaye de Saint-Pons à Nice mentionnent, en 1078, parmi ses dépendances, la chapelle de Sainte-Dévote, située au nord du port de Monaco, dans le ravin des Gaumates, à l’endroit où la tradition voulait que le corps de la sainte eût abordé

De son côté, le cartulaire de l’évêché de Nice enregistre, pour cette même année 1078, la donation par des Turbiasques à l’évêque Archambaud de l’église Sainte-Marie, nouvellement construite sur le port même, tout près de l’angle sud-ouest, église dont il ne reste plus de trace depuis le XVI » siècle.

Influence de Gênes à Monaco

Il n’y a trace d’édifices religieux, comme d’habitations, sur le rocher de Monaco, qu’après que les Génois furent venus le fortifier et y construire les deux citadelles.

Au milieu du XIIIème siècle, on note l’existence de deux chapelles.

L’une, celle de Saint-Martin, existait déjà au mois de juin 1247 lorsque le pape la réunit à l’abbaye de Saint-Pons. C’est, par conséquent, la plus ancienne église construite sur le plateau elle était située tout près du Château Neuf ses vestiges ont disparu depuis le XVIIIème siècle.

La seconde chapelle est celle de Saint-Jean-Baptiste. Elle avait été construite dans l’enceinte du Château Vieux et le long du rempart au-dessus de la Condamine, dans la partie la plus rapprochée de la porte de la citadelle; elle était spécialement destinée, par la bulle de fondation du mois de décembre de la même année 1247, aux Génois habitant la forteresse ou s’y trouvant de passage.

Le pape permit, en effet, aux Frères Prêcheurs de Gênes d’en poser la première pierre et d’y administrer les sacrements.

Consécration d’une église à St-Nicolas

Le besoin d’une grande église ne dut se faire sentir que lorsque la population eut fortement augmentée ce qui put se présenter dès l’époque où la communauté monégasque reçut de la République de Gênes des privilèges semblables à ceux de Portovenere et de Bonifacio.

Cette nouvelle église allait être consacrée à Saint-Nicolas.

Aucun texte ne vient préciser l’époque exacte de sa construction. Mais, en recoupant différents documents authentiques, elle ne peut remonter au-delà de la seconde moitié du XIIIème siècle.

L’église Saint-Nicolas se composait, dans son plan primitif, d’une grande nef flanquée de bas-côtés et interrompue par un large transept au fond duquel régnait une abside rectangulaire accompagnée de quatre chapelles. Un clocher carré, sans caractère, s’élevait dans l’angle nord du transept, contre la nef.

L’édifice avait une longueur totale de trente-neuf mètres sur une largeur de vingt deux mètres au transept ; la grande nef et les bas-côtés mesuraient ensemble douze mètres de largeur.

D’aspect rudimentaire au début, elle a progressivement été agrandie et ornée de retables et de tableaux.

Depuis Honoré II, l’église Saint-Nicolas n’a plus subi de modifications appréciables jusqu’au jour de sa destruction en 1874.

En effet, elle a fait place à la cathédrale de Monaco.

Destruction de l’église St-Nicolas à Monaco s’inspire d’un texte de Gustave Saige paru dans le « Bulletin monumental » de la société française d’archéologie de 1890.

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Contrebande à St-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

Contrebande à St-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 17 janvier 2022

Contrebande à St-Jean-Cap-Ferrat raconte une histoire de trafic de marchandises sur la Côte d’Azur à la fin de la seconde guerre mondiale.

 » Les gendarmes et les agents du service des Douanes arrêtaient récemment un camion transportant frauduleusement plusieurs tonnes de marchandises diverses et de denrées alimentaires d’origine italienne.

L’enquête permit d’établir, que le trafic se poursuivait depuis quelque temps.

Les marchandises arrivaient la nuit, par mer, étaient débarquées dans une crique de Saint-Jean-Cap-Ferrat, puis expédiées vers des grandes villes, notamment à Marseille.

Poursuivant leur surveillance, les gendarmes de Saint-Jean-Cap-Ferrat arrêtaient dans la nuit de samedi à dimanche deux personnages suspects qui déclarèrent qu’un débarquement devait avoir lieu dans la nuit.

Sur les lieux, les gendarmes trouvèrent 500 kilos de riz.

Mais ils ne devaient qu’entendre le moteur de l’embarcation fantôme.

Les trafiquants avaient convenu de signaux que les policiers ignoraient, et l’embarcation reprit le large. »

Contrebande à St-Jean-Cap-Ferrat est un récit du journal « Combat » du 20 janvier 1948.

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Des trains dans les Alpes-Maritimes
FRANCE

Des trains dans les Alpes-Maritimes

par JMS 9 novembre 2021

Des trains dans les Alpes-Maritimes est un article qui relate le développement du réseau ferroviaire de la Compagnie du Sud de la France.

« Le ministre des Travaux Publics a autorisé la Compagnie des chemins de fer du Sud de la France à ouvrir à l’exploitation, le 7 juin courant, les ligne et section ci-après :

La Ligne de Grasse à Nice d’une longueur de 49 kilomètres.

Les stations et haltes sont au nombre de treize, à savoir : station de Grasse, de Magagnosc-Châteauneuf, de Bar-sur-Loup ; halte du Loup ; station de Tourrettes, de Vence, de Saint-Jeannet-la Gaude ; halte de Gattières ; station de Colomars, de Lingostière ; halte de Saint-Isidore ; station de la Madeleine, de Nice.

La section de la ligne de Nice à Saint-André, comprise entre Manda et la Tinée d’une longueur de 16 kilomètres.

Les stations et haltes sont au nombre de six, savoir : station de Manda, halte de Castagniers, station de Saint-Martin-du-Var, halte de la Roquette, station de Plan-du-Var, station de la Tinée. »

Des trains dans les Alpes-Maritimes est un texte tiré du « Journal des Transports » du 11 juin 1892.

Le « train des Pignes » est la seule ligne encore en activité de la Compagnie du Sud de la France.

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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