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"Saint-Jean"

Une école d’hydravions à Villefranche
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Une école d’hydravions à Villefranche

par JMS 18 octobre 2021

Une école d’hydravions à Villefranche est une histoire qui raconte un épisode de la vie du pilote Auguste Maïcon.

« Auguste Maïcon, né à Villefranche en 1891, se passionnera d’aviation après le meeting de Nice.

Breveté en décembre 1911 il se fait acheter par son père un Caudron avec lequel il donne des baptêmes de l’air à Nice.

Chef pilote chez Caudron il est chargé de former la première promotion de pilotes militaires.

Puis en 1914, il installe en rade de Villefranche un hydro-aéroplane dont la silhouette deviendra vite familière sur la côte tant il sera sollicité pour des promenades et autres baptêmes.

Un magnat de l’industrie américaine installé somptueusement à Saint-Jean-Cap-Ferrat, le petit-fils de l’inventeur de la machine à coudre Singer, l’engage comme pilote personnel avec un nouvel « hydro » et avec le projet de transformer le port de Saint-Jean pour y recevoir une flottille de six hydravions et y ouvrir une école.

Mais nous étions en 1914 et le projet devait avorter. »

Une école d’hydravions à Villefranche est un texte extrait du « Bulletin de l’Académie du Var » de 1990.

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Au temps de la Bourgada de Nice
FRANCE

Au temps de la Bourgada de Nice

par JMS 20 mai 2021

Au temps de la Bourgada de Nice rappelle qu’il existait un quartier populaire sur la rive droite du Paillon.

Le quartier populaire de la Bourgada

 » Les vieux Niçois, qui se promènent à petits pas sur le quai Saint-Jean-Baptiste, évoquent-ils le souvenir de l’antique bourgada qui se trouvait là et que de belles et larges avenues ont remplacé ?

Ce faubourg étroit, pittoresque, fort curieux, était une artère animée, bien vivante dans notre enfance.

Le Pont-Neuf franchi, on passait à droite devant la maison Tiranty, le modeste hôtel Chauvain d’alors, on descendait un escalier de bois et l’on entrait dans la bourgada.

Le long du Paillon, un mur peu élevé, dégradé par endroits, ne protégeait des violences du Paillon ni la chaussée en contre-bas ni les habitations.

Sur la voie étroite, sans cesse un va-et-vient de mulets ornés du cascaveù et la petite croix de cuivre aux œillères, de charrettes, de brouettes, de charretons.

Tout cela, véhicules, bâts chargés outre mesure, défilait dans la poussière au milieu des cris des conducteurs, du claquement strident des fouets, des braiments désespérés des bourriques.

On se garait sous les portes, dans les boutiques.

Le temps révolu de la Bourgada à Nice

La bourgada était une sorte de trait d’union de Saint-Pons, Saint-André, Falicon, etc., et la ville.Le commerce y était actif.

Néanmoins, on n’y voyait que deux ou trois maisons de belle apparence, celles de Gent, Carlone, aux vastes et superbes appartements loués quatre ou cinq cents francs l’an!

Dans l’une de ces maisons, au numéro 21 — extrémité du Grand-Hôtel — est né Masséna, le 6 mai 1758.

Quel contraste entre ces palais et leurs entours ! Des masures d’ouvriers, des échoppes, des réduits de toute sorte, des greniers à foin, des maréchaleries, une brasserie, une teinturerie, de nombreuses épiceries où s’amoncelaient dans un savant désordre des tas de comestibles. »

Nous étions en… 1859.

Ces souvenirs d’enfance repris dans Au temps de la Bourgada de Nice sont issus du journal  » L’Eclaireur de Nice  » du 30 Octobre  1921.

Une esplanade de la Bourgada existe à Nice depuis 2012.

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La mer mange la terre à Nice
FRANCE

La mer mange la terre à Nice

par JMS 17 mai 2021

La mer mange la terre à Nice rappelle que l’érosion est un phénomène naturel qui existe depuis longtemps.

La terre érodée par la mer

 » Au fond de l’anse de Saint-Jean existe un récif connu sous le nom de Peira-Fourniga.

Tous les pécheurs qui l’habitent attestent que la mer empiète depuis longtemps sur ce massif, et que l’onde marine recouvre maintenant un long espace de terrain où jadis la culture des oliviers et des caroubiers était en pleine vigueur.

Beaulieu offre sur ses bords le même phénomène, et la mer continue à détruire le récif jadis élevé en digue et en talus.

Toutes les grottes sises dans le calcaire compacte de la partie méridionale du Mont Boron sur le rivage de la mer étaient naguère à sec et l’on s’y rendait facilement par terre. Maintenant elles se trouvent toutes recouvertes par les eaux de la mer.

Sur le bord oriental, entre le port de Nice et le pied de la montagne de Mont Boron, dans l’endroit appelé le Lazaret, un enfoncement se forme depuis vingt-cinq années, et s’accroît à vue d’œil.

Des vestiges sous la mer

D’anciennes murailles construites pour des enclos voisins sont maintenant renversées dans la mer, et recouvertes en certaines parties par les eaux à peu de profondeur, tandis que d’autres parties offrent encore leur surface à la superficie.

Pendant la construction du port de Nice, des restes de canaux assez bien conservés furent trouvés dans des endroits beaucoup inférieurs au niveau des eaux marines d’alors, lesquelles n’ont fait ensuite que se relever davantage.

Vers l’embouchure du Var, sur le coin de la terre ferme du côté de Nice, était une habitation qui, peu à peu a été submergée, et a fini par disparaître totalement. Des marins assurent même que les restes se voient sous l’eau, pendant le calme d’été.

Près d’Antibes même, entre le port et le fort Carré, des ruines de vieilles bâtisses et de gros massifs de maçonnerie qu’on croit d’anciens tombeaux sont couverts par les eaux, et on les revoit encore dans les basses marées. »

La mer mange la terre à Nice est un extrait du livre  » Histoire naturelle des principales productions de l’Europe méridionale  » d’Antoine Risso, édité en… 1826.

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La mer mange la terre à Nice
FRANCE

La mer mange la terre à Nice

par JMS 4 février 2021

La mer mange la terre à Nice raconte comment depuis longtemps la mer Méditerranée érode le littoral entre Antibes et Beaulieu.

 » Au fond de l’anse de Saint-Jean existe un récif connu sous le nom de Peira-Fourniga ; tous les pécheurs qui l’habitent attestent que la mer empiète depuis longtemps sur ce massif, et que l’onde marine recouvre maintenant un long espace de terrain où jadis la culture des oliviers et des caroubiers était en pleine vigueur.

Recul du littoral à Beaulieu

Beaulieu offre sur ses bords le même phénomène, et la mer continue à détruire le récif jadis élevé en digue et en talus.

Toutes les grottes sises dans le calcaire compacte de la partie méridionale du Mont Boron sur le rivage de la mer étaient naguère à sec et l’on s’y rendait facilement par terre. Maintenant elles se trouvent toutes recouvertes par les eaux de la mer.

Le quartier du Lazaret attaqué par la mer

Sur le bord oriental, entre le port de Nice et le pied de la montagne de Mont Boron, dans l’endroit appelé le Lazaret, un enfoncement se forme depuis vingt-cinq années, et s’accroît à vue d’œil.

D’anciennes murailles construites pour des enclos voisins sont maintenant renversées dans la mer, et recouvertes en certaines parties par les eaux à peu de profondeur, tandis que d’autres parties sont encore apparentes.

Pendant la construction du port de Nice, des restes de canaux assez bien conservés furent trouvés dans des endroits beaucoup inférieurs au niveau des eaux marines d’alors, lesquelles n’ont fait ensuite que se relever davantage.

Vers l’embouchure du Var, sur le coin de la terre ferme du côté de Nice, était une habitation qui, peu à peu a été submergée, et a fini par disparaître totalement. Des marins assurent même que les restes se voient sous l’eau, pendant le calme d’été.

Des ruines recouvertes par la mer à Antibes

Près d’Antibes même, entre le port et le fort Carré, des ruines de vieilles bâtisses et de gros massifs de maçonnerie qu’on croit d’anciens tombeaux sont couverts par les eaux, et on les revoit encore dans les basses marées. »

La mer mange la terre à Nice est un extrait du livre  » Histoire naturelle des principales productions de l’Europe méridionale  » d’Antoine Risso, publié en 1826.

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De gros tritons traversent le Paillon à Nice
FRANCE

De gros tritons traversent le Paillon à Nice

par JMS 14 janvier 2021

De gros tritons traversent le Paillon à Nice rappelle la vie mouvementée d’un statue qui fait partie de l’histoire de la cité des violettes.

Eau potable sur la rive droite du Paillon

C’était un temps où il n’y avait pas encore d’eau potable sur le faubourg de la rive droite du Paillon.

C’était un temps où Nice appartenait au Royaume de Savoie.

Un français, Joseph Brémond, édile de la ville décide, cependant, d’apporter l’eau courante à cette partie de la commune.

Il était propriétaire d’une tannerie et faisait partie de la Chambre d’agriculture et de commerce.

En face du collège d’alors, il fit donc construire une fontaine en pierre de taille sur la place Saint-Jean-Baptiste. Elle fut bien sûr dédiée à la reine Marie-Christine.

Son inauguration officielle eût lieu le 11 novembre 1825. Malheureusement, il pleuvait à seaux ce jour-là !

Le monument fut béni par l’évêque Colonna d’Istria.

Bien évidemment, une plaque fut chargée de perpétuer l’évènement du jour. Une autre rappelait le soin pris par la Municipalité dans la réalisation de ces travaux et l’implication de Joseph Brémond.

Puis, elle fut surmontée, en 1828, d’un groupe de Tritons en marbre.

La même année, le 8 juin, le Conseil municipal procède à la reddition des comptes du projet. Il a coûté 13.281 francs et 51 centimes. Compte tenu des acomptes versés, il reste encore 1.681 francs et 51 centimes à régler.

Les Tritons traversent le Paillon

Un membre du Conseil fait toutefois remarquer que le rapport ne parle pas « du prix du superbe groupe en marbre, représentant quatre Tritons qui tiennent le coquillage marin, d’où il coule des jets d’eau ».

Alors, Joseph Brémond répond que, « comme consul et concitoyen », il se fait un plaisir de l’offrir.

Ces Tritons déménageront ensuite sur la rive gauche du Paillon et seront classés, comme monument historique, par un arrêté du 25 août 1920 du ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts.

Cependant, le groupe de marbre avait, depuis son installation, perdu de sa superbe . Un article de presse de l’époque en faisait ainsi état :

« Ils n’ont plus tous leurs doigts. Leurs têtes sont rapiécées. Ces pauvres demi-dieux continuent, malgré tant de plaies, à gonfler les joues et à souffler dans de gros buccins si énergiquement qu’il en coule un mince filet d’eau. »

Au final, la statue des Tritons est aujourd’hui dans le jardin Albert 1er.


De gros tritons traversent le Paillon à Nice est notamment inspiré par un article du journal « L’Eclaireur du dimanche » du 28 novembre 1920.

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La table de Noël à Nice
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La table de Noël à Nice

par JMS 23 décembre 2020

La table de Noël à Nice est un des épisodes du feuilleton de Passion Riviera sur les Noëls niçois d’antan.

 » Chaque église s’assurait alors le concours d’un artiste de l’Opéra, et le Minuit Chrétien de circonstance était l’objet d’une admiration qui, pour être silencieuse, n’en était pas moins enthousiaste.

Les crèches de Nice

Les crèches, installées dans un autel latéral, étaient également très remarquées et les bonnes gens s’extasiaient devant l’expression, figée dans un sourire en série, du bambin Jésus en cire.

Enfin, après la messe de minuit, on rentrait chez-soi, en déambulant par les rues en se donnant le bras, tout gais, tout joyeux ; on jouait un tantinet aux riches « étrangers » noctambules, festoyant d’ordinaire au Helder, au Français ou à la Belle Meunière, et dont on ignorait d’ailleurs totalement l’existence nocturne qu’on se représentait sous d’infernaux aspects !

Cette débauche s’arrêtait sur le seuil du foyer. Là tout reprenait son esprit de naïveté, de douceur domestique, d’union familiale.

Dans l’âtre on allumait quelques bûches, pour la circonstance, car le chauffage par ailleurs était à peu près inconnu.

Le plus jeune enfant de la maison s’avançait alors et versait par trois fois, au-dessus de la flambée, du vin cuit, en formulant des souhaits de longue vie et de bonheur pour toute la famille.

Le dîner niçois de Noël

Puis l’on se mettait à table.

Table somptueusement garnie où voisinaient fleurs et fruits de toute sorte.
Le souper était composé des plats traditionnels : les cardo ou gros céleris en sauce blanche, la merlussa ou morue au vert ; puis venaient la tourte de bléa ou tourte de blettes, les beignets aux pommes agrémentés d’asubic ou raisins secs, les martinsec ou poires dures au caramel, les poum carli ou grosses pommes et la creissença, sorte de fougasse, parfumée à la fleur d’oranger, que le boulanger offrait à ses clients.

On arrosait le tout de crus du pays : Bellet, La Gaude, Montaleigne, Saint-Jeannet, Crémat, etc., dont l’essence généreuse ne tardait pas à échauffer gaiement les esprits.

En fin de souper on demandait à un enfant de chanter, de sa voix d’ange quelque air de circonstance. »

La table de Noël à Nice a une suite qui s’intitule « La nuit de Noël à Nice » ; un nouvel épisode du feuilleton de Passion Riviera sur les Noëls niçois d’antan.

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La bouillabaisse de Beaulieu
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La bouillabaisse de Beaulieu

par JMS 21 juillet 2020

La bouillabaisse de Beaulieu rappelle, qu’à la fin du XIXème siècle, les hivernants allait se régaler de poissons frais dans cet endroit charmant.

« Le village de Beaulieu, se trouve à l’est de la presqu’île de Saint-Jean.

Il est semé, tout le long de la mer, de villas délicieuses et de joyeux cabanons.

On s’y donne rendez-vous, le dimanche, pour aller manger sur le pouce, la bouillabaisse ou quelque autre plat confectionné avec des poissons fraîchement péchés.

De tels mets, un homme d’esprit ne les dédaigne jamais. Puisque, d’après Brillat-Savarin, l’homme d’esprit seul sait manger. »

La bouillabaisse de Beaulieu-sur-Mer trouve son inspiration dans le livre  » Nice pratique et pittoresque  » de MM. A. Lacoste et G. Pietri, publié en 1888.

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Histoire du château de Nice (3)
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Histoire du château de Nice (3)

par JMS 12 novembre 2019

Histoire du château de Nice (3) est le troisième épisode de la vie à travers le temps de cette citadelle érigée sur un promontoire face à la mer.

LE DONJON LAISSE PLACE AU CHATEAU

Le donjon ne suffisait pas à protéger Nice.

La Maison de Savoie voulait une forteresse capable de jouer un grand rôle stratégique.

En 1437, on construisit à l’extrémité des escarpements de l’anse Saint-Lambert une grosse tour ronde, creuse, assurant la liaison entre la ville moyenne et la batterie de la grève.

Cette tour fut démolie en 1706 : on édifia sur ses fondations, dans la première moitié du XIXème siècle, la tour Bellanda, que l’on voit aujourd’hui au-dessus de l’hôtel Suisse.

De même, on éleva, face à la plaine de Lympia, la tour de la Rochette, et on relia ces fortifications avec un rempart massif que l’on dut protéger encore de tours, de batteries et de casemates.

Ludovic de Malingre fit creuser à la pointe de Rauba-Capeù un immense puits descendant à travers le roc jusqu’au-dessous du niveau de la mer.

NICE ETOUFFE DANS LES MURAILLES DU CHATEAU

Nice était ramassée entre ses murailles, dans un réseau de sombres ruelles, de porches, de bâtisses trop serrées, dans un grouillement de bruit, d’interpellations sonores dont les moins enviés des quartiers de la vieille ville actuelle donnent une idée trop avantageuse.

Paysans allant aux campagnes par-delà le Paillon, gens d’armes descendant à la relève, pescaïris naturellement bruyantes, artisans groupés par carrières, caïreu et capelina, clochers sans -cesse bourdonnant animaient la cité.

Gentilshommes pimpants., consuls en robes rouges, religieux multicolores attiraient les regards et cueillaient le respect.

La vie niçoise dans tout son pittoresque était là, avec la fierté de l’indépendance, les privilèges du municipe, la fidélité aux traditions.

Le perfectionnement, des armes à feu obligea à substituer aux orgueilleuses murailles des remparts bas, précédés d’un fossé profond et d’un glacis.

Les établissements publics civils et les maisons particulières de la ville haute firent place aux magasins et casernements militaires dont le développement s’imposait.

NICE S’ETEND HORS LES MURS DU CHATEAU

Les nobles donnèrent l’élan au déménagement du « château», en 1518.

Le duc de Savoie fit construire, pour ses séjours a Nice, un. palais sur l’emplacement actuel de la Préfecture.

Les Grimaldi de Beuil, en bons courtisans, érigèrent leur nouvel « hôtel » près du palais ducal, sur le Cours; le gouverneur du Comté, au « canton des Sarrasins », au carrefour des rues Malonat, Droite et Sénat.

Théodore Lascaris, empereur détrôné de Nicée, réfugié à Nice, fit bâtir une demeure princière dans la rue Droite, encore signalée, selon l’usage, aux touristes, comme un objet d’admiration.

L’évêque élut l’église Sainte-Réparate pour cathédrale et y adossa son palais.

Les Augustins, les Carmes, les Dominicains, les Jésuites et les Filles de Sainte-Claire avaient déjà leurs couvents dans la ville-basse.

Naturellement, les sujets qui le pouvaient, suivaient de si hauts exemples en descendant leurs toits vers le Paillon.

Nombre de tanneurs passèrent le torrent et se groupèrent à la bourgade Saint-Jean-Baptiste.

Ce troisième épisode de l’histoire du château de Nice (3) écrite par Paul Canestier a une suite que vous pouvez lire en cliquant ICI.

Vous pouvez aussi lire l’épisode 1 en cliquant ICI ou l’épisode 2 en cliquant ICI.

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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