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"Saint-Jean"

L'épervier de Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

L’épervier de Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 27 octobre 2025

L’épervier de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un récit qui rappellle l’existence de cette pêche traditionnelle.

« Il s’élève à Saint Jean-Cap-Ferrat, au terminus du tramway, en face de la mer, une charmante petite statue, représentant un jeune pêcheur nu, raccommodant ses filets.

Cette statue fut donnée à la commune par M. Maurice Rouvier comme une inscription sur le socle le commémore.

Ce pêcheur à l’épervier est l’œuvre exclusive de Mme Claude Vignon, dont une voie de la commune porte le nom. »

La pêche à l’épervier est un type de pêche qui nécessite l’utilisation d’un filet circulaire plombé lancé à la main pour capturer un banc de poissons.

Une fois la capture opérée, le filet est généralement remonté sur la rive avec une corde de ramassage.

L’épervier de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un texte repêché dans la revue « L’Intermédiaire des chercheurs et curieux » de 1917.

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Le vin du soleil à Saint-Jeannet
FRANCE

Le vin du soleil à Saint-Jeannet

par JMS 20 octobre 2025

Le vin du soleil à Saint-Jeannet est une histoire qui décrit une vieille tradition de vinification du village.

Après la récolte des grains réalisée à la main, le processus de vinfication se poursuit d’une façon assez classique jusqu’à la phase d’élevage.

Ensuite, la méthode ancestrale, à Saint-Jeannet, repose sur le soleil.

Elle consiste à élever le vin en bonbonne de verre, placées à l’extérieur, pendant 6 à 8 mois selon l’ensoleillement pour le stabiliser naturellement et lui donner des arômes exceptionnels.

En effet, les ultra-violets remplacent les sulfites, ce qui fait que les vins sont plus naturels.

Quant le passage au soleil est terminé, le vin est soutiré directement sans bouger les bonbonnes pour laisser le dépôt qui s’est coillé sur le verre.

Le tuilé de Saint-Jeannet est un vin très typé offre des arômes de madère et peut se déguster sur des plats épicés ou sur des grillages. »

Le vin du soleil à Saint-Jeannet est un texte vinifié à partir d’articles de la presse locale.

Ce vin peut être dégusté et acheté au Domaine des Hautes Collines.

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Saint-Jean-Cap-Ferrat recherche des pauvres
FRANCE

Saint-Jean-Cap-Ferrat recherche des pauvres

par JMS 13 octobre 2025

Saint-Jean-Cap-Ferrat recherche des pauvres est un récit relatif à un legs reçu par la ville.

 » Sur la Riviera. chacun le sait, il n’y a pas de mendiants.

L’entrée de ces rives enchanteresses leur en est barrée.

Cependant, il est une municipalité qui se trouve embêtée.

C’est celle de Saint- ]ean-Cap-Ferrrat, qui possédé un legs de 25.000 francs, don généreux d’un riche’étranger en reconnaissance pour le pays qui t’enchanta.

Ce legs est destiné à soulager la misère de pauvres gens de cette municipalité.

Or, Saint-Jean-Cap-Ferrat possède une quarantaine de villas somptueuses pour toute habitation, villas habitées, comme vous vous en doutez, par des gens peu nécessiteux.

Nous indiquons donc ce coin béni aux mendiants qui veulent vivre paisiblement car le maire réclame des pauvres. »

Saint-Jean-Cap-Ferrat recherche des pauvres est un texte trouvé dans le journal « Le Bonnet rouge » du 28 avril 1914.

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Naissance de Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

Naissance de Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 9 octobre 2025

Naissance de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un court article qui reprend le texte de la création réglementaire de la commune.

 » Décret du Président de la République française( contre-signé par le président du Conseil, ministre de l’Intérieur ) portant que la commune de Saint-Jean ( canton de Villefranche, arrondissement de Nice, département des Alpes-Maritimes) portera à l’avenir le nom de Saint- Jean-Cap-Ferrat. { Rambouillet, 27 Juillet 1907 ).

Certifié conforme.

Paris, le 23 avril i908.

Le Garde des Sceau.x, Ministre de la Justice et des Cultes,

ARISTIDE BRIAND « 
Naissance de Saint-Jean-Cap-Ferrat est un article qui reprend le décret paru dans le « Bulletin des Lois de la République » de 1908.

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La Villa Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

La Villa Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 24 septembre 2025

La Villa Ephrussi de Rothschils à Saint-Jean-cap-Ferrat est une histoire qui raconte la construction de ce superbe palais.

 » Un beau jour où le XXème siècle était jeune, les impôts plus ou moins inexistants, et les atomes et l’hydrogène à leur place, la fabuleusement riche baronne Ephrussi de Rothschild quitta les tables de roulette de Monte-Carlo et partit se promener le long de la côte.

S’éloignant de la route principale, elle suivit un chemin rustique jusqu’au sommet de la presqu’île du Cap Ferrat, alors presque inhabitée, et tomba soudain sur une vue qui lui fit reprendre son souffle.

À l’est, le golfe de Saint-Hospice et la côte montagneuse sinueuse s’étendaient jusqu’au Cap d’Ail et à Monaco.

Plus près à l’ouest se trouvait le port de Villefranche, entouré d’une colline de maisons multicolores.

Tout droit, au large de la Méditerranée bleue, la silhouette de la Corse se détachait sur l’horizon.

« Voilà », dit la baronne, « c’est ici ! ».

Avec ses millions d’or et l’influence magique de son nom, la terre lui appartint bientôt, malgré la concurrence du roi des Belges.

Vingt-cinq architectes et paysagistes, tour à tour embauchés et licenciés ont transpiré de 1904 à 1912 pour créer le paradis des femmes riches.

Une fois le palais et les jardins étonnants achevés et ses énormes collections d’art installées, l’intérêt de Madame Ephrussi semble s’être atténué de 1920 à sa mort en 1934.

Lorsque l’Académie des Beaux-Arts en a hérité. , la propriété, laissée aux soins d’un seul jardinier, était devenue une jungle oubliée.

Si tout est à nouveau en ordre aujourd’hui, c’est en partie grâce au colonel Jules François, l’administrateur bénévole qui gère la propriété avec amour et …avec un budget limité. »

La Villa Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat est un texte retrouvé dans le journal « The New York Herald Tribune » du 28 février 1950.

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Le moulin à huile de Saint-Jeannet
FRANCE

Le moulin à huile de Saint-Jeannet

par JMS 2 septembre 2025

Le moulin à huile de Saint-Jeannet est un article qui décrit les conditions de la construction de cet ouvrage.

« Le 22 juin 1524, Marguerite de Grasse traita avec les Syndics, Communauté, manants et habitants de Saint-Jeannet de l’établissement du premier moulin à huile.
La généreuse et magnifique dame Marguerite de Grasse convient solennellement avec l’universalité de Saint-Jeannet, de faire construire et tenir moulin à huile bon et suffisant dans le terroir de Saint-Jeannet, en un lieu où il puisse être mû par l’eau provenant du déversement de celle du canal du moulin à blé.
Le moulin devra être édifié avant la fête de la Toussaint. On y moudra tous les jours pour les particuliers dudit lieu, à raison de six deniers par charge d’olives.
Les Syndics, Clavaire et habitants promettent de se prêter à la construction du moulin, comme manoeuvres ou comme maîtres, charrier le bois de construction, les pierres, le sable et la chaux.
La dite dame ne sera tenue qu’au payement des maîtres, du boisement, des tuiles et de la ferronnerie.
Les particuliers devront, lors de la trituration de leurs olives, se pourvoir de gens et de bêtes, nourrir le meunier. Ils pourront s’approprier et transporter les grignons à leur domicile, ainsi que disposer du moulin à leur volonté.
Enfin, ladite dame sera tenue de procurer l’endroit propice à la construction du moulin à ses frais et dépens sur le territoire de Saint-Jeannet. »
Le moulin à huile de Saint-Jeannet est un texte découvert dans le livre « Saint-Jeannet : l’évolution d’un village frontière de Provence « par Joseph-Étienne Malaussène publié en 1873.

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Les fileuses de Saint-Jeannet
FRANCE

Les fileuses de Saint-Jeannet

par JMS 27 janvier 2025

Les fileuses de Saint-Jeannet est un récit qui rappelle le fil issu du chanvre était une source de revenus.

 » Jadis , à Saint-Jeannet, La culture des plantes textiles. étaient très répandue.

Chaque maisonnée récoltait sa provision de chanvre.

Après que la plante avait été cassaillée (teillée) par les rues au devant des portes, les femmes et les filles coiffaient de sa filasse des quenouilles de bois ou de roseau, que, réunies le soir à la lumière du calens, elles filaient au fuseau, en débitant toutes sortes de caquets.

Le fil ainsi obtenu, était livré ensuite à des tisserands, au nombre de 5 à 6 vers le milieu du siècle écoulé, qui le leur restituaient sous forme de toile, un peu rude sans doute, mais inusable.

Les membres de la Corporation des tisseurs à toile ne trouvant pas dans cette industrie des ressources suffisantes exerçaient concurremment, le samedi et le dimanche, la profession de barbier.

À la fin des vendanges, ils se transformaient en distillateurs d’eau-de-vie, comme dans d’autres villages des Alpes-Maritimes. »

Les fileuses de Saint-Jeannet est un texte tissé depuis le livre « Saint-Jeannet (Alpes-Maritimes) : l’évolution d’un village frontière de Provence » par Joseph-Étienne Malaussène, publié en 1909.

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Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 27 novembre 2024

Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat est un article qui rappelle que le roi des Belges venait en villégiature dans cette commune.

 » Ce matin a été inauguré à Saint-Jean Cap-Ferrat un monument élevé à la mémoire du roi Léopold Il.

On sait que le monarque possédait dans cette commune de vastes domaines et qu’il aimait, pendant la saison d’hiver, venir se reposer quelques semaines dons une coquette villa qu’il avait fait édifier au fond d’une pittoresque crique, au bord de la mer.
C’est pour cela qu’un comité s’était formé après sa mort pour perpétuer en ces parages, qu’il affectionnait tant, le souvenir de cet hôte royal.

Le monument, fort simple, s’élève au milieu du parc du Cap-Ferrat. »

Monument Léopold II est un texte tiré du journal « La Dépêche » du 29 mars 1911.

Léopold II a été roi des Belges du 17 décembre 1865 au 17 décembre 1909.Il a été le créateur de l’état indépendant du Congo qu’il a administré à son profit personnel en laissant commettre des atrocités à l’encontre de la population autochtone.

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Le Robin des Bois de Saint-Jeannet
FRANCE

Le Robin des Bois de Saint-Jeannet

par JMS 5 août 2024

Le Robin des Bois de Saint-Jeannet raconte comment un voleur aimé de la population dans cachait dans les environs du village.

 » Près du village de Saint-Jeannet s’ouvre la gorge de Bufflé.

Cet endroit romantique était l’antre, ou cachette préférée, du célèbre voleur de grand chemin, le Robin des Bois de Provence, Gaspard de Besse.

Lorsqu’il n’était pas occupé à traquer les bijoutiers et les commerçants qui passaient par l’Estérel en route pour les foires de Grasse et de Nice, ou à effrayer la suite d’un vicaire général aux gués du Var, Gaspard avait coutume de se retirer dans cet endroit, et de là il pouvait planifier de nouveaux exploits audacieux tout en s’échappant de justesse.

Mais tant va la cruche à l’eau qu’elle finit par se briser.

Aussi, peut-être Gaspard de Besse, quand le jour du jugement fût enfin venu pour lui, et qu’il traversait les rues sombres d’Aix-en-Provence jusqu’au lieu de son exécution, se remémora-t-il avec un soupir la glorieuse falaise de Saint-Jeannet, avec l’air libre au-dessus de sa tête et les vergers joyeux à ses pieds. »

Le Robin des Bois de Saint-Jeannet est un texte tiré du livre « The Maritime Alps and their seaboard » de Charlotte Louisa Hawkins Dempster publié en 1885.

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La tombe de l'anglais à Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

La tombe de l’anglais à Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 24 janvier 2024

La tombe de l’anglais à Saint-Jean-Cap-Ferrat est une histoire qui raconte un temps où les cimetières n’étaient pas pour les anglicans.

 » A quelque distance de la maison des gardiens du phare de Saint-Jean-Cap-Ferrat, vers le nord-est, se trouve la pierre tombale d’un anglais décédé à Tende en 1817.

Pas de cimetière pour l’Anglais

Voici cette inscription : « To the memory of Charles Best esq. m. d. who died at Tenda in the county of Nice, on the 30th. day of july 1817, aged 38. »

Ce malheureux jeune homme avait succombé à Tende, pendant une excursion qu’il avait entreprise par la route de Turin.

On l’avait alors embaumé, puis transporté à Nice, chef-lieu de la province.

Mais sous le régime sarde du temps, aucun cimetière n’admettait les dépouilles des protestants.

Les amis du défunt lui firent une sépulture à la pointe du Cap Ferrat.

Dès la fin des guerres du premier Empire, une colonie anglaise assez nombreuse venait passer l’hiver à Nice, occupant surtout le quartier de la Croix de Marbre.

Cette colonie s’émut de ce que le corps de Charles Best avait été repoussé des cimetières.

Intervention diplomatique

L’affaire fut transmise au gouvernement de Londres qui fit agir auprès de la cour de Turin.

Il ne fallut pas moins de quatre ans pour obtenir satisfaction.

Enfin, en 1821, le gouvernement sarde autorisa l’édification d’un cimetière et d’un temple protestants à Nice, chef-lieu de la province, mais de combien de restrictions cette autorisation était accompagnée !

Le temple et le cimetière devaient être établis dans un lieu écarté, n’avoir ni cloche ni clochers, se dissimuler derrière des arbres, et on ne pouvait y admettre que des Anglais pour lesquels cette concession était faite.

C’est alors que fut créé le cimetière anglican de la rue de France, près de la Croix de Marbre.

Le jeune homme qui repose ici au Cap Ferrat avait, après sa mort, déterminé cette fondation, dont la colonie anglaise fut si satisfaite qu’elle se multiplia rapidement à Nice et que trois ans après, en 1824, elle commença à ses frais la Promenade des Anglais. »

La tombe de l’anglais à Saint-Jean-Cap-Ferrat est un texte tiré du journal « La Semaine niçoise » du 26 mars 1903.

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