L’Hospice de la Providence à Nice est une histoire qui raconte la mission d’une institution religieuse destinée à aider les jeunes filles en désarroi.
La rue de la Providence, entre le Vieux-Nice et le Parc du Château est un passage étroit, et accidenté.
Un homme de bien, l’abbé de Cessoles organisa dans l’ancien couvent de la Sainte-Croix, l’Hospice de la Providence où sont recueillies les orphelines et les pauvres filles que la misère conduirait fatalement au vice (sic).
Les pensionnaires de ce couvent se nomment Cessolines, du nom du fondateur de l’hospice.
C’est dans ce pieux établissement que fonctionnent les Fourneaux économiques qui fournissent des repas aux personnes sans ressources ou disposant de très faibles moyens, à Nice.
Un peu plus loin se trouve une autre salle d’asile. »
L’Hospice de la Providence à Nice est un texte trouvé dans le livre « Nice pratique et pittoresque » par A. Lacoste et G. Pietri, publié en 1893.