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Le vrai créateur de Monte-Carlo
MONACO

Le vrai créateur de Monte-Carlo

par JMS 23 octobre 2025

Le vrai créateur de Monte-Carlo est un article qui évoque François Blanc, l’homme d’affaires qui a lancé le Casino de Monaco.

 » On me l’a montré dans les salles de jeu.

C’est un petit vieillard enveloppé d’une houppelande grise qui flotte le long de son corps comme si elle était accrochée à une patère tout voûté, il marche lentement, appuyé sur une canne à pomme d’or sa physionomie n’a rien de gai.

Un vieillard richissime

Il a sans cesse l’air absorbé par de sérieuses préoccupations et se promène à petits pas, rendant peu ou point les saluts de son entourage, les yeux constamment fixés à terre.

Au physique, il réalise absolument le type de ces vieillards du XVème siècle qui vivaient et mouraient entre deux plateaux d’or, pesant les matières précieuses ou travaillant silencieusement au fin fond de quelque noir laboratoire.

La figure est colorée les cheveux gris et rares quelques poils blancs garnissent la lèvre supérieure pour dissimuler la bouche d’expression un peu sèche ; ses yeux enfoncés sont garantis par des lunettes qu’il porte au bout du nez comme les vieux maîtres d’école.

Tout un monde, ces lunettes. Elles ne sont point là pour aider le rayon visuel, mais bien plutôt pour en dissimuler l’expression, car il est à remarquer que M. Blanc ne regarde jamais au travers, mais toujours par-dessus ce sont-là de simples instruments d’intimidation et voilà tout.

Sa fortune est incalculable; on l’évalue à soixante-quinze ou quatre-vingt millions ceci, à travers les lunettes, et à quelques millions près.

Chaque année, M. Blanc fait voter par le conseil du Casino un don de un million à douze cent mille francs pour les embellissements de Monaco.

A Monte-Carlo, tout lui appartient, tout, depuis les billets de mille que l’on, y laisse jusqu’au cigare que l’on va prendre au bureau de tabac. Magasins, hôtels, éclairage, terrains, concession, tout dépend de lui, tout vient de lui.

Un financier hors pair

Pour l’aider dans la direction multiple de cette effrayante comptabilité; il s’est adjoint deux directeurs.

Le premier est chargé du service intérieur du Casino; on le dit un excellent homme, obligeant et point trop dur aux écloppés qui viennent lui demander le viatique nécessaire au rapatriement.

Le second, beau-frère du grand chef, homme du monde, tireur de pigeon hors lignes reçoit avec beaucoup d’égards les étrangers, et s’occupe des choses de sport ou d’art, courses, tir au pigeon, engagements d’artistes, organisation des concerts, des bals, etc., etc.

Ce qui a fait la force de François Blanc, c’est qu’étant joueur lui-même, il a appliqué au jeu son esprit profondément pratique.

Devenu de première force dans tous les trafics d’argent, c’est un économiste financer hors ligne, et, s’il n’était pas à la tête d’une des grandes fortunes du monde, c’eût été un banquier excessivement remarquable.

Aujourd’hui, avec l’âge, ses vues sont devenues moins larges, et après avoir passé son existence à tenir le gros bout de cette corde à sauter qui s’appelle le jeu, il se soucie fort peu d’y venir sauter lui-même. »

Le vrai créateur de Monte-Carlo est un texte lancé depuis le livre « Rien ne va plus » par Carle Des Perrières, édité en 1882.

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Le Casino de Beaulieu-sur-Mer
FRANCE

Le Casino de Beaulieu-sur-Mer

par JMS 12 août 2024

Le Casino de Beaulieu-sur-Mer est un récit qui évoque l’inauguration de ce lieu de villégiature, prisé par les hivernants.

 » Beaulieu possède l’un des hôtels les plus aristocratiques et les plus modernes d’Europe, le Bristol, dernier né de la chaîne des Gordon Hotels sur le Continent.

Dans l’enceinte du Bristol se trouve le célèbre Rotonda Restaurant des Ambassadeurs, l’une des plus belles salles architecturales à voir.

Les courts de tennis de Bristol sont parmi les plus beaux de la côte, et les tournois les plus intéressants y sont disputés.

Mais le couronnement de Beaulieu est son nouveau Casino, la Villa des Fleurs, qui a ouvert ses portes samedi soir et a présenté une nouvelle image d’élégance artistique raffinée, pas encore vue dans les casinos du Continent.

La note clé est un luxe intime et délicat, tout irradié de vie et de lumière ; les rideaux de soie rose du restaurant sont d’excellents remontants pour le teint.

La Salle des Fêtes est un joyau en demi-teintes, un rêve pour la danse et une belle scène pour le théâtre.

La salle de jeu est exquise, le service de restauration est impeccable sous la direction de M. Bonfils, Directeur général des restaurants Gordon sur le Continent. Beaulieu peut être fière de son casino.

Parmi les cinq cents hôtes distingués présents à l’inauguration figuraient le duc de Connaught, le grand-duc Andrew, la princesse Krasinska, le prince Krasinsk et le prince Lotfallali. »

Le casino de Beaulieu-sur-Mer est un texte découvert dans le journal « The Paris Times » du 2 février 1929.

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Le Figaro pleure à Monaco
MONACO

Le Figaro pleure à Monaco

par JMS 28 mars 2024

Le Figaro pleure à Monaco est un article consacré aux obsèques monégasques du fondateur du célèbre journal.

 » En 1879, en plein affrontement autour de l’existence d’un Casino à Monaco, M. de Villemessant qui est le directeur du journal « Le Figaro » et aussi un des plus ardents défenseurs de Monte-Carlo, meurt dans sa villa Beaumarchais.

Marie Blanc, qui a pris la direction du Casino après le décès de son mari et toute la direction de la société des Bains de Mer assistent à ses obsèques.

Le prince de Monaco se fait représenter par le baron de Sainte-Suzanne, gouverneur général.

Cette présence officielle aux funérailles d’un journaliste rassure Marie Blanc, qui redoute que le prince de Monaco ne soit gêné par la campagne de presse aussi tonitruante contre le Casino, qui n’est pas sans troubler certains notables de son entourage.

Mais Charles III, politicien avisé, sait bien ce que la principauté doit à la fortune du Casino. »

Le Figaro pleure à Monaco est un texte extrait du livre « La Grande Dame de Monte-Carlo » de Philippe Saint-Germain, publié en 1981.

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Porte dérobée à Nice
FRANCE

Porte dérobée à Nice

par JMS 13 décembre 2023

Porte dérobée à Nice est une histoire qui détaille un moyen original d’échapper à ses dettes de jeu.

 » Dans son nouveau roman intitulé « Le fils prodigue », M. Hall Caine, a choisi Nice pour théâtre de ses frasques.

Une scène de jeu se passe dans un cercle de notre ville.

Oscar, le principal personnage du roman, est ruiné par le baccarat.

Le directeur du Cercle lui propose de corriger la mauvaise chance avec des cartes préparées.

Le malheureux accepte et… naturellement « se refait ».

Mais il refuse une revanche à ceux qu’il vient de dépouiller : on crie au vol, un scandale terrible éclate.

Le directeur entraine Oscar dans son bureau. Une détonation retentit… Oscar, pour le public, s’est suicidé.

Néanmoins, Oscar se porte très bien.

En réalité, il s’enfuit par une porte dérobée.

Dans les maisons où l’on vole, l’escalier lui-même est dérobé. C’est assez naturel.

Seulement, Oscar ne pourra plus se montrer dans le monde où l’on joue… puisqu’il passe pour être mort. »

Porte dérobée à Nice est un texte trouvé dans le journal « La Vie mondaine à Nice » du 1er décembre 1904.

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La ville nouvelle d'Ospedaletti
ITALIE

La ville nouvelle d’Ospedaletti

par JMS 28 novembre 2022

La ville nouvelle d’Ospedaletti décrit l’essor pris par cette cité avec le développement du tourisme des hivernants.

« Après Bordighera, recommencent les collines dénudées. Une carrière de calcaire bleuâtre et dur fournit des pierres de taille.

Ospedaletti est une ville nouvelle où le Crédit Lyonnais a bâti, il y a une vingtaine d’années, l’hôtel et le casino.

Ces deux édifices, au passage, font bonne figure.

L’hôtel de la Reine est de construction élégante. Sa galerie, son vestibule et ses grandes chambres en font une maison confortable ; qui peut loger jusqu’à 150 personnes au prix de 10 à 15 francs par jour. La pension suisse, à côté, est plus modeste.

Les deux propriétaires ont leurs hôtels en Suisse l’été.

On trouve aussi quelques maisons meublées.

Le Casino, bel édifice à colonnade, mériterait une fréquentation plus suivie.

Le Corso Regina Margherita est la promenade du bord de la mer.

Le cercle de montagnes moins complet qu’à Bordighera, le cap Nero à l’Est n’est qu’une faible protection. Quelques bois d’oliviers, en haut des pins ornent les coteaux. Les citronniers et les roses sont cultivés, mais moins qu’à Bordighera.

On peut poursuivre sa route vers San Remo. »

La ville nouvelle d’Ospedaletti est un texte découvert dans le livre « Villes d’hiver et bains de mer de la Corniche franco-italienne » du docteur Auguste Labat, publié en 1898.

Cet épisode a une suite, intitulée « San Remo est une station huppée« 

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Tempête autour d'un collier à Nice
FRANCE

Tempête autour d’un collier à Nice

par JMS 12 août 2021

Tempête autour d’un collier à Nice relate comment les évènements climatiques ont fait d’un bijou un centre d’attraction.

 » La tourmente, le déluge, le gel et la neige se sont abattus soudain sur la Riviera qui, depuis des mois, mijotait dans la douce chaleur d’un printemps épanoui.

Dix centimètres de neige à Saint-Raphaël.

L’Estérel drapé de blancs linceuls, comme un gigantesque fantôme.

Les mimosas perdus dans les ténèbres, à Théoule.

Les palmiers de Cannes givrés comme de vulgaires arbres de Noël.

Les roses d’Antibes meurtries et hachées par le froid.

Et, à Nice, sur la Promenade des Anglais, des rafales dignes de la Baie des Trépassés.

Voilà ce que nos yeux ont vu sur la côte qui doit être bleue et perpétuellement ensoleillée.

Mais à quelque chose malheur est bon.

Le casino de Nice a refusé du monde.

Celui de Monte-Carlo n’a pu recevoir tous les joueurs qui venaient, hirondelles frileuses, demander asile à Dame Roulette.

Et il y a eu des parties endiablées et folles.

M. Hennessy, cette année, semble posséder la veine indéfectible et absolue: dimanche soir, que n’a-t-il pas gagné ? 

Le prince M., lui aussi, fait des affaires d’or…

Mais M. MaIvy, tout ministre qu’il est, a laissé de sérieuses plumes à Nice…

Et les badauds de Nice stationnent tous, avenue de la Gare, devant la devanture d’un bijoutier, et devant un certain collier de perles dont on demande seulement un million quatre cent mille francs…

Une paille !… Ce collier est le grand événement de Nice…

Mais il est tout de même curieux de voir combien il y a de gens qui n’ont pas sur eux un million quatre cent mille francs !


Tempête autour d’un collier à Nice rapporte des évènements de 1914. Il est extrait du journal « La Vie Parisienne » du 24 janvier.

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La joueuse de Monte-Carlo
MONACO

La joueuse de Monte-Carlo

par JMS 16 juin 2021

La joueuse de Monte-Carlo raconte la vie fantasque de la princesse Souvaroff connue pour fréquenter assidûment le casino de Monaco.

La joueuse la plus célèbre

La princesse Souvaroff et sa sœur, la comtesse de Galve, pourraient revendiquer l’honneur d’avoir puissamment contribué, à partir de 1865, à la vogue de Monte-Carlo.

Quand on demandait :

– Quel est le plus « beau » joueur de Monaco ?

On répondait invariablement :

C’est la princesse Souvaroff !

Bien que son peu de chance fut passé à l’état de proverbe, il arrivait cependant que des semaines de « déveine » faisaient place à une heure de réussite.

Un soir, elle gagna 150.000 francs, représentant une partie des pertes subies précédemment.

Il y eu, pour fêter ce coup heureux, joyeuse réunion dans sa villa de la promenade des Anglais. On invita tous las amis et connaissances. Plusieurs, parmi les intimes, eurent leur part du gâteau.

La domesticité ne fut point oubliée. Comme cette dernière attendait, rangée en ordre de bataille, l’arrivée de sa fastueuse maîtresse, celle-ci jeta aux mains de ses valets une liasse de billets de banque.

– Tenez, fit-elle, amusez-vous.

Et, hautaine et souriante, elle continua sa route, suivie par un brillant et bruyant état-major de viveurs et de désœuvrés.

La joueuse de Monte-Carlo décroche le gros lot

Le souper fut marqué par un de ces incidents que l’on se plaît à redire.

Au moment le plus animé, la princesse, que sa chaussure gênait, enleva sans façon une de ces bottines – une délicieuse bottine de satin blanc – et la lança au loin.

Aussitôt Honorine, l’actrice du Palais-Royal, que la princesse appréciait particulièrement, se leva d’un bond, ramassa la bottine, la remplit de champagne, et levant en l’air cette coupe d’un nouveau genre :

– Je bois à la princesse, fit-elle, et, joignant le geste à la parole, porta la bottine à ses lèvres et la vida d’un trait, jusqu’à la dernière goutte, sous les applaudissements de l’assistance.

Précisons que la joueuse de Monte-Carlo réussit presque à se ruiner au casino.

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Ospedaletti, nouvelle station à la mode
ITALIE

Ospedaletti, nouvelle station à la mode

par JMS 10 novembre 2020

Ospedaletti, nouvelle station à la mode reprend une publicité incitant les touristes à venir y séjourner et à y faire construire des villas.

Créer une nouvelle station à la mode


 » Ospedaletti dépendait autrefois de l’ordre religieux et guerrier des chevaliers de Rhodes. Ordre qui eut plusieurs grands maîtres de la famille des comtes de Vintimille.


En effet, à l’époque du moyen âge, ces chevaliers, étaient chargés de défendre les côtes de Ligurie contre les incursions continuelles des infidèles.

Ils fondaient aussi des monastères sur les routes prises par les chrétiens qui se rendaient en terre sainte. Ces derniers y trouvaient alors gratuitement le gîte et la nourriture.


C’est ainsi qu’un de ces asiles hospitaliers fut établi dans la vallée de Rodi. L’endroit prit alors et garda le nom d’Ospedaletti.


Ospedaletti, abrité du nord par une ceinture de montagnes, est protégé tout d’abord à l’ouest par le cap Bordighera qui s’avance au loin dans la mer. Ensuite, à l’est, c’est le cap Nero qui joue ce rôle.


Ces deux promontoires le préservent complètement des vents d’est et d’ouest. ils se font, en revanche, fréquemment sentir dans la plupart des autres stations hivernales du littoral.

Faire d’Ospedaletti une destination prisée


Si l’on gravit le chemin qui conduit au sanctuaire de la madone delle Porrine bâti au milieu des oliviers et des citronniers, on aperçoit devant soi l’immensité de la mer.

A l’horizon, lorsque l’air est pur, se distinguent les crêtes montagneuses de la Corse. Et à gauche, on voit les nombreuses villas de San-Remo. Puis à droite, on distingue Bordighera, Menton, les villas de Monte-Carlo, Villefranche, Cannes et enfin les montagnes de l’Esterel.


Les habitants d’Ospedaletti s’occupent surtout de la culture des olives, des citronniers et des palmiers.


Pendant les mois où le froid se fait le plus rigoureusement sentir dans le nord, Ospedaletti est un paradis. En effet, la campagne et les jardins de la Ligurie sont remplis de fleurs.


La température y est supérieure de deux degrés à celle des autres stations de la côte. »


Ospedaletti, nouvelle station à la mode est issue d’une publicité de …1883. Les opérations de promotion immobilière ont été conduites par la Société Française Ligurienne.

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Episode 41 des Mystères de la Riviera
MONACO

Episode 41 des Mystères de la Riviera

par JMS 12 juin 2020

Episode 41 des Mystères de la Riviera concerne des appareils très utiles dans le quotidien des hivernants de Monaco.

Ceux que nous distinguons sur la photographie ont été conçus par Gustave Eiffel.

Comment s’appellent ces appareils ?

Où pouvait-on les voir dans la principauté ?

Vous pouvez communiquer vos réponses à ces deux questions en cliquant ICI.

Episode 41 permet de constater que ces appareils se sont multipliés dans Monaco.

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Sur la jetée-promenade de Nice
FRANCE

Sur la jetée-promenade de Nice

par JMS 19 mai 2020

Sur la jetée-promenade de Nice rappelle que ce bâtiment posé sur la mer a contribué à la notoriété de Nice. Et cela, de 1882 à 1944.

 » Entre le quai du Midi et la Promenade des Anglais, on trouve la jetée-promenade.

Elle est construite sur pilotis en fer dans la mer même et reliée à la Promenade des Anglais et aux jardins publics par une passerelle.

Elle porte une large plateforme qui comprend un casino où l’on trouve une salle des fêtes, un jardin d’hiver, un théâtre, etc.

Le style oriental de cette construction et surtout sa situation en font une des curiosités de Nice.

Le pont, a trois arches, par où le Paillon débouche dans la mer, s’appelle le Pont des Anges.

Le Paillon, maigre filet d’eau, en sort pour former une sorte de réservoir précieux pour les blanchisseuses de Nice, et séparé de la mer par une digue de galets apportés par le cours d’eau lui-même.

La jetée-promenade forme un assez joli ensemble avec cette plage caillouteuse et la triple voûte d’où sort le Paillon. »

La jetée-promenade sera finalement détruite par les Allemands en 1944.

Sur la jetée-promenade de Nice est extrait du livre  » La Côte d’Azur  » d’Onésine Reclus 1900-1906.

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