Les voitures à cheval de Nice est une histoire qui décrit les moyens de transport dans la cité.
» Elles sont chères, parce que Nice manque de fourrages ce qui fait, avec le site montagneux, que depuis quelques années elle ne reçoit plus en garnison de régiment de cavalerie.
Il en coûte 2 francs, pour aller au bal et revenir, car on danse encore dans cette ville de malades.
Un cheval de selle se paye 5 francs pour deux heures ; aussi les ânes ont-ils de la vogue, et il y a des parties de trente, à quarante chevaucheurs.
Deux diligences partent chaque jour pour Gênes, Turin et la France. »
Les voitures à cheval de Nice est un texte tiré du livre « L’Italie confortable » de M. Valery, édité en 1842.