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Le monde souterrain de Châteauneuf-Villevieille
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Le monde souterrain de Châteauneuf-Villevieille

par JMS 20 avril 2023

Le monde souterrain de Châteauneuf-Villevieille est un récit qui décrit les vestiges d’une commune importante au Moyen Âge.

 » De Tourrette-Levens, un guide vous conduira à Châteauneuf.

Les inscriptions latines et l’ensemble majestueux des ruines féodales que l’on y voit, témoignent de l’importance qu’avait, au temps des Romains et au Moyen Âge, cette ville aujourd’hui abandonnée, située à 15 kilomètres de Nice.

La commune actuelle de Châteauneuf comprend les hameaux de Cantaron, de Ville-Vieille et de Bendojun, où se trouve un temple dédié à Junon.

Châteauneuf était une bourgade dont les Romains firent une station militaire.

Les ruines se composent de grandes murailles, d’un portique fortifié et d’une tour robuste, remplie de recoins, de souterrains, d’issues secrètes.

Il court sur les ruines de Châteauneuf des légendes diverses. Les populations croient encore qu’elles sont hantées par les fées.

Il y a aussi tout près de Châteauneuf, une grotte très intéressante et de beaucoup plus belle que celle de Saint-André.

On y entre en se couchant presque à plat ventre.

Au milieu de la grotte obscure se trouve un précipice dont une pierre, jetée dedans, ne peut indiquer le fond.

Cette grotte est très vaste. Les torches que l’on allume à l’intérieur produisent sur les stalagmites et les stalactites des effets de lumière vraiment fantastiques. »

Le monde souterrain de Châteauneuf-Villevieille est un texte extrait du livre « Nice pratique et pittoresque » de 1893-1894.

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LE TROU DES ETOILES A NICE
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Le trou des étoiles à Nice

par JMS 6 juillet 2021

Le trou des étoiles à Nice décrit une promenade dans le vallon de Magnan qui permet de découvrir une curiosité naturelle.

Depuis la mer, il faut remonter le vallon de Magnan.

 » Lorsque vous serez arrivé à la petite chapelle de Notre-Dame-de-Bon-Conseil que vous rencontrerez à votre droite, vous verrez s’ouvrir sur la rive opposée du torrent, le vallon de Ventabren.

Vous pourrez vous engager dans ce charmant petit défilé qui se rétrécit toujours davantage à mesure que l’on avance.

Il aboutit à une salle ronde de 7 à 8 mètres de diamètre et de 35 mètres d’élévation qui a le ciel pour plafond.

C’est le trou des Etoiles, d’où l’on ne peut sortir qu’en revenant sur ses pas.

Le trou des Etoiles était aussi connu comme le trou de la Tina. »

Cette balade vers le trou des Etoiles à Nice est décrite dans le livre  » Nice pratique et pittoresque  » de MM. A. Lacoste et G. Pietri, édité en 1888.

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La distribution des prix du Carnaval de Nice
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La distribution des prix du Carnaval de Nice

par JMS 25 juin 2021

La distribution des prix du Carnaval de Nice est un nouvel épisode du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice. 

 » Il y eut en tout cinq chars au Carnaval de Nice de 1873 : Carnaval Ier, L’Enfer des Avocats, Le beau Navire, le Parterre de violettes et les Pierrots galants.

La plus heureuse tentative des groupes à pied furent les Scieurs en long et les Courses de Nice composé de huit jockeys montant des cocottes en papier.

La distribution des prix ne fut pas des plus compliquées :

Le premier prix des chars fut accordé au Char des Violettes ; le deuxième prix, au char des Pierrots galants.

Le premier prix des masques à pied revint au groupe des Cocottes ; le deuxième prix aux Matelots.

Le premier prix des cavalcades fut remporté par les Templiers, les Mousquetaires et les Bandits calabrais qui appartenaient au même groupe. Le second prix ne fut pas donné faute de concurrents. »

La distribution des prix du Carnaval de Nice se poursuit avec l’épisode « Le premier Roi du Carnaval de Nice » du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice.

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La marchande d'allumettes de Nice
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La marchande d’allumettes de Nice

par JMS 8 juin 2021

La marchande d’allumettes de Nice raconte l’histoire de Soleù, une miséreuse qui gagnait sa vie en vendant des allumettes.

 » Soleù. Qui dira son vrai nom ?

Ce sobriquet vient à coup sûr de sa laideur, de sa personne décharnée, minable, dépenaillée, sans âge.

Elle portait un éventaire rempli de boîtes d’allumettes. A sa ceinture pendaient des peaux de lapins.

J’entends encore sa voix nasillarde essayer de clamer :

A li allumeta a doui per un soù !

Qu ha de peu de lepre et de peù de lapin !

Les allumettes n’étaient pas chères, mais quelles allumettes !

Des morceaux de bois grossiers, pleins de soufre, dans un étui d’épais papier bleu.

Dès qu’on les frottait, il fallait, si elles prenaient, les tenir à distance et attendre le bon vouloir du phosphore.

Soleù se consacrait uniquement à son petit commerce. Elle vivait dans la rue et ne s’enhardissait à pénétrer dans les demeures que pour acheter les peaux.

Les enfants s’amusaient de Soleù, voulaient la faire parler, mais la bonne femme ne savait rien dire.

C’était une innocente.

Elle se querellait de temps à autre avec les gamins qui se plaisaient à la taquiner, elle bafouillait des invectives.

On la gratifiait parfois de vieilles jupes, de corsages usagés que l’on ne voyait jamais sur elle.

Elle les donnait peut-être. Les miséreux sont charitables. » 

Ce souvenir d’une pauvresse de la fin du XIXème siècle, racontée dans la marchande d’allumettes de Nice, se retrouve dans le journal « L’Eclaireur du dimanche » du 9 janvier 1921.

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Le programme du Carnaval de Nice
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Le programme du Carnaval de Nice

par JMS 28 mai 2021

Le programme du Carnaval de Nice est un nouvel épisode du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice. 

 » Le programme du Carnaval de Nice pour 1873 fut rapidement établi après la constitution du Comité des fêtes.

Confettis et fleurs pour le Carnaval de Nice

On organisa, dès cette première année, deux grands Corsi sur le Cours et la rue Saint-François-de Paule, les dimanche 23 et mardi 29 février, de 2 h. 30 à 7 h. du soir.

Les confetti et les fleurs furent seuls autorisés, disait J’affiche, à l’exclusion des œufs pleins de farine, du plâtre et des oranges.

Du haut de la terrasse Visconti, le point le plus animé du Corso, on continua à jeter de véritables bonbons et des papillotes qu’on se disputait.

Mais on lança aussi, par périodes, de grosses pelletées de farine, des œufs remplis de poudre colorée et même du riz.

L’habitude fut longue à déraciner : la foule désordonnée des Corsi n’écoutait que sa fantaisie et son bon plaisir.

Le temps devait se charger de discipliner les esprits mieux que les décisions municipales qui eurent leur utilité puisque, peu à peu, elles contribuèrent à civiliser notre Carnaval.

Notons un détail.

Places payantes sur les tribunes

On ne délivra en 1873 aucune carte gratuite pour les tribunes. Chacun payait sa place et tenait à la payer à raison de 3 francs pour une journée de Corso et 5 francs pour les deux journées.

La recette était pour les pauvres. Le Comité mettait en pratique la pensée philanthropique qui avait présidé à sa constitution.

Le Bureau de Bienfaisance eut la vente des billets d’estrade. La recette s’éleva à 2.123 francs et 70 centimes, y compris le produit de la soirée consacrée à la fête des Moccoletti, sur les tribunes de la place de la Préfecture. »

Le programme du Carnaval de Nice se poursuit avec l’épisode « Le jeu des bougies au Carnaval de Nice » du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice.

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Les sociétés du Carnaval de Nice
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Les sociétés du Carnaval de Nice

par JMS 7 mai 2021

Les sociétés du Carnaval de Nice est un nouvel épisode du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice. 

 » Le Comité des fêtes du Carnaval de Nice trouva dans les entrepreneurs, commerçants, industriels et artistes un appui précieux et désintéressé. Il leur doit, en grande partie, la réussite de son entreprise heureuse.

Formés en sociétés dès l’entrée de la saison, ils versaient chaque mois leur quote-part, si bien qu’au moment de faire sortir le char, le montant en était payé.

La première société d’entrepreneurs fut celle que présida M. Jean Cuggia, le constructeur des premières tribunes officielles de la place de la Préfecture, qui restèrent d’ailleurs à peu près comme elles furent établies sur ses plans en 1901.

C’est au Café Delerba, aujourd’hui Café Monnot ou de La Victoire qu’ils se réunissaient.

Tous étaient animés d’un zèle réjouissant. Ils savaient qu’ils faisaient œuvre de bons Niçois.

Cette société, composée de douze membres, parmi lesquels MM. Jean Cuggia, Roux, Joseph Laurenti, Michelini, Dalmonico, Spinetta, Maurice Bottin, Nicolai, etc., édifia le beau char de la « Paix » en 1874, qui ne portait pas moins de quarante figurants, représentant les nations du monde entier.

C’était, avant la lettre, la Société des Nations en ballade sur la Côte d’Azur, dont les rives ensoleillées commençaient à être le théâtre d’hostilités toutes pacifiques. »

Les sociétés du Carnaval de Nice se poursuit avec l’épisode « Les chars du Carnaval de Nice » du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice.

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Templiers contre pirates sarrasins
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Templiers contre pirates sarrasins

par JMS 5 mai 2021

Templiers contre pirates sarrasins est une histoire qui décrit la lutte contre les raids des barbaresques sur les côtes de Provence.

 » Au début du XIIème siècle, les Sarrasins ravagent les côtes de la Provence.

Le mal fut tel que le comte de Provence de concert avec l’Empereur et le Saint-Siège, confia la garde de nos côles aux Templiers, à qui l’assemblée d’Arles avait déjà confié la police des routes infestées de bandits.

Appel aux Templiers

Les seigneurs locaux étaient, en effet, étaient trop absorbés par leurs misérables querelles, trop adonnés à la rapine pour engager avec les pirates des luttes où le péril n’était compensé par aucun espoir de butin.

Impassibles dans leurs châteaux-forts, ils leur laissaient ravager impunément nos côtes, heureux encore quand après leur retraite ils ne venaient pas arracher aux malheureux serfs les misérables débris qu’ils avaient sauvés du pillage.

Les chevaliers du Temple se montrèrent plus soucieux que les barons de la mission qui leur avait été confiée.

Ils formèrent, ainsi, sur nos côtes une chaîne de forteresses qui correspondaient entre elles au moyen de feux.

Feux d’alerte sur la côte

C’est à la rapidité de ces moyens sémaphoriques, que l’on pouvait en quelques heures signaler un navire qui se trouvait à cent milles en mer.

Divers documents des archives de nos communes démontrent qu’on avait établi sur la côte des postes fortifiés d’où l’on surveillait activement la mer pour se prémunir contre la surprise des pirates sarrasins.

Les signaux partis des sémaphores établis au cap Nègre, à la pointe de Calvalaire, à Camarat, étaient transmis par la vigie de Gassin à Grimaud, N.-D. de Miramas, le Canet où les Templiers avaient un vaste établissement.

Les tours de Sainte-Maxime et de Saint-Tropez surveillaient l’entrée du golfe.

Ainsi, l’approche des Sarrasins était instantanément connue dans tout le Freinet et l’on pouvait se porter en force sur le point menacé.

Grâce  ce dispositif mis en oeuvre par les Templiers, nos côtes acquirent insensiblement un peu plus de sécurité.

Templiers contre pirates sarrasins est un récit qui figure dans le « Bulletin trimestriel de la Société des sciences, belles-lettres et arts du département du Var ».

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Les pionniers du Carnaval de Nice
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Les pionniers du Carnaval de Nice

par JMS 30 avril 2021

Les pionniers du Carnaval de Nice est un nouvel épisode du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice. 

 » Le roi du Carnaval de Nice conquit sa royauté de haute lutte, grâce à la ferme clairvoyance d’un Comité des fêtes qui changea quelquefois de personnes, mais qui maintint énergiquement la tradition.

Les inventeurs du Carnaval de Nice

Le Carnaval de Nice doit aussi son succès à cette pléiade d’artistes et de constructeurs, comme Jarnach, le créateur incomparable de la royauté carnavalesque, Brémond, Eloi, Durante et Auda, Alexis Mossa, Edouard Roux, Fontana, Gerbin, l’architecte Eynaudi, le photographe Giletta qui ne dédaignait pas de concourir lui aussi à l’éclat de réjouissances qu’il reproduisît avec tant de bonheur durant de longues années.

Il faut aussi rappeler Jean Cuggia, entrepreneur, l’organisateur du char de la « Paix » en 1874 et surtout du char des Chauve-Souris ou li ratapignata qui firent couler tant d’encre et qui, en 1875, provoquèrent la chute du premier Comité des fêtes.

Les organisateurs du Carnaval de Nice

Il y a eu encore Matton, architecte, venu à Nice pour la construction de la Jetée-Promenade, l’architecte Grassi, Tiranty, Trophime Verany et S. M. Biasini, qui veillèrent avec tant de soins à la tenue artistique du Carnaval et à la décoration de la place Masséna, Charles Palmero, Pierre Spagnol, Sidro, Martini et Citterio, et d’autres encore dont les noms échappent et qui prirent une part non moins brillante aux fastes du Carnaval.

Enfin, il y a le prestigieux imagier G. A. Mossa, qui renouvelle chaque année le talent fantaisiste de Robida.

Toutefois, les organisateurs de la première heure méritent une mention spéciale.

Entrepreneurs, commerçants, industriels, artistes, s’unirent dans une louable ardeur pour assurer le succès de nos fêtes.

Les pionniers du Carnaval de Nice se prolonge avec l’épisode « Les sociétés du Carnaval de Nice » du feuilleton de Passion Riviera sur les Mystères du Carnaval de Nice.

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La Pensée de Nice
FRANCE

La Pensée de Nice

par JMS 29 avril 2021

La pensée de Nice est une charge journalistique contre le journal Il Pensiero di Nizza suspect de souhaiter le rattachement du comté de Nice à l’Italie.

On fait une réclame formidable à un obscur petit canard niçois, intitulé II Pensiero di Nizza  ou la Pensée de Nice en français, pour un article d’insultes à la France, que ledit obscur petit canard a publié.

Un journal en italien à Nice

Il Pensiero est rédigé en italien, il paraît à Nice. C’est l’organe des cinq cents bourgeois de Nice qui, nés italiens, avant l’annexion, n’ont pas oublié leur première patrie, et sont demeurés séparatistes.

Le journal de ces Français antifrançais a l’aspect, la composition, la mise en pages d’un journal italien.

Il met en première place le récit et la discussion des choses du royaume cisalpin. Les affaires de la France sont reléguées par les rédacteurs du Pensiero sous la rubrique Etranger. On les y cherche entre les dépêches de Russie et les nouvelles de la république de Haïti.

Le fondateur du Pensiero, qui fut longtemps son inspirateur, est M. Borriglione, député, maire de Nice, chevalier de la Légion d’honneur.

M. Borriglione, BourrilIon comme prononcent les gens du peuple à Nice, a longtemps été le chef du parti séparatiste dans les Alpes-Maritimes.

Il donna en 1870 une preuve éclatante de ses sentiments italiens et de sa haine contre la France.

A son instigation, une trentaine de notables de Nice écrivirent à Garibaldi, lui demandant d’envahir les territoires réunis par l’Empire à la France.

Appel à Garibaldi

Garibaldi répondit qu’il était à la fois patriote et républicain qu’en lui le patriote souhaitait le retour de Nice à la patrie italienne, mais que le républicain ne voulait pas démembrer une République pour asservir une province de plus à la monarchie, même italienne.

Malgré cet échec, les séparatistes continuèrent, Borriglione en tête, à crier « Vive l’Italie » dans le Pensiero. Mais on se lasse de tout.

M. Borriglione, devenu un personnage en France, abandonna le journal séparatiste, qui passa en d’autres mains.

Les abonnés du Pensiero sont très peu nombreux.

Le journal antifrançais ne vit que des subventions de quelques fidèles à l’Italie, et des annonces des banquiers et des commerçants italiens.

Pour conserver ces subsides, il est obligé de crier très haut ses préférences italiennes.

Aussi, tous les numéros du Pensiero sont-ils faits seulement d’insultes à la France.

Depuis longtemps, les journaux de Nice ont renoncé à entrer en polémique avec le Pensiero. »

La Pensée de Nice est un texte extrait du journal « Le Gaulois » du 30 juillet 1882.

Le journal Il Pensiero di Nizza paraîtra de 1871 à 1895.

« Par décision spéciale en date du 16 novembre 1895, délibérée en conseil des ministres, par application de la loi du 29 juillet 1881, article 14, et de la loi du 22 juillet 1895, le président du conseil, ministre de l’intérieur, a interdit la circulation en France du journal Il Pensiero di Nizza, publié à Nice en langue italienne. »

Extrait du « Journal Officiel de la République Française » du 17 novembre 1895.

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LE CANON ANGLAIS TONNE A NICE
FRANCE

Le canon anglais tonne à Nice

par JMS 27 avril 2021

Le canon anglais tonne à Nice rappelle qu’un « rosbif » est à l’origine de cette tradition qui permet de savoir quotidiennement qu’il est midi pétante.

L’anglais Thomas Coventry avait annexé une partie de la terrasse de l’Hôtel Chauvain, sur laquelle il avait installé un observatoire.

Chaque jour, il procédait à trente ou quarante observations astronomiques.

Quelques minutes avant le midi moyen, il élevait un globe coloré à un mât sur le toit. Il le descendait très précisément à midi juste.

A ce moment-là, un canon qu’il avait fait installer dans le parc du Château tonnait, permettant aux niçois de connaître l’heure exacte et de régler ainsi leurs montres et horloges.

Le canon anglais tonne à Nice trouve sa source dans le livre « Les promenades d’un curieux dans Nice » de M. A-F Brun, publié en 1894.

La tradition a subsisté et tous les jours, à midi, le son du canon résonne dans Nice.

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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