Mourir de faim sur la route de la Corniche rapporte les mésaventures de voyageurs immobilisés sur ce chemin.
La route de la Corniche, qui va de Nice vers Gênes, n’est pas des meilleures !
On la raccommode avec de gros galets, qui font faire aux voitures des soubresauts peu agréables.
C’est là, du reste, le moindre inconvénient.
Car les torrents qu’il faut passer à gué en sont un bien plus grave.
Souvent des crues d’eau subites interceptent complètement la circulation.
Il faut alors attendre trois ou quatre jours dans une affreuse auberge où l’hôte vous fait payer chèrement le plaisir de mourir de faim. »
L’histoire Mourir de faim sur la route de la Corniche vient du livre » De Paris à Naples » de Jules d’Aoust, paru en 1853.