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prince de Monaco

La garde du prince de Monaco
MONACO

La garde du prince de Monaco

par JMS 29 mai 2024

La garde du prince de Monaco est un récit qui raconte la création de ce corps de troupe.

« Par ordonnance du 10 de ce mois, le prince a dissous la milice nationale.

Un délai de huit jours a été accordé aux officiers et miliciens pour remettre les uniformes, armes et objets d’équipement qui leur avaient été confiés par la Principauté.

Le prince a créé, pour remplacer la milice, un corps de troupe destiné à la garde de S.A.S. qui prendra le nom de Gardes du prince.

La garde du prince, dont la tenue est gracieuse, est composée de militaires français libérés, ayant servi dans la garde impériale, les zouaves et la garde de Paris.

Le commandant supérieur de cette troupe est M. Visquie, officier de la Légion d’honneur et de l’ordre des Saints Maurice et Lazare, ancien lieutenant-colonel de la garde impériale. »

La garde du prince de Monaco est un texte tiré du journal « Le Constitutionnel » du 25 juin 1870.

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Le prince de Monaco s'invite à déjeuner
MONACO

Le prince de Monaco s’invite à déjeuner

par JMS 25 avril 2024

Le prince de Monaco s’invite à déjeuner raconte une question d’étiquette à la suite de l’arrivée inattendue du souverain.

Geneviève Halevy tenait un salon littéraire à Paris, rue de Miromesnil, où elle recevait une société composite, sans souci des préséances, dans une manière d’égalité académique.

Après avoir été marié avec le compositeur Georges Bizet, elle vivait dorénavant avec l’avocat Emile Straus. On dit qu’elle servit de modèle pour la duchesse de Guermantes, dans le roman de Marcel Proust, A la recherche du temps perdu.

 » Gabriel d’Annunzio, le célèbre écrivain italien, qui venait pour la première fois à Paris, fut invité rue de Miromesnil à l’un des déjeuners du dimanche, et l’on se préparait à lui rendre honneur, lorsque le maître d’hôtel ouvrit la porte et, au lieu d’annoncer que Madame était servie, vint dire à Mme Straus entre haut et bas :

— Le prince de Monaco téléphone pour demander s’il peut venir déjeuner.

— Naturellement ! Répondez que oui ! dit Straus de mauvaise humeur.

C’était toute la table à refaire, Annunzio à gauche !

Sans compter qu’au lieu de lui présenter, comme à un roi, tous les convives, et même les femmes, c’est lui qu’il fallut présenter au prince, qui ne manqua pas de lui dire, en guise de compliment, comme il faisait à tous les gens de lettres :

— Vous êtes très connu à Monaco.

Sur ce, on annonça que Son Altesse Sérénissime était servie. »

Le prince de Monaco s’invite à déjeuner est un texte trouvé dans le livre « Souvenirs de la vie mondaine » d’Abel Hermant, publié en 1935.

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Bataille d'asticots à Monaco
MONACO

Bataille d’asticots à Monaco

par JMS 7 mars 2024

Bataille d’asticots à Monaco raconte un curieux arbitrage entre la Turbie et la Principauté.

 » De même que Peille avait possédé sur Monaco des droits que les Grimaldi lui achetèrent, la Turbie affirmait avoir des droits sur les Spélugues.

En 1324, une violente querelle éclata entre Turbiasques et Monégasques, chacun voulant l’exclusivité de la pêche aux Spélugues.

Un arbitre fut nommé : le vicaire de Nice, Audibert de Baraccio.

Celui-ci se rendit sur les lieux et mit les deux partis en paix et concorde, prononçant une sentence d’après laquelle ceux de Monaco, puis ceux de la Turbie, pouvaient pêcher alternativement chacun deux jours. »

Bataille d’asticots à Monaco est un texte repêché dans le journal « La Semaine niçoise » du 13 novembre 1902.

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Le Café de Paris à Monaco
MONACO

Le Café de Paris à Monaco

par JMS 28 février 2024

Le Café de Paris à Monaco est un article qui décrit l’origine de cet établissement célèbre de la Principauté.

 » Le Café de Paris, avec sa charmante architecture orientale et sa longue terrasse au soleil, orne la place du Casino, au Nord Est, en avant des jardins qui l’entourent sur deux côtés.

De sa terrasse on jouit du très intéressant spectacle que constitue l’intense mouvement de la place du Casino, où tous les peuples sont représentés.

Jusqu’en 1865, le Café était une dépendance de l’Hôtel de Paris.

A cette époque, on lui affecta un bâtiment spécial qui bornait la place à l’Est, vis-à- vis de l’hôtel.

En 1897, on démolit ce premier bâtiment pour dégager la vue de ce côté sur les jardins et mettre en valeur les nouvelles façades du Casino harmonisées par M Schmit.

C’est alors que le Café de Paris fut posé en largeur au Nord de la place, vis à vis du Casino.

Il comprend : une salle de billards, une salle de restaurant avec véranda vers les jardins, le bar anglo-américain et le grill room tenus à l’instar des principales maisons similaires de Londres et de New-York.

Le concessionnaire en est M. Dureteste. »

Le Café de Paris à Monaco est un texte tiré du journal « La Semaine niçoise » du 4 décembre 1902.

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Pendu aux murailles de Monaco
FRANCE

Pendu aux murailles de Monaco

par JMS 20 février 2024

Pendu aux murailles de Monaco est un récit qui raconte une attaque des troupes françaises contre la principauté.

 » Le duc de Guise, nommé gouverneur de Provence par Henri IV, avait parmi ses officiers un monégasque, le capitaine César Arnaud.

Il lui confia la direction d’une expédition pour se saisir de la forteresse.

La flottille, portant sept cents soldats, arriva dans la nuit du 27 octobre 1596 à l’anse de Mala.

César Arnaud fit débarquer aussitôt tous ses hommes, munis d’échelles, de crocs, de cordes.

On se dirigea en hâte vers Monaco, et l’on tenta l’escalade des murs du côté de terre.

Déjà des provençaux avaient gravi les pentes de Serravale, et plaçaient des échelles aux bastions du château où sont aujourd’hui les jardins, lorsque l’alarme fut donnée.

La garnison accourut, les échelles furent renversées et les assaillants mis en fuite.

L’entreprise ayant échoué, César Arnaud et ses hommes regagnèrent en hâte le Cap d’Ail où ils se rembarquèrent.

Le père du chef de cette expédition, Honoré Arnaud, qui habitait Monaco, convaincu d’avoir coopéré au complot en établissant des intelligences dans la place, fut pendu et son corps attaché par les pieds aux bastions. »

Pendu aux murailles de Monaco est un texte extrait du journal « La Semaine niçoise » du 5 février 1903.

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Monaco assiégé par les Génois
MONACO

Monaco assiégé par les Génois

par JMS 8 février 2024

Monaco assiégé par les Génois est une histoire qui raconte une longue opération militaire.

 » En 1506, les Génois, renforcés des Pisans, réunirent une armée qu’on peut évaluer au moins à 20.000 hommes, et assiégèrent Monaco par terre et par mer.

Ils se fortifièrent surtout sur le plateau des Spélugues (aujourd’hui Monte-Carlo), qui commande l’entrée du port, et partant de là, leurs batteries entouraient la forteresse par le Carnier, Moneghetti, Casteleretto, les Révoires et la Colle.

Monaco était investi par terre et par mer.

Après trois mois de siège, les Génois portèrent tout leur effort sur la partie Nord de la place, où les remparts étaient plus faibles.

Une batterie établie sur la hauteur de la Colle ouvrit une large brèche dans le mur de Serravale.

La nuit du 19 mars, pendant que leur flotte débarquait des troupes à la pointe de la presqu’île pour faire diversion, un grand assaut était donné à l’autre côté, vers cette brèche.

La lutte dura cinq heures ; les Génois furent complètement battus.

La nuit suivante, ils embarquaient leur artillerie sous le feu de la place, brûlaient les baraquements de leur camp du Garnier et de la Condamine et, le 22 mars, ils se retiraient sur Vintimille.

Le siège avait duré cent deux jours.

Giustiniano, qui commandait les troupes génoises, fut pendu à son retour à Gênes.

Monaco assiégé par les Génois est un texte trouvé dans le journal « La Semaine niçoise » du 15 juin 1902.

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Origine des Grimaldi de Monaco
MONACO

Origine des Grimaldi de Monaco

par JMS 1 février 2024

Origine des Grimaldi de Monaco est un article qui remonte aux sources de la famille princière.

 » Le plus ancien ascendant connu des Grimaldi est Otto Canella qui fut consul de Gênes vers le milieu du XIème siècle.

Un de ses fils, Grimaldo, trois fois consul de 1162 à 1184, donna son nom comme nom patronymique à sa descendance.

A plusieurs reprises déjà, les Grimaldi avaient occupé Monaco à la tête du parti guelfe et l’avaient ensuite reperdu.

En 1297, François Grimaldi, surnommé Malizia, usa d’un stratagème hardi pour reprendre Monaco.

Déguisé en moine, il pénétra dans la place, rallia ses partisans, et se rendit maître des postes, du palais et de la ville en une seule nuit.

Puis, vint Rainier Grimaldi, auquel le roi de France Philippe le Bel confia le commandement en chef de sa flotte et qui remporta la grande victoire de Zericksee en 1304 sur le comte de Flandre.

Mais c’est Charles 1er, fils aîné de Rainier, qui établit définitivement la souveraineté de sa famille sur Monaco.

Il acquit en outre les seigneuries de Menton en 1346 et de Roquebrune en 1355. »

Origine des Grimaldi de Monaco est un texte retrouvé dans le journal « La Semaine niçoise » du 15 juin 1902.

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Malice à Monaco
MONACO

Malice à Monaco

par JMS 25 janvier 2024

Malice à Monaco est un récit qui raconte comment François Grimaldi a repris le château.

 » A bout de la rampe qui permet d’accéder en haut du Rocher, on arrive sous un bâtiment voûté, où le chemin tourne à angle droit avant de déboucher sur la place du Palais, à Monaco.

Noël guerrier

C’est le fameux Mirador où se tenait le poste de garde. A sa suite, plusieurs salles s’ouvraient à la fois du côté du port et du côté de la ville. C’est dans ces salles, appelées les Cabanes, que se tenaient les troupes défendant l’entrée de la forteresse.

Ce poste de Mirador a joué un rôle important dans l’histoire monégasque. De sa possession dépendait le sort de la forteresse.

Ainsi, le 25 décembre 1306, les Grimaldi avaient été dépossédés de Monaco depuis six ans. Les Spinola s’étaient établis dans la forteresse.

François Grimaldi, justement surnommé Malizia, résolut de reprendre le bien de ses aïeux.

Moine armé

La veille de Noël de 1306, déguisé en moine du prieuré de Sainte Dévote, il s’avança hardiment vers le Mirador et passa au milieu des soldats de garde au moment où la cloche de l’église sonnait la messe de minuit.

Il se rendit chez ses partisans déjà prévenus, et pendant que la garnison sans méfiance était à l’église, ils fondirent à l’improviste sur le Mirador dont ils maîtrisèrent le poste, et ouvrirent les portes aux conjurés que le moine avait laissés dehors.

La ville envahie par eux, les postes occupés, les Spinola n’eurent que le temps de s’enfuir au port d’où une galère les transporta à Gênes.

Les Grimaldi rentrèrent, après ce fait d’armes, en 1306 en possession de leur seigneurie de Monaco. »

Malice à Monaco est un texte découvert dans le journal « La Semaine niçoise » du 29 juin 1902.

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Monaco en 1775
MONACO

Monaco en 1775

par JMS 22 janvier 2024

Monaco en 1775 est un récit qui reprend une relation de voyage du philosophe suisse Johann Georg Sulzer.

« Monaco est situé sur un rocher élevé qui se détachant des montagnes voisines, s’avance dans la mer et qui forme une espèce de haute presqu’île.

Sur le Rocher

La route du port au faîte du rocher, est bonne et large ; mais on ne peut pas la parcourir en voiture et difficilement à cheval parce qu’elle est divisée par des escaliers.

L’entrée de la ville est bien fortifiée.

Au-dessus du rocher est bâtie la ville.

Au Nord, se trouve le palais du prince, avec une belle place qui communique avec les différentes rues. La ville n’est pas vaste, mais elle est bien située, assez grande, peuplée et bien construite.

De partout, on domine la mer, de sorte qu’il serait difficile de s’en emparer si ce n’est derrière le château où le rocher s’appuie aux montagnes voisines. Mais ce lieu est protégé par d’excellentes fortifications.

Diverses batteries commandent le passage en mer, autant pour en tenir éloignés les navires ennemis que pour arrêter les bateaux marchands, et leur faire payer la gabelle qui est un ancien droit des princes de Monaco.

Dans la ville

Il y a toujours à Monaco un bataillon de troupes françaises parce que le prince souverain s’est placé sous la protection du roi de France. La ville retire par conséquent le bénéfice de l’argent que les soldats y dépensent.

Il est difficile de s’imaginer d’où les habitants tirent leur subsistance et néanmoins parmi eux on ne voit pas la misère ; cependant les quelques jardins répandus sur la montagne et dans la vallée, quoique fertiles, paraissent bien loin de suffire à leurs besoins.

Le palais du Prince est très grand, mais ne contient rien de remarquable, si ce n’est sa position.

Sur la place, devant le palais, vers le couchant, se trouve une longue file de beaux canons. De cette place on jouit d’un très beau coup d’œil sur le golfe d’Antibes et la baie de Vintimille. Vers le Sud-est, nous aperçûmes la Corse.

La rente de la Principauté de Monaco se monte au plus à cent mille francs. On le croira facilement quand on saura qu’il n’y a dans tout, cet état que deux villes : Monaco et Menton et un petit village, perché sur la montagne qui s’appelle Roquebrune.

Sur la route de Menton, nous visitâmes le palais d’été du prince qui est situé sur la mer non loin du Cap Martin. Ce palais n’a d’ailleurs rien de remarquable. » 

Monaco en 1775 est un texte trouvé dans le journal « Nice artistique » du 5 janvier 1890.

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Les nobles de Monaco
MONACO

Les nobles de Monaco

par JMS 5 janvier 2024

Les nobles de Monaco est une histoire qui raconte comment Charles-Quint a anobli toute la population monégasque.

 » Un jour, Charles-Quint vint à Monaco.

Le peuple et la bourgeoisie surpassèrent la noblesse monégasque en luxe et en réjouissances pour fêter leur hôte auguste.

Après un joyeux repas au palais, l’empereur se mit au balcon, et, à l’aspect de cette ville ruisselante de banderoles et d’illuminations, et de cette population endimanchée qui l’acclamait avec enthousiasme, ému et reconnaissant., dans un accès de libéralité souveraine, Charles-Quint, répondit aux vivats de la foule par ce mot magnifique :

 — Salut, gens de Monaco ! Je vous fais tous nobles ! « 

Les nobles de Monaco est un texte trouvé dans le journal « La Petite presse » du 2 mars 1867.

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