Le funiculaire de Super-Cannes est un article qui rappelle l’existence de ce moyen de transport pour atteindre les hauteurs de la ville.
» Dominant les frondaisons de pins et d’eucalyptus de la Californie et la ville nouvelle qui pose çà et là des taches blanches, roses et ocres au bord de la baie toute bleue, le Super Cannes campe son attrayante auberge provençale.
Au terminus du funiculaire qui serpente entre les parois abruptes, l’auberge provençale convie les touristes sur sa terrasse ensoleillée au lunch, au thé, au dîner qui prélude aux belles nuits de l’été.
Super Cannes, de la Gare P.L.M. à la gare provençale du funiculaire, par les grands cars P.L.M., la lente montée entre les pinèdes qui défilent en encadrant le funiculaire même, c’est une ascension alpestre joujou au cœur même de Cannes, parmi ses sites les plus riants d’hiver et d’été. »
Le funiculaire de Super-Cannes est un texte issu du journal « L’Éclaireur du dimanche » du 13 mai 1928.