Bordighera est une ville africaine décrit une végétation aussi luxuriante que celle que l’on peut découvrir de l’autre côté de la Méditerranée.
» Bordighera a une ancienne réputation.
Elle s’est agrandie depuis une quinzaine d’années où les grands boulevards nouvellement tracés étaient solitaires.
Les boutiques sont dans la rue Victor-Emmanuel. Plus haut, il y a la route des villas qui sont fort nombreuses.
On peut séjourner dans de bons hôtels comme celui d’Angleterre, des Iles-Britanniques, du Lozeron ou du Bellevue.
Bordighera est entourée de montagnes boisées qui la protègent en partie des vents septentrionaux. Ce ne sont plus des collines basses et arides comme à Vintimille, mais des hauteurs couvertes d’oliviers et de pins.
La culture des citronniers et des rosiers fait concurrence à Menton. Les palmiers ne croissent pas seulement dans les villas abritées, mais bien en pleine campagne, véritable forêt qui s’aperçoit du chemin de fer ; dans le ravin de Sasso, ils sont serrés en pépinière.
Cette perspective est plus saisissante que les plantations des boulevards.
Les villas Bishoffsheim, Moreno, Garnier et plus loin le jardin Winter témoignent de la douceur du climat par leur végétation africaine, et à ce titre, elles méritent une visite détaillée.
Ensuite, on peut rejoindre Ospedaletti. La distance entre les deux villes est de 7 kilomètres. «
Bordighera est une ville africaine se poursuit avec « La ville nouvelle d’Ospedaletti«