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Le Saint-Suaire revient à Nice
FRANCE

Le Saint-Suaire revient à Nice

par JMS 31 juillet 2025

Le Saint-Suaire revient à Nice est un article qui raconte la présentation de cette relique exposée à la vénération des Niçois.

« L’Evêque de Nice, frappé des calamités dont le pays était menacé, obtint du Duc Charles-Albert de Savoie l’envoi et l’exposition publique de la Relique du Saint-Suaire, pour implorer l’assistance du Ciel.

L’Archevêque de Turin y consentit, et le Linceul sacré fut porté processionnellement à la Cathédrale de Nice, sous le baldaquin, le clergé et les confréries marchant pieds nus.

Le 29 mars 1837, jour du Vendredi Saint, on l’exposa à la vénération des fidèles, au haut de la tour Bellanda, qui domine les rochers des Ponchettes.

Le gravier de la mer put à peine contenir le concours prodigieux de monde accouru de tous les environs pour assister à cette cérémonie religieuse. »

Le Saint-Suaire revient à Nice est un texte extrait du livre « Mémoires sur l’histoire de la commune de Contes » de l’abbé Antoine Cauvin, publié en 1885.

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Disparition du port de Nice
FRANCE

Disparition du port de Nice

par JMS 24 février 2022

Disparition du port de Nice relate l’existence du port St-Lambert, ancien port de la ville avant la création du port Lympia.

« Le long de la plage, parallèlement aux terrasses, s’étendait jadis le port Saint-Lambert protégé, du côté du large, par une jetée et dont l’entrée était défendue par la tour Bellanda.

 Ce port, où furent abritées des flottes entières et près duquel étaient établis des arsenaux et de vastes chantiers de construction, est entièrement détruit de nos jours.

La mer causait à la digue d’incessantes dégradations, aux frais desquelles on subvenait par un impôt spécial.

On prélevait, en outre, pour le môle du port un cinquième sur toute succession.

Des corvées et d’autres charges qui frappaient les habitants de Nice concouraient encore à cet entretien.

La fondation de Villefranche, en 1295, fut la cause principale de la décadence du port et de l’arsenal de Nice.

Relevé de ses ruines en 1420, il subsista jusqu’à la création du nouveau port en 1750, à l’emplacement d’un mouillage signalé au quartier Lympia dans une charte de 1216. »

Disparition du port de Nice est un extrait des « Promenades d’un curieux dans Nice » de M. A-F Brun, publiées en 1894.

Des fouilles sous-marines ont permis de confirmer l’existence de ce port.

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Promenade sur les terrasses du cours Saleya
FRANCE

Promenade sur les terrasses du cours Saleya

par JMS 11 janvier 2022

Promenade sur les terrasses du cours Saleya rappelle que l’on pouvait flâner sur ces terrasses et profiter de le vue magnifique sur la mer.

A Nice, la  » double ligne de constructions basses, qui s’étend au bord de la mer, depuis le rocher du Château jusqu’au théâtre municipal était vraiment appréciée des hivernants. Dans les années 1850, il s’agissait d »un des lieux les plus fréquentés de la ville.

C’est la promenade des Terrasses dont Millin a notamment fait une si jolie description.

Quoi qu’il en ait dit, on se promenait entre deux rangées de cheminées, respirant avec la brise de la mer, l’odeur de la fumée mélangée à celle des cuisines.

En fait, une partie de ces constructions appartenait aux anciens remparts. Autrefois, il y avait même une ouverture désignée comme la porte de la Marine.

La terrasse qui s’étend du côté de la mer, depuis la porte de la Poissonnerie jusqu’à la bibliothèque, a été construite vers l’année 1840, l’autre date de 1759.

C’était aussi devant ces constructions que s’étendait le port Saint-Lambert. Son entrée était protégée par la tour Bellanda, en partie conservée de nos jours et connue sous le nom de tour Cléricy. »


Promenade sur les terrasses du cours Saleya est un extrait des « Promenades d’un curieux dans Nice » de M. A-F Brun, paru en 1894.

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HECTOR BERLIOZ COMPOSE A NICE
FRANCE

Hector Berlioz compose à Nice

par JMS 11 août 2020

Hector Berlioz compose à Nice relate les trois séjours niçois du célèbre musicien.

La tour Bellanda, sur les hauteurs de la colline du Château à Nice, a hébergé le compositeur français Hector Berlioz, en septembre 1844.

Il était déjà venu, à Nice, en avril-mai 1831, et avait alors séjourné à la Maison Clerissi au pied de la tour Bellanda.

Il y avait composé l’ouverture du roi Lear.

Une plaque apposée, par l’association des élèves du conservatoire de Nice, le 6 novembre 1932, commémore ces deux séjours.

Dans ses mémoires, Hector Berliz dira que le séjour de 1831 à Nice a constitué « les vingt plus beaux jours de ma vie ».

Sous le charme, il écrit:

« Je suis à Nice, j’en aspire l’air tiède et embaumé à pleins poumons. Voilà la vie et la joie qui accourent à tire-d’aile et la musique qui m’embrase et l’avenir qui me sourit, et je suis à Nice à errer dans les bois d’orangers, à me plonger dans la mer… »

Le fameux compositeur aura l’occasion de revenir, une dernière fois, à Nice en mars 1868. Il séjournera alors à l’hôtel des Etrangers.

Hector Berlioz compose à Nice montre que la beauté de la région niçoise a inspiré une partie de l’œuvre du musicien français.

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Histoire du château de Nice (3)
FRANCE

Histoire du château de Nice (3)

par JMS 12 novembre 2019

Histoire du château de Nice (3) est le troisième épisode de la vie à travers le temps de cette citadelle érigée sur un promontoire face à la mer.

LE DONJON LAISSE PLACE AU CHATEAU

Le donjon ne suffisait pas à protéger Nice.

La Maison de Savoie voulait une forteresse capable de jouer un grand rôle stratégique.

En 1437, on construisit à l’extrémité des escarpements de l’anse Saint-Lambert une grosse tour ronde, creuse, assurant la liaison entre la ville moyenne et la batterie de la grève.

Cette tour fut démolie en 1706 : on édifia sur ses fondations, dans la première moitié du XIXème siècle, la tour Bellanda, que l’on voit aujourd’hui au-dessus de l’hôtel Suisse.

De même, on éleva, face à la plaine de Lympia, la tour de la Rochette, et on relia ces fortifications avec un rempart massif que l’on dut protéger encore de tours, de batteries et de casemates.

Ludovic de Malingre fit creuser à la pointe de Rauba-Capeù un immense puits descendant à travers le roc jusqu’au-dessous du niveau de la mer.

NICE ETOUFFE DANS LES MURAILLES DU CHATEAU

Nice était ramassée entre ses murailles, dans un réseau de sombres ruelles, de porches, de bâtisses trop serrées, dans un grouillement de bruit, d’interpellations sonores dont les moins enviés des quartiers de la vieille ville actuelle donnent une idée trop avantageuse.

Paysans allant aux campagnes par-delà le Paillon, gens d’armes descendant à la relève, pescaïris naturellement bruyantes, artisans groupés par carrières, caïreu et capelina, clochers sans -cesse bourdonnant animaient la cité.

Gentilshommes pimpants., consuls en robes rouges, religieux multicolores attiraient les regards et cueillaient le respect.

La vie niçoise dans tout son pittoresque était là, avec la fierté de l’indépendance, les privilèges du municipe, la fidélité aux traditions.

Le perfectionnement, des armes à feu obligea à substituer aux orgueilleuses murailles des remparts bas, précédés d’un fossé profond et d’un glacis.

Les établissements publics civils et les maisons particulières de la ville haute firent place aux magasins et casernements militaires dont le développement s’imposait.

NICE S’ETEND HORS LES MURS DU CHATEAU

Les nobles donnèrent l’élan au déménagement du « château», en 1518.

Le duc de Savoie fit construire, pour ses séjours a Nice, un. palais sur l’emplacement actuel de la Préfecture.

Les Grimaldi de Beuil, en bons courtisans, érigèrent leur nouvel « hôtel » près du palais ducal, sur le Cours; le gouverneur du Comté, au « canton des Sarrasins », au carrefour des rues Malonat, Droite et Sénat.

Théodore Lascaris, empereur détrôné de Nicée, réfugié à Nice, fit bâtir une demeure princière dans la rue Droite, encore signalée, selon l’usage, aux touristes, comme un objet d’admiration.

L’évêque élut l’église Sainte-Réparate pour cathédrale et y adossa son palais.

Les Augustins, les Carmes, les Dominicains, les Jésuites et les Filles de Sainte-Claire avaient déjà leurs couvents dans la ville-basse.

Naturellement, les sujets qui le pouvaient, suivaient de si hauts exemples en descendant leurs toits vers le Paillon.

Nombre de tanneurs passèrent le torrent et se groupèrent à la bourgade Saint-Jean-Baptiste.

Ce troisième épisode de l’histoire du château de Nice (3) écrite par Paul Canestier a une suite que vous pouvez lire en cliquant ICI.

Vous pouvez aussi lire l’épisode 1 en cliquant ICI ou l’épisode 2 en cliquant ICI.

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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