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Saint-Tropez à diligence
FRANCE

Saint-Tropez à diligence

par JMS 29 octobre 2025

Saint-Tropez à diligence est un article qui décrit le chemin pour rejoindre en voiture à cheval ce village de pêcheurs.

 » Le village de Saint-Tropez est à quelque distance du chemin de fer.

Le convoi s’arrête à La Foux, station qui dessert aussi un centre important de population, caché derrière une anfractuosité de rochers, Cogolin.

L’antique diligence est toujours le mode de transport en usage pour se rendre au pays adoptif du bailli de Suffren.

A mesure qu’elle avance, nous voyons grandir la rangée de maisons bariolées de Saint-Tropez qui s’alignent le long du port ; leurs toits se mirent renversés au fond de l’onde transparente.

La route est fort agréable, mais elle n’offre pas d’autre particularité qu’un pin gigantesque qui porte un nom : pin de Bertaud. I

ll nourrit lui-même un parasite, un humble figuier, qui a pris naissance d’une graine tombée sur l’arbre séculaire et qui s’y est greffé d’une façon indestructible.

Juché sur l’impériale, je contemple dans toute sa beauté ce roi des conifères et je m’incline en passant pré» de lui; il est vrai que c’est pour éviter le dard piquant de ses aiguilles. »

Saint-Tropez à diligence est un récit trouvé dans le journal « Le Monde » du 8 février 1891.

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Débarquement de Provence
FRANCE

Débarquement de Provence

par JMS 19 août 2025

Débarquement de Provence est un article qui reprend une communication adressée aux populations civiles par le commandant américain des opérations.

 » En même temps que les troupes alliées prenaient pied sur le sol de France, le général Sir Henry Maitland Wilson, Commandant en Chef sur le théâtre d’opérations de Méditerranée, adressait la proclamation suivante à la population civile

« Les armées des Nations Unies ont débarqué dans le midi de la France.

Leur but est de repousser les Allemands et de faire leur jonction avec les forces alliées avançant depuis Ia Normandie.

Les soldats français prennent part à ces opérations, côte à côte avec leurs frères d’armes alliés, sur terre, sur mer et dans les airs.

L’armée de la France existe de nouveau, combattant sur son propre sol, pour la Libération de la Patrie, avec toutes ses traditions victorieuses derrière elle.

Souvenez-vous de 1918. Tous les Français, civils et militaires ont leur rôle à jouer dans la Campagne du sud de. la France.

Votre devoir est clair.

Ecoutez les radios alliées, lisez les avis et les tracts qui vous sont transmis, que les instructions passent de main en main.

Finissons ce combat aussi vite que possible pour que la France tout entière reprenne sa vie libre et que la paix et la sécurité reviennent.

La victoire est certaine.

Vive l’âme de la France, et tout ce qu’elle représente !»

Débarquement de Provence est un texte issu du journal « Combat » du 16 août 1944.

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Des Génois pour Saint-Tropez
FRANCE

Des Génois pour Saint-Tropez

par JMS 4 juillet 2025

Des Génois pour Saint-Tropez est un récit qui raconte comment la ville a pu être reconstruite après les destructions des Sarrazins.

 » La ville de Saint-Tropez avait été complètement ruinée et détruite par les Sarrazins, et les rivages du golfe étaient depuis lors la proie des forbans qui y trouvaient un lieu de débarquement sûr.

En 1470, Jean de Cossa, grand sénéchal de France et baron de Grimaud, voulut rebâtir Saint-Tropez et garantir ses terres des déprédations continuelles des pirates.

Il se trouva soixante chefs de famille qui ne craignirent pas de s’engager, à peine de confiscation de tous leurs biens, à se fixer pour dix ans sur ce point et à le défendre des insultes de l’ennemi.

En contrepartie, ils demandaient à être exonérés de tous les impôts perçus par les comtes de Provence et de toutes les charges féodales.

Beaucoup étaient Génois, mais tous ne l’étaient pas, contrairement à l’opinion commune…

Le projet du baron de Grimaud leur sembla une occasion favorable pour rentrer à Saint-Tropez.

Un gentilhomme génois, Garrezio, se fit leur interprète.

Cossa accueillit leurs prétentions et investit Garezzio de la seigneurie de Saint-Tropez, sous la seule réserve de l’hommage, d’une rente annuelle de 40 florins, du droit de juridiction sur les étrangers qui se fixeraient par la suite à Saint-Tropez, des régales et des naufrages. »

Des Génois pour Saint-Tropez est un texte extrait du « Bulletin de l’Académie du Var » de 1879.

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Attaque du château de Mouans-Sartoux
FRANCE

Attaque du château de Mouans-Sartoux

par JMS 10 avril 2025

Attaque du château de Mouans-Sartoux est une histoire qui raconte le siège subi par la châtelaine du lieu.

 « En 1592, le duc de Savoie s’empara du château de Mouans, qui fut défendu pendant trois jours avec beaucoup du courage par la dame du lieu, Suzanne de Villeneuve, de la famille de Trans, veuve du seigneur de Bormes, assassiné quelques années auparavant par ses vassaux.

Cet exploit de la part d’un duc qui sortait de la Provence avec l’intention de n’y plus rentrer, était un exploit de larron de grand chemin, car il ne pouvait avoir pour but que de livrer au pillage de sa petite armée une riche demeure.

Suzanne se rendit à la condition que son château serait respecté, mais la convention fut ouvertement violée et la place saccagée.

Le duc promit à la dame de Mouans quatre mille écus d’indemnité, bien décidé à ne pas les donner.

Il décampa, en effet, sans payer.

Mais Suzanne, qui était une femme d’un grand courage, se mit à sa poursuite et le rejoignit au moment où il allait atteindre Antibes.

Elle traversa les rangs de son armée, suivie d’un seul valet, et dès qu’elle l’aperçut, elle mit pied à terre et saisissant les rênes du cheval du duc, elle lui dit d’une voix sévère :

« Ecoutez moi, s’il vous plaît, Monsieur ! Dieu qui est plus grand que vous nous écoute. Quand nous le prions, il exauce nos prières quand elles sont justes, or vous connaissez la justice de la mienne. Faites-y attention, je vous prie, et considérez combien il importe à un grand prince d’être inviolable dans sa foi ! »

Le duc étonné et confus lui fit compter la somme promise. »

Attaque du château de Mouans-Sartoux est un texte découvert dans le « Bulletin de la Société académique du Var » de 1871.

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En train vers Saint-Tropez
FRANCE

En train vers Saint-Tropez

par JMS 30 octobre 2024

En train vers Saint-Tropez est une histoire qui raconte un temps révolu avec la disparition de la ligne du Sud.

 » Gare de La Foux : une halte charmante isolée au milieu de grands pins parasols.

Il y a là un croisement de voies. Un embranchement monte vers Grimaud ; un autre descend vers Saint-Tropez, tandis que la ligne principale continue vers Sainte-Maxime en contournant le golfe.

Nous quittons donc notre train miniature pour monter dans un autre non moins minuscule.

Sur cette ligne du Sud, d’ailleurs, tout semble avoir été conçu à une échelle réduite : locomotives, wagons, gares, tunnels ; et le trajet total est de cent kilomètres au plus…

Arrêt Bertaud ! Voici le fameux pin parasol que les cartes postales ont illustré à l’envi. Ce géant unique, heureusement épargné, s’impose à l’admiration par ses proportions colossales.

Que de jolies stationnettes graduent le parcours et dont les noms éveillent des suggestions bien provençales : « Oustalet deis Pescadous, La Bouillabaisse. Le Pilon… ».

Saint-Tropez est vers la pointe du golfe, exposé au levant.

Dès notre arrivée dans la vieille cité, nous avons l’impression de respirer une atmosphère très ancienne tout imprégnée de légendes, d’histoires, d’aventures maritimes.

Et cette impression là persiste en nous, se fortifie tandis que nous parcourons les rues étroites et fraîches aux noms bizarres et étrangement évocateurs, sous la protection de la citadelle.

C’est toute la gloire d’un passé épique que nous racontent les vieilles pierres saurées par les soleils des siècles, marinées par les embruns et les vents chargés de sel. »

En train vers Saint-Tropez est un texte découvert dans le mensuel « Le Var illustré » de janvier 1921.

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Fille privée de son héritage à Nice
FRANCE

Fille privée de son héritage à Nice

par JMS 24 octobre 2024

Fille privée de son héritage à Nice est une histoire qui raconte l »effet d’une loi successorale de la Provence.

 » La fille dotée ne participait pas à la succession de ses père et mère, si elle avait des frères vivants ou s’il y avait des enfants de ses frères décédés.

Cette exclusion successorale de la fille dotée est l’un des traits les plus caractéristiques de l’ancien droit provençal, en vigueur jusqu’à la Révolution de 1789.

Ce principe est énoncé dans les statuts de Guillaume II, comte de Forcalquier, vers 1162, dans les statuts de Nice de 1205, dans les plus anciens statuts de diverses cités provençales, dans les statuts et privilèges du comté de Vintimille et val de Lantosque de 1257-1264.

Il est reproduit dans les statuts généraux de la Provence de 1472.

Il fut maintenu dans les régions dites « baronnie de Beuil et comté de Nice », détachées de la Provence en 1388.

On a généralement qualifié cette pratique de coutume injuste, barbare, privant la femme d’un droit naturel, élémentaire, sous le prétexte d’une dot modique, pour avantager ses frères et éviter le fractionnement du patrimoine familial.

Il est certain que, dans la société rurale de la Provence, les parents tenaient à ne pas réduire le lot familial des terres exploitées par eux et à le transmettre à leurs fils seulement pour ne pas éparpiller, morceler leurs parcelles en des parts d’un rendement insuffisant, leurs filles devant se contenter de leur dot, le dot ou le doire, comme portent les documents français du XVIe siècle.

Mais, au final, Si l’on tient compte du peu d’abondance du numéraire dans les campagnes, des prix courants des maisons et des terres, de la stabilité des prix pendant tout le XVIème siècle, on constate que la valeur de la dot faite à la fille privée de l’héritage de ses parents se rapprochait assez de la valeur de la part d’héritage octroyée à ses frères. »

Fille privée de son héritage à Nice est un texte trouvé dans le « Bulletin philologique et historique » de 1953, qui reprend une communication de Paul Canestmeth.

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Flèche mortelle à Nice
FRANCE

Flèche mortelle à Nice

par JMS 17 juin 2024

Flèche mortelle à Nice est un récit qui relate la défense par la ville de son indépendance.

 » Dans le courant de l’année 1162, le comte de Provence, Raymond-Bérenger IlI, envoya, vers Nice, une ambassade solennelle, pour réclamer la soumission de la ville.

Les députés du comte, selon les chroniques, trouvèrent l’enseigne de la liberté plantée au milieu de la ville et ils ne recueillirent des citoyens, que ces fières paroles : « qu’ils étaient, depuis des siècles, indépendants des chefs Provençaux, qu’au prix du sang versé dans les discordes civiles ils avaient fondé l’état Consulaire et qu’ils le maintiendraient jusqu’à la mort. »

Raymond-Bérenger voulut alors tenter d’arracher, par les armes, ce qu’il n’avait pu obtenir par la persuasion.

Mais une flèche le tua, en 1166, lorsqu’il combattait au pied des remparts de Nice, et arrêta ainsi son entreprise. »

Flèche mortelle à Nice est un texte tiré du « Bulletin trimestriel de la Société des sciences, belles-lettres et arts du département du Var » de 1857.

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Romée de Villeneuve protège Nice
FRANCE

Romée de Villeneuve protège Nice

par JMS 24 novembre 2023

Romée de Villeneuve protège Nice est un récit qui raconte comment ce serviteur éclairé de la Provence a fortifié la ville.

 » Confiante dans la valeur, la loyauté, la sagesse de Romée de Villeneuve, connétable, grand amiral et régent de Provence, Nice se rend à lui, après s’être révoltée.

Chargé du gouvernement, Romée, par l’excellence de son administration élève la prospérité et la splendeur de Nice jusqu’au plus haut point.

Il fait ajouter à la tour gothique toutes les fortifications défensives que l’art de la guerre a inventé en Orient et en Occident. Le rocher en est entièrement couvert.

Il établit sur le bord de la mer, à l’endroit dit les Ponchettes, un immense arsenal maritime.

Le tout et la ville elle-même sont entourés d’une épaisse muraille crénelée toute en pierres de taille, de fossés profonds avec pont-levis et portes de fer.

Nice dès lors passa pour imprenable.

Romée de Villeneuve consacra son immense fortune à l’embellissement, à la sûreté, à la prospérité de Nice ; sa bienfaisance était inépuisable.

A sa mort, la ville entière prit le deuil.

On lui fit des funérailles publiques et Nice lui fit élever un magnifique tombeau dans l’église des Dominicains. »

Romée de Villeneuve protège Nice est un texte trouvé dans le journal « Nice artistique » du 19 novembre 1881.

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Poisson au coup de pied à la Colette
FRANCE

Poisson au coup de pied à la Colette

par JMS 13 juin 2023

Poisson au coup de pied à la Colette est un texte de la romancière qui vante les mérites de la cuisine traditionnelle de la Provence.

En forêt du Dom, non loin de Bormes-les-Mimosas, il est une auberge.

Le lieu est beau, en pleine futaie profonde, et la route romantique tourne à souhait pour l’attaque des diligences.

Les soirs d’été, deux, trois tables rudimentaires, égaillées sous les acacias, attendent les amateurs de gibier, et les friands de poisson que j’appelle le poisson au coup de pied.

Miracle de la cuisine provençale

Est-ce une recette ? Non. Un accommodement culinaire primitif, vieux comme l’olivier, comme la pêche au trident.

Jamais cuisson n’a demandé moins d’apprêts, il n’y faut que la manière.

Ayez seulement une forêt provençale, tout au moins méridionale.

Fournissez-vous-y de bois choisi : bûches cornues d’olivier, fagots de cyste, racines et branches de laurier, rondins de pin pleurant la résine d’or, menue broussaille de térébinthe, d’amandier, n’oubliez pas le sarment de vigne.

A même la terre, entre quatre gros éclats de granit, bâtissez, allumez le bûcher.

Pendant qu’il flambe, rouge, blanc, cerise, léché d’or et de bleu, il n’y a rien à faire qu’à le regarder.

Le ciel vert du crépuscule provençal, au-dessus de lui, tourne au bleu de lac.

Les flammes baissent, se couchent ; vous avez sous la main, n’est-ce pas, une ou plusieurs belles pièces de poisson méditerranéen, tout vidé ?

Un beau poisson de la Méditerranée

Vous avez acquis à Saint-Tropez une rascasse monstrueuse, à gueule de dragon, ou vous avez apporté de Toulon les malins mulets à dos noirs, et vous n’avez pas oublié, vidant ceux-ci ou celle-là, de glisser, tout le long de leur ventre creux, un fuseau de lard ?

Bon. Apprêtez votre balai, j’appelle ainsi ce bouquet odorant de laurier, de menthe, de pebreda, de thym, de romarin, de sauge, que vous avez noué avant d’allumer votre feu.

Apprêtez donc le balai, c’est-à-dire qu’il trempe dans un pot empli de la meilleure huile d’olive, mêlée de vinaigre de vin – ici nous n’admettons que le vinaigre rose et doux.

L’ail – vous pensiez naïvement qu’on pouvait se passer de lui ? – pilé, jusqu’à consistance de crème, rehausse le mélange comme il convient.

Du sel, peu, du poivre, assez.

Attention. Votre feu n’est plus que braise, bientôt.

Un lit épais de braise qui chante bas, des tisons qui flambent encore un peu ; une fumée translucide, légère, porte à vos narines l’âme consumée de la forêt.

Le coup de pied du cuisinier

C’est le moment de donner le magistral coup de pied qui envoie, au loin, bûches, brandons et fumerolles, qui découvre et nivelle le charbon ardent, d’un rose égal, met à nu le cœur pur du feu sur lequel halète une petite âme ignée, bleuâtre, plus brûlante encore que lui.

Un vieux gril, à trois pieds hauts, salamandre tordue au service de la flamme, reçoit le poisson bénit de sauce, et le tout se plante, d’aplomb, en plein enfer.

Là !.

Vous n’en êtes pas encore à la maîtrise de l’homme du Dom, l’homme de qui l’on ne voit que l’ombre sur le feu, le bras noir armé du balai aromatique, le bras noir sans cesse humectant, aspergeant, retournant le poisson sur le gril, pendant.

Pendant combien de temps ? L’homme noir le sait. Il ne mesure rien, il ne consulte pas de montre, il ne goûte pas, il sait. C’est affaire d’expérience, de divination.

Si vous n’êtes point capable d’un peu de sorcellerie, ce n’est pas la peine de vous mêler de cuisine.

Le « poisson au coup de pied » saute de son vieux grill dans votre assiette.

Vous verrez qu’il est roide, vêtu d’une peau qui craque, s’exfolie et bâille sur une chair blanche, ferme, dont la saveur se souvient de la mer et des baumes sylvestres.

La nuit résineuse descend, une lampe faible, sur la table dénonce la couleur de grenat du vin qui emplit votre verre.

Marquez, d’une libation reconnaissante, cet instant heureux.

Poisson au coup de pied à la Colette est un récit découvert dans la revue « Vogue » de janvier 1929.

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Le port du Poussaï à Saint-Raphaël
FRANCE

Le port du Poussaï à Saint-Raphaël

par JMS 27 avril 2023

Le port du Poussaï à Saint-Raphaël est un article qui raconte pourquoi et comment cet abri a été construit pour les pêcheurs.

 » La Société des carrières de porphyre du Dramont a demandé l’autorisation d’occuper un vaste espace de terrain dépendant du domaine public maritime situé au devant des carrières de porphyre qu’elle possède daus la commune de Saint-Raphaël.

Cet empiétement doit s’étendre jusque dans la mer et apporter sur cette partie du littoral une gêne à la pèche côtière.

En compensation de cet inconvénient, il a été décidé qu’on créerait un port-abri dans la calanque du Poussai située à côté des terrains à occuper par la Société du Dramont et que cette Société contribuerait pour une somme de 2.700 francs dans la dépense de construction de ce port-abri,  dépense évaluée en tout à 4.000 francs.

Le projet définitif de ces travaux a élé approuvé par M. le Ministre des Travaux publics par décision en date du 8 août 1899. »

Le port du Poussaï à Saint-Raphaël est un texte tiré des « Rapports et délibérations du Conseil général du Var » d’août 1904.

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