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Les moines de Saint-Honorat

par JMS 7 novembre 2025

Les moines de Saint-Honorat est une histoire qui raconte les vicissictudes connues par les religieux retirés dans cette île.

 » Fondée par Saint Honorat, sur une des deux îles en face de Cannes, l’abbaye acquit rapidement une grande réputation, et l’affluence des moines y devint considérable.

A la fin du VIIème siècle , ils occupaient, outre l’Ile préférée de leur fondateur, celle de Sainte-Marguerite et plusieurs localités de la côte voisine, et leur nombre s’élevait, dit-on, à plus de trois mille.

Ils étaient encore cinq cent cinquante dans la première moitié du siècle suivant.

Mais de cruelles épreuves étaient réservées au monastère de Saint-Ilonorat.

La situation de l’île, dans une mer fréquentée par les pirates, sa petitesse, son isolement l’exposaient à toutes les attaques.

En 731 les Sarrasins l’envahirent, massacrèrent un grand nombre do religieux, dévastèrent les églises et les autres bâtiments ; en 739, ils y descendirent une seconde fois et y firent de nouveaux ravages.

En 1007, l’abbaye fut pillée et brûlée ; en 1400 elle tomba entre les mains d’une troupe de pirates Génois.

Les Espagnols s’emparèrent, en 1635, de Saint-Honorat et de Sainte-Marguerite, et ruinèrent tous les jardins et les vignes ; les Français reprirent ces deux îles en 1637.

Après diverses vicissitudes, la conduite scandaleuse des moines amena, à la fin du XVIIIèm siècle, la suppression de l’abbaye de Saint-Honorat ; l’île abandonnée devint uno propriété particulière, fut possédée par une actrice de la comédie française, Mademoiselle Sainval, puis par un boucher de Cannes. »

Les moines de Saint-Honorat est un texte décoouvert dans le livre « Les îles de Lérins  » de Félix Bourquelot, publié à la fin du XIXème siècle.

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Les amoureux de la Croisette à Cannes
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Les amoureux de la Croisette à Cannes

par JMS 6 octobre 2025

Les amoureux de la Croisette à Cannes est un récit qui raconte la beauté d’un coucher de soleil.

 » Voici mai, à Cannes et les déshonorants « mondains » nous’ délivrent de leurs présences.

Le Casino ferme ses, portes. Les palaces restreignent leur personnel, en attendant! le définitif silence de l’été. Cannes redevient une petite ville paisible, plaisante.

Allez-vous sur la Croisette, le soir ?

Les péripatéticiennes de marque n’y figurent plus mais que de couples charmants on rencontre.

Chaque banc se fleurit d’une paire de calignaires, -c’est à dire d’amoureux en provençal.

Elle, c’est une r petite midinette au toquet drôle, aux larges yeux noirs, à l’accent qui serait redoutable s’il n’émanait de lèvres aussi fraîdhes . Lui; c’est le sympathique autochtone, commis aux.postes ou calicot.

Ils sont bruns tous deux, des moricauds et des tendres. Ça ne parle guère, mais ça se serre si gentiment.

Ils comprennent le paysage, ils « sentent l’heure » et se recueillent à leur façon.

Là-bas, le golfe de Cannes s’endort dans une quiétude ravie, une tartane incline ses antennes vers le retour, la voile rouge quêtant la brise et les montagnes de l’Esterel découpent sur un ciel orangé leurs dentelures d’un bleu très pâle.

Le chapeau de gendarme au-dessus du Cap Roux érige ses’trois pointes.

Vers la Napoule ,un train souffle de courts nuages et la buée s’étend sur la plaine de Laval.

Le vieux quartier du Suquet dresse, au premier plan, son décor de légende. »

Les amoureux de la Croisette à Cannes est un texte tiré d’un roman « La Farfandelle ou Armand » de Marcel Millet, paru en feuilleton dans le journal « L’Humanité » du 30 juillet 1922.

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Le parc à langoustes de Cannes
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Le parc à langoustes de Cannes

par JMS 11 septembre 2025

Le parc à langoustes de Cannes est une brève histoire qui rappelle l’existence d’un restaurant aujourd’hui disparu.

 » A Cannes, à l’est de la Croisette, se dressait le restaurant La Réserve.

Ce simple restaurant de style robinson accroché ayux rochers face à la mer était le rendez-vous, voire le repaire, de l’aristocratie britannnique à l’heure du déjeuner. Pardon, du lunch !

A ses flancs, on pouvait découvrir son parc à langoustes, crustacés très prisé des gourmets.

De la salle du restaurant, on pouvait admirer la baie de Cannes, les îles de Lérins ainsi que l’Esterel dans le lointain.

Ce restaurant fut rasé pour laisser place à un Palais des Sports, dont l’emprise au sol fut largement gagné sur la rade de Cannes. »

Le parc à langoustes de Cannes est un texte inspiré par la revue « Le Golf » du 25 décembre 1929.

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Histoire de Cannes
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Histoire de Cannes

par JMS 20 juin 2025

Histoire de Cannes est un article qui rappelle les temps forts du passé de cette ville de villégiature.

« A quelques 30 kilomètres de Nice, Cannes s’alanguit dans la quiétude dans un coin du golfe de la Napoule, abritée des vents par l’Esterel aux lignes sauvages et par les hauteurs de Grasse.

Aux premiers siècles de notre ère la colline du Mont-Chevalier seule était peuplée.

C’est actuellement le vieux quartier du Suquet situé sur l’emplacement de l’antique cité d’Aegytna capitale de la tribu celto-ligure des Oxybü.

Cette cité fut détruite par les Romains, sous les ordres du Consul Quintus Opimus, mais les colons de Marseille la reconstruisirent et elle prit le nom de Castellus Marsellinum, puis plus tard celui de Costrum Torum.

Elle fut par deux fois complètement dévastée : par les Lombards au VIIIème siècle, par les Sarrasins au Xème.

Des familles italiennes originaires de Gênes la repeuplèrent et elle devint Castrum de Cannis.

Ces Génois la fortifièrent. De cette époque datent la Tour carrée du Château et le donjon de l’Ile Saint Honorat.

Comme Nice, elle fut par la suite sujette des Comtes de Provence qui y édifièrent le château du Mont Chevalier.

Peu à peu la bourgade s’agrandit à l’Est et au Sud-Est et devint cité de 2.000 habitants. C’étaient surtout des pêcheurs.

Cannes fut également vassale des Abbés de Lérins, puis en 1524 devint possession espagnole.

L’année suivante François er prisonnier à Pavie s’arrêta à Saint Honorat où il laissa en don la Châsse magnifique qui contient les reliques de ce saint.

Cannes alors connut une période excessivement agitée. Français et Espagnols se la disputant sans cesse.

En outre, la peste y fit en 1580 de terribles ravages. Elle s’en releva néanmoins mais pour être la proie des guerres de religion.

Sous le règne de Charles de Lorraine elle retrouva quelque tranquillité ; puis de 1630 à 1660 elle fut à nouveau aux mains de l’Espagne. L’Eglise Notre-Dame d’Espérance est un vestige de cette période.

En 1746, Cannes est livrée au pillage par les Anglais et les Autrichiens.

Par contre, la période révolutionnaire y laissa peu de traces pas plus que l’Empire, si ce

n’est que, le 1er mars 1815, Napoléon s’y arrêta, de retour de l’ile d’Elbe.

Ce n’est que de 1838 que date ce qu’on appela la « fortune de Cannes », grâce à Lord Brougham, riche Anglais qui sut tout mettre en œuvre pour attirer et retenir ses compatriotes sur cette plage privilégiée.

Aujourd’hui, Cannes est une station hivernale de luxe, rivale de Nice son aînée, et chaque jour la voit grandir. »

Histoire de Cannes est un texte découvert dans la « Revue municipale » du 1er janvier 1929.

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Cambronne à Cannes
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Cambronne à Cannes

par JMS 22 avril 2025

Cambronne à Cannes est une histoire qui raconte un épisode survenu après le débarquement de Golfe-Juan.

« C’était le soir, vers cinq heures.

La petite ville de Cannes, moins animée à cette époque qu’aujourd’hui, était peuplée d’une foule de petits bourgeois qui mangeaient leurs rentes sur la porte d’un café qui a eu à Cannes sa réputation, le café Guillon.

On devisait sur les affaires du jour, sans penser à mal, lorsqu’on vit arriver du côté d’Antibes, au petit galop de son cheval, un général à la figure bronzée, à l’air profondément militaire.

L’inconnu s’approcha du groupe et demanda l’hôtel de ville de Cannes.

Cet événement, en lui-même, n’aurait pas troublé la sérénité des bons bourgeois, mais le général portait fièrement à son chapeau la cocarde tricolore.

De là mille chuchotements, mille suppositions qui s’écartaient plus ou moins de la réalité.

Arrivé à l’hôtel de ville, il demanda le maire, qui était absent. L’adjoint arriva, c’était M. Antoine Vidal.

Le général Cambronne annonça au magistrat que l’empereur Napoléon était au golfe Juan avec son armée, et qu’il fallait dans la soirée six mille rations pour les braves qui l’accompagnaient.

L’émoi fut grand, l’étonnement à son comble ; la ville n’offrait pas à cette époque les mêmes ressources qu’aujourd’hui, elle comptait à peine trois mille âmes de population.

Mais le magistrat auquel Cambronne s’adressait trouva dans l’amitié qu’il avait vouée à l’empereur pendant son séjour en Egypte les ressources nécessaires pour surmonter la difficulté de la position, et le soir les six mille rations étaient transportées à l’endroit désigné. »

Cambronne à Cannes est un texte extrait du livre « Cannes et ses environs » de J.B. Girard, publié en 1859.

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Napoléon à Cannes
FRANCE

Napoléon à Cannes

par JMS 14 avril 2025

Napoléon à Cannes est une histoire qui rappelle que l’empereur s’est arrêté à Cannes pendant son vol de l’Aigle vers Paris.

« A Cannes, le bivouac de Napoléon fut établi sur le terrain où est située la maison de M. Charles Arimondy, au nord de la petite chapelle de Notre-Dame.

Les troupes formèrent un cercle, dont l’empereur occupa le centre avec son état-major, rangé autour d’un grand feu qui fut allumé à cause de la fraîcheur de la nuit.

Le grand homme resta debout pendant que ses généraux dormaient enveloppés dans leurs manteaux.

Les enfants de Cannes

Il se promenait grave et silencieux, enveloppé dans sa redingote grise, les mains derrière le dos, songeant sans doute à la gravité de ses prochaines entreprises, lorsqu’il entendit un certain murmure dans les rangs : c’était les grognards qui se voyaient assaillis par les enfants du pays, par ces armées turbulentes de gamins qui se glissent partout, même entre les jambes des chevaux, quand il s’agit d’une curiosité à satisfaire.

On se fâchait déjà, lorsque l’Empereur, parodiant les paroles du Christ, dit à ses soldats : « Laissez venir les enfants vers moi »

Aussitôt cette légion de bambins se précipita autour de Napoléon au cri de : Vive l’Empereur!

Celui-ci, se tournant alors vers Drouot, que ce tumulte avait éveillé en sursaut et qui portait déjà la main à la garde de son épée : « Ne vous effrayez pas, Drouot, ce ne sont point des ennemis ; ce sont, au contraire, des auxiliaires d’un bon augure : nous pouvons compter au moins sur la jeune France. »

L’arrivée d’un personnage qu’on introduisit dans le cercle mit fin à cette petite scène.

L’inconnu de Cannes

L’Empereur congédia amicalement les enfants, qui se retirèrent en faisant retentir une dernière fois le cri de : Vive l’Empereur !

Le nouveau visiteur était un homme d’une cinquantaine d’années, à l’extérieur fort distingué ; il aborda l’Empereur d’un air très respectueux, chapeau bas, et l’on put entendre très-distinctement Napoléon le saluer du titre de prince.

Un débat assez vif s’engagea entre les deux personnages.

Le prince se défendait de son mieux et ne paraissait pas du tout de l’avis de l’Empereur, qui insistait beaucoup.

Enfin, après une courte discussion, Napoléon le congédia par ces seules paroles : « C’est bien, monsieur, vous pouvez continuer votre route. »

On sut le lendemain que le visiteur était le prince de Monaco, qui se trouvait en passage à Cannes, se rendant dans ses États, et que l’Empereur l’avait fait mander auprès de lui pour l’entrainer à le suivre.

Le lendemain, à quatre heures du matin, le camp fut levé et la petite armée se mit en route vers Grasse, au son de la musique guerrière, l’Empereur en tête, monté sur un cheval blanc. »

Napoléon à Cannes est un texte découvert dans le livre  » Cannes et ses environs » de J.B. Girard, édité en 1859.

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Pas de choléra à Cannes
FRANCE

Pas de choléra à Cannes

par JMS 7 avril 2025

Pas de choléra à Cannes est une histoire qui rappelle que cette maladie a été à l’origine du développement de la ville.

« En 1854, la grippe, qui précéda le choléra et qui fit presque autant de victimes, fut une providence pour notre pays, que ces deux fléaux épargnèrent.

C’était l’époque où les populations aristocratiques du nord de l’Europe font leur invasion périodique vers le sud, pour échapper à la bise et aux brouillards inconnus chez nous.

Le roi de Piémont, craignant que toute cette population nomade, venue des lieux infestés par l’épidémie régnante, n’importât le fléau dans ses États, organisa le long du fleuve Var un cordon sanitaire destiné à arrêter les étrangers, et les forcer à faire une quarantaine de quelques jours avant d’être autorisés à pénétrer en Italie.

Beaucoup de familles anglaises refluèrent vers Cannes pour y purger leur quarantaine.

Lord Brougham, ex-chancelier d’Angleterre, fut du nombre de ces dernières.

Il voulut utiliser les quelques jours qu’il avait à passer dans notre pays à visiter les sites qui l’entourent.

Il ne fallut pas longtemps à cette imagination puissante pour remarquer les richesses du paysage, l’excellence de certaines positions, et pour construire dans sa vaste intelligence tout l’avenir du pays.

Il acheta une propriété dans une situation charmante, et bientôt, du milieu d’un magnifique bois d’orangers et d’oliviers, surgirent les gracieuses tourelles, les élégantes colonnades du château Éléonore-Louise.

Le noble lord l’avait dédié à une fille chérie, que la mort moissonna bien jeune et qui ne devait point l’habiter.

De ce jour, la fortune de Cannes fut assurée.

Le pays compta un grand citoyen, et de plus un admirateur passionné de son climat et des sites qui l’entourent.

Il parla tant et si haut de sa colonie, que sa voix fut entendue, et qu’il ne tarda pas à avoir des imitateurs. »

Pas de choléra à Cannes est un texte extrait du lire « Cannes et ses environs » de J.B. Girard, publié en 1859.

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Promenade à Cannes
FRANCE

Promenade à Cannes

par JMS 31 mars 2025

Promenade à Cannes est un article qui décrit les principales attractions pédestres de la ville.

« Les promenades de Cannes sont nombreuses, variées, et il y en a pour tous les goûts.

On peut notamment suivre le boulevard de la Croisette, en longeant le bord de la mer jusqu’au cap du même nom, où est installé le traditionnel tir aux pigeons.

Chemin faisant, l’usage veut que l’on s’arrête sur la gauche, pour visiter le jardin des Hespérides.

C’est un très vaste enclos où sont alignés des milliers d’orangers qui poussent en pleine terre et dont les fruits mûrissent.

A l’époque de leur maturité on peut choisir et cueillir soi-même les oranges, moyennant une minime redevance.

C’est à l’extrémité de ce boulevard, dont la longueur est de 2400 mètres environ, que s’élève la belle villa des Dunes qui fut l’habitation de l’impératrice de Russie, Marie-Alexandrowna, à l’époque de son séjour dans le Midi.

Viennent ensuite la route d’Antibes, le boulevard du Cannet, le boulevard Montfleuri, les Vallergues.

Il y a, enfin, la belle promenade de la Californie, route nouvelle qui s’élève en forme de labyrinthe à travers une forêt de pins jusqu’à une hauteur de 175 mètres.

Sur le sommet, on rencontre un belvédère et une sorte de café-restaurant. »

Promenade à Cannes est un texte extrait du livre « Les étapes d’un touriste en Franc » de Jules Adenis, édité en 1892.

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Trésor englouti au large de Cannes
FRANCE

Trésor englouti au large de Cannes

par JMS 5 juillet 2024

Trésor englouti au large de Cannes est un récit qui raconte l’expédition menée pour retrouver un galion espagnol.

 » Trois savants américains viennent, au large de La Napoule, de ramener d’un fond de 60 mètres une cassette contenant un collier de perles estimé à deux millions de francs.

Depuis quinze jours, en effet, ces chercheurs, le professeur Lablonoi, de l’université de Saint-Louis, M. Dukley et le capitaine de marine John Chavez, opéraient des sondages près de Cannes dans le but de retrouver la trace d’un galion espagnol coulé en 1635 et qui, d’après leurs renseignements, renfermait dans ses flancs des lingots d’or et d’argent représentant un demi-milliard de francs.

Notre confrère, le journal « l’Intransigeant » publiait récemment au sujet de cette nouvelle chasse au trésor, l’information suivante : D’après le comte Le Veneur de Tillières, huit galions auraient été coulés dans la baie de La Napoule, du golfe Juan, à la suite de la bataille que livra, en 1637, Henri d’Escoubleau de Sourdis, alors chef d’escadre au service de Louis XIII et de Richelieu, pour reprendre les îles de Lérins.

Il estime que les épaves renferment 8.180 kilos d’or et 11.040 kilos d’argent.

M. Le Veneur de Tillières est un radiesthésiste éminent (il a mis au point des appareils nouveaux ; il est diplômé de l’école internationale de radiesthésie).

Trésor englouti

II nous a déclaré : « Il y a huit épaves dans la baie de La Napoule, révélées par nos appareils, et dont nous avons les gisements très exacts.

D’autres gisements, beaucoup moins importants, de dates différentes et représentant un total de 700 kilos d’or en lots variant de 40 à 70 kilos, existent également entre le Cap d’Antibes et le port de Cannes ; enfin, quatre gisements très importants existent entre Marseille et Toulon et pourront être récupérés avec un appareillage moderne. »

Le comte Le Veneur de Tillières ajoute que l’appareil dont il est l’inventeur, en collaboration avec M. Chefneux, indique automatiquement le poids, l’âge des objets et du dépôt, enfin la profondeur exacte.

Selon lui, il faut effectivement s’attendre à des découvertes dans les eaux de Cannes« 

Trésor englouti au large de Cannes est un texte repêché dans le journal « Paris-Dakar » du 30 mai 1948.

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Les Espagnols fortifient l'île de Saint-Honorat
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Les Espagnols fortifient l’île de Saint-Honorat

par JMS 2 juillet 2024

Les Espagnols fortifient l’île de Saint-Honorat est un récit qui raconte les mesures de défense prises contre les Français.

 » Le cardinal de Richelieu avait fait élever sur la côte septentrionale de l’île de Saint-Honorat le fort royal qui existe encore.

Après Sainte-Marguerite, les Espagnols s’emparèrent de l’île en 1635 et mirent ce fort dans un meilleur état de défense en en élevant quatre autres : le fort d’Aragon, au sud-ouest ; la tour Bataiguier, à la pointe nord-ouest ; le fortin à la pointe orientale et le fort Monterey dans l’intérieur, non loin du fortin.

Ils coupèrent tous les arbres de l’île Saint-Honorat, entourèrent de fossés demi-lunes et palissades la grande tour du monastère et convertirent en redoutes et bastions les cinq chapelles que les religieux avaient bâties sur divers points de l’île.

Les Espagnols étaient fiers de la prise des deux îles de Lérins, comme de la conquête d’un royaume.

Pour conserver cette conquête importante qui leur donnait le moyen d’inquiéter le commerce de la France dans la Méditerranée et favorisait leurs relations avec l’Italie, ils élevèrent des fortifications considérables, se flattant ainsi de rendre inutiles les tentatives des Français pour reprendre les îles. »

Les Espagnols fortifient l’île de Saint-Honorat est un texte découvert dans les « Mémoires de la Société des sciences naturelles, des lettres et des beaux-arts de Cannes et de l’arrondissement de Grasse » de 1876.

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