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La terre tremble à Nice
FRANCE

La terre tremble à Nice

par JMS 16 octobre 2024

La terre tremble à Nice est une histoire qui rappelle de fortes secousses telluriques subies par la ville.

 » Le tremblement de terre du 29 décembre 1854, à Nice, a été précédé par un bruit extrêmement violent au commencement, comme si plusieurs fourgons lourdement chargés passaient sous une voûte ou porte cochère, et à la fin par un autre pareil à celui qu’on entend lorsqu’on se trouve près d’une grosse charrette déchargeant des pavés dans une rue de Paris.

Ces bruits ont distinctement précédé le mouvement ondulatoire qui était du nord-est au sud-ouest, autant que j’ai pu le déterminer étant pleinement réveillé et assis dans mon lit, vers 2h49.

J’ai cru remarquer trois ondulations dans ce sens, dont la durée n’a pas dépassé trois secondes suivies de deux autres secousses, mais beaucoup plus faibles.

Le temps avait été très-beau pendant le jour précédent et toute la nuit, le baromètre s’étant élevé depuis 9 heures du soir.

La mer était calme, le ciel brillant, et j’ai voulu m’assurer s’il y a eu pendant le tremblement quelques mouvements considérables dans les eaux de la mer.

Étant logé à quelques centaines de pas, j’ai pu m’y transporter, très peu de minutes après le choc.

Les pêcheurs à la ligne, qui ordinairement commencent leurs opérations avant le jour près de l’embouchure du Paillon, m’ont assuré n’avoir rien remarqué hors do l’ordinaire.

A Nice même, la secousse a été fort violente, surtout dans les étages supérieurs des maisons : plusieurs murs ont été lézardés, des meubles déplacés ; des plafonds ont été fêlés et sont tombés.

Dans la maison que j’habitais sur la place du Jardin public, dans le beau quartier de la ville, les sonnettes ont été mises en mouvement, et beaucoup de pendules ont cessé de marcher.

Le dernier tremblement de terre observé à Nice était en 1825.

Depuis le 29 décembre, on a senti deux autres secousses. »

La terre tremble à Nice est un texte trouvé dans la « Revue des beaux-arts » de 1855 qui reprend le témoignage d’un témoin oculaire, M. Pentland.

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Malice à Monaco
MONACO

Malice à Monaco

par JMS 25 janvier 2024

Malice à Monaco est un récit qui raconte comment François Grimaldi a repris le château.

 » A bout de la rampe qui permet d’accéder en haut du Rocher, on arrive sous un bâtiment voûté, où le chemin tourne à angle droit avant de déboucher sur la place du Palais, à Monaco.

Noël guerrier

C’est le fameux Mirador où se tenait le poste de garde. A sa suite, plusieurs salles s’ouvraient à la fois du côté du port et du côté de la ville. C’est dans ces salles, appelées les Cabanes, que se tenaient les troupes défendant l’entrée de la forteresse.

Ce poste de Mirador a joué un rôle important dans l’histoire monégasque. De sa possession dépendait le sort de la forteresse.

Ainsi, le 25 décembre 1306, les Grimaldi avaient été dépossédés de Monaco depuis six ans. Les Spinola s’étaient établis dans la forteresse.

François Grimaldi, justement surnommé Malizia, résolut de reprendre le bien de ses aïeux.

Moine armé

La veille de Noël de 1306, déguisé en moine du prieuré de Sainte Dévote, il s’avança hardiment vers le Mirador et passa au milieu des soldats de garde au moment où la cloche de l’église sonnait la messe de minuit.

Il se rendit chez ses partisans déjà prévenus, et pendant que la garnison sans méfiance était à l’église, ils fondirent à l’improviste sur le Mirador dont ils maîtrisèrent le poste, et ouvrirent les portes aux conjurés que le moine avait laissés dehors.

La ville envahie par eux, les postes occupés, les Spinola n’eurent que le temps de s’enfuir au port d’où une galère les transporta à Gênes.

Les Grimaldi rentrèrent, après ce fait d’armes, en 1306 en possession de leur seigneurie de Monaco. »

Malice à Monaco est un texte découvert dans le journal « La Semaine niçoise » du 29 juin 1902.

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Pasteur à Bordighera
ITALIE

Pasteur à Bordighera

par JMS 3 mars 2023

Pasteur à Bordighera reprend une lettre dans laquelle le célèbre scientifique raconte sa visite de la villa Garnier, édifiée par le non moins célèbre architecte.

« Borighera, le 7 décembre 1886.

Cher confrère et ami,

Je suis bien en retard pour répondre à votre très aimable lettre, mais tout n’est pas de ma faute.

Nous attendions un beau jour calme pour visiter votre villa. Croiriez-vous que dans votre cher Bordighera nous avons eu tonnerre, pluie torrentielle pendant une nuit et une journée, grêle, neige à couvrir toutes les montagnes voisines. Il a donc fallu remettre le plaisir que nous nous promettions.

VISITE DE LA VILLA GARNIER

Nous sommes allés chez vous en famille où nous avons reçu un aimable accueil du jardinier qui nous a fait d’abord les honneurs du jardin, véritable tour de force réalisé. Nous y avons tout admiré, le rosier tout en fleurs qui caresse le bas de la colonne des Tuileries, les orangers en espaliers, la tribu de vos palmiers, seuls à donner des fruits à Bordighera, au dire de votre jardinier. Rien ne manquait à l’éclat de ce jardin que le soleil.

RETOUR A LA VILLA GARNIER

Nous y retournerons un matin. Toute la maison nous a été ouverte. Après avoir rendu hommage à votre buste qui est superbe nous avons souri à Nino dont l’apparition est d’un charmant effet. Nous avons admiré Meissonier, Boulanger, Lenepveu et les fantaisies de Clairin jusqu’aux branches de compas qui vous portent.

Nous sommes revenus une troisième fois pour admirer la mer. Vous avez vraiment sur cette côte la place qui vous est due : vous dominez tout.

Merci encore, cher confrère, de votre gracieuse invitation. Nous prendrons souvent pour but de promenade ces belles hauteurs dont la tour comme celle de la Villa Bischoffsheim porteront longtemps dans ce délicieux pays Votre signature immortelle.

Bien à vous,

L. PASTEUR. »

Pasteur à Bordighera est un texte extrait du livre « Correspondance de Pasteur, 1840-1895 », édité entre 1940 et 1951.

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Tremblement de terre en Ligurie
ITALIE

Tremblement de terre en Ligurie

par JMS 26 septembre 2022

Tremblement de terre en Ligurie est une histoire qui raconte les conséquences désastreuses d’une séisme de grande magnitude sur la Riviera italienne.

 » Si les tremblements de terre ont causé dans le Midi de la France de nombreux dégâts, la catastrophe a pris en Italie des proportions effrayantes.

D’après les données officielles, les localités les plus éprouvées par le tremblement de terre sont :

Bajardo : 300 morts ou blessés.

Diano Marina : 250 morts ou blessés.

Bussana : 50 morts et 36 blessés.

Diano-Castello : 30 morts et quelques blessés.

Castellaro : 30 morts et un grand nombre de blessés.

Toutes ces localités sont situées en Ligurie.

Le cataclysme qui a eu lieu à Diano-Marina a été particulièrement épouvantable.

On avait dit tout d’abord, que 700 personnes avaient péri ; les chiffres, fort heureusement, avaient été sensiblement grossis.

Le pensionnat des Oblats a été complètement détruit.

C’est au moment ou ses élèves sortaient de la chapelle, qu’ils ressentirent les premiers mouvements souterrains, et qu’aussitôt le toit et les trois étages s’effondrèrent ; ce fut un sauve-qui-peut général.

Lorsqu’ils se sont retrouvés, deux pères et trois élèves manquaient à l’appel.

On a retrouvé les cadavres de deux élèves morts sur le coup. Les deux pères et l’élève qui restaient encore sons les décombres ont pu être retirés. Ils n’avaient que de légères contusions.

A Oneglia, les habitants campent hors de la ville, la violence du tremblement de terre a été si grande que presque tout est détruit.

A Noli, 16 personnes ont été tuées et un grand nombre blessées.

A Savone, 9 morts et 11 blessés ; deux maisons se sont écroulées ; toutes les autres sont endommagées ; beaucoup d’entre elles menacent ruine. »

Tremblement de terre en Ligurie est un texte extrait du journal « La Petite presse » du 28 février 1887.

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Choléra à Seborga en Ligurie
ITALIE

Choléra à Seborga en Ligurie

par JMS 5 septembre 2022

Choléra à Seborga en Ligurie raconte comment une action vigoureuse des autorités a permis d’éradiquer cette terrible maladie.


 » Je citerai un épisode de l’épidémie italienne de 1884 : il démontre à la fois combien peuvent être efficaces des mesures promptes et énergiques et combien l’insalubrité des logements est favorable à la propagation du choléra.


Les 27 et 28 juillet 1884, le choléra se déclare avec une violence extraordinaire dans la petite commune de Seborga, en Ligurie, qui ne compte que 339 habitants.


89 villageois s’enfuient alors dans la montagne.


Des 250 qui restent, 40 sont atteints, 28 meurent.


L’administration fait vider toutes les maisons sans exception.


La population campe en plein air.


On oblige chaque habitant à prendre un bain au sortir duquel on l’habille d’un vêtement neuf.


A chaque individu l’on donne une ration de vivres.


Ces mesures sont exécutées à partir du 21 août.


Le 24, l’épidémie avait entièrement disparue. »


Choléra à Seborga en Ligurie est un extrait du livre « Le choléra » d’Henri Monod, publié en 1892.

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Garibaldi à Alassio
ITALIE

Garibaldi à Alassio

par JMS 22 août 2022

Garibaldi à Alassio est une histoire qui raconte le séjour pour des raisons de santé du père de la nation italienne dans cette ville de la côte ligure.

 » Garibaldi, en quittant Milan, s’est rendu à Alassio en Ligurie

Le général, qui ne pouvait plus supporter le climat de Caprera, a accepté l’offre d’un de ses amis et s’est installé avec sa famille, dans une belle villa, situee au bord de la mer, à un kilomètre environ d’Alassio.

En arrivant devant la grille du jardin qui entoure la villa, nous montrâmes au gardien nos cartes d’introduction, et franchissant un perron de trois marches, nous pénétrâmes dans l’intérieur.

Repos à Alassio

Dona Francesca, la femme du général, nous reçut gracieusement et nous permit de voir son mari, à la condition que la visite serait courte et que nous le ferions parler le moins possible.

Du matin au soir des milliers de personnes assiègent les grilles de la villa en demandant la même faveur.

La chambre de Garibaldi est au premier étage, avec deux fenêtres ayant vue sur la mer.

Le général à demi couché sur son lit porte le costume quo la photographie a popularisé. Une toque sur la tête et sa légendaire chemise rouge.

Il tenait entre ses mains crispées un éventail de papier servant à chasser les mouches.

Garibaldi au repos

Sa figure n’a pas trop changé: les yeux ont une vivacité extrême, le teint est assez frais, les cheveux blancs, dont quelques-uns sont restés blonds ; sa barbe, poivre et sel.

Quand on voit cette figure si énergique et si vigoureuse encore, on ne peut croire que le reste du corps soit paralysé. Et cependant, le général a perdu complétement l’usage de ses – jambes et ses mains sont nouées.

Nous lui dîmes alors que nous étions venus le saluer et lui souhaiter un prompt rétablissement. Il nous en remercia.

L’entrevue était terminée. Nous remerciâmes Dona Francesca, qui nous tendit la main.

Au moment où nous franchissions la grille du jardin, la foule se précipita pour nous demander des nouvelles.

Le général a soixante-quatorze ans, mais ceux qui l’entourent espèrent beaucoup que le changement de climat aura une salutaire influence sur son état de santé. » 

Garibaldi à Alassio est un reportage tiré du journal « La Dépêche » du 23 novembre 1880.

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Le nid de pirates de Porto Venere
ITALIE

Le nid de pirates de Porto Venere

par JMS 18 juillet 2022

Le nid de pirates de Porto Venere décrit les impressions de deux amis à la vue de la ville depuis l’île de Palmaria.

« Laurent et Thérèse se firent conduire à l’île Palmaria.

C’est un bloc de marbre à pic sur la mer et qui s’abaisse en pente douce et fertile du côté du golfe. Il y a de ce côté quelques habitations à mi-côte et deux villas sur le rivage.

Elle et lui devant Porto Venere

Cette île est plantée, comme une défense naturelle, à l’entrée du golfe, dont la passe est fort étroite entre l’île et le petit port jadis consacré à Vénus.

De là le nom de Porto Venere.

Rien dans l’affreuse bourgade ne justifie ce nom poétique ; mais sa situation sur les rochers nus, battus de flots agités, car ce sont les premiers flots de la véritable mer qui s’engouffrent dans la passe, est des plus pittoresques.

On ne saurait imaginer un décor plus frappant pour caractériser un nid de pirates.

Les maisons, noires et misérables, rongées par l’air salin, s’échelonnent, démesurément hautes, sur le roc inégal.

Pas une vitre qui ne soit brisée à ces petites fenêtres, qui semblent des yeux inquiets occupés à- guetter une proie à l’horizon.

Pas un mur qui ne soit dépouillé de son ciment, tombant en grandes plaques comme des voiles déchirées par la tempête.

Pas une ligne d’aplomb dans ces constructions appuyées les unes contre les autres et près de crouler toutes ensemble.

Tout cela monte jusqu’à l’extrémité du promontoire, où tout cesse brusquement, et que terminent un vieux fort tronqué et l’aiguille d’un petit clocher planté en vigie en face de l’immensité.

De marbre devant Porto Venere

Derrière ce tableau, qui forme un plan détaché sur les eaux marines, s’élèvent d’énormes rochers d’une teinte livide, dont la base, irisée par les reflets de la mer, semble plonger dans quelque chose d’indécis et d’impalpable comme la couleur du vide.

C’est de la carrière de marbre de l’île Palmaria, de l’autre côté de l’étroite passe, que Laurent et Thérèse contemplaient cet ensemble pittoresque.

Le soleil couchant jetait sur les premiers plans un ton rougeâtre qui confondait en une seule masse, homogène d’aspect, les rochers, les vieux murs et les ruines, à ce point que tout, l’église même, semblait taillé dans le même bloc, tandis que les grands rochers du dernier plan baignaient dans une lumière d’un vert glauque. »

Le nid de pirates de Porto Venere est un extrait du roman « Elle et lui » de George Sand, publié en 1859.

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Fusillade à Finalborgo en Ligurie
ITALIE

Fusillade à Finalborgo en Ligurie

par JMS 27 juin 2022

Fusillade à Finalborgo en Ligurie est un article qui raconte comment les autorités ont maté une rébellion dans la prison de la ville.


 » Une émeute terrible a éclaté ces jour-ci dans prison de Finalborgo.

En effet, 600 détenus se sont révoltés contre les gardiens et ont cherché à s’évader.


La population était grandement effrayée, car tous les moyens employés pour apaiser les prisonniers demeuraient sans résultat.

Ou dut recourir à un expédient extrême.


Un détachement militaire, composé de 30 hommes, fit d abord une décharge en l’air ; puis, voyant que c’était jeter l’huile sur le feu, il a tiré à travers les barreaux.


Une quarantaine de détenus ont été blessés plus ou moins grièvement. »


Fusillade à Finalborgo en Ligurie est un texte trouvé dans le journal « Le Petit journal » du 17 avril 1870.

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Une reine à Seborga en Ligurie
ITALIE

Une reine à Seborga en Ligurie

par JMS 20 juin 2022

Une reine à Seborga en Ligurie est une brève de journal qui raconte la venue de la reine d’Italie dans ce joli village.


 » On télégraphie de Rome que le monument de S. M. le roi Humbert a été inauguré avant-hier, dans la commune de Seborga, en présence de S. M. la reine Marguerite, des autorités locales et d’une très nombreuse assistance.


M. Natta Solero, ancien maire de San Remo, a prononcé un discours, évoquant les nobles traditions de la Maison de Savoie et le règne de bonté de feu le roi Humbert.


La reine Marguerite, très émue, remercia le maire.

A la suite de cette cérémonie, la Reine-Mère inaugura la route Bordighera-Seborga.


Une reine à Seborga en Ligurie est un texte tiré du journal « Le Figaro » du 2 octobre 1920.

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Flammes mortelles à Balestrino en Ligurie
ITALIE

Flammes mortelles à Balestrino en Ligurie

par JMS 13 juin 2022

Flammes mortelles à Balestrino en Ligurie raconte la triste fin d’une famille de paysans après une dure journée de travail.

 » Un drame épouvantable s’est passé, durant la nuit du 18, dans le hameau Fasciola de la commune de Balestrino, en Italie.

Un cultivateur, M. L…, de Toirano, et cinq de ses fils, dont le plus àgé avait 14 ans, après avoir travaillé toute la journée aux champs, se retirèrent, la nuit venue, dans un fenil pour y dormir.

Après avoir suspendu la lampe à la porte d’entrée, ils s’étendirent sur le foin et ne tardèrent pas à s’endormir profondément.

Vers onze heures, une grande chaleur réveilla le père et il vit qu’il était entouré par les flammes.

Sa première pensée fut pour ses enfants ; il en saisit deux, et tenta de s’enfuir, mais ses pieds rencontrèrent un obstacle, et pour s’en débarrasser, il perdit un peu de temps.
Tout brûlé, les chairs en lambeaux, il réussit à porter hors du fenil trois de ses enfants.

Il retourna pour prendre les deux autres, mais ils étaient déjà carbonisés.

Pendant que ce drame terrible se développait, quelques paysans d’un hameau voisin s’éveillèrent. Ils accoururent ; mais les quatre enfants étaient déjà morts; le père succomba quelques instants après.

Une étincelle partie de la lampe avait mis le feu dans le foin. »

Flammes mortelles à Balestrino en Ligurie est un récit découvert dans le journal « L’Europe » du 30 août 1882.

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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