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Révolution française

Les canons silencieux de Monaco
MONACO

Les canons silencieux de Monaco

par JMS 15 mai 2025

Les canons silencieux de Monaco est une histoire amusante sur un contre-ordre au sein de l’armée française.

La principauté de Monaco a été incorporée au département des Alpes-Maritimes le 14 février 1793.

La prise de Toulon, qui était occupée par les troupes anglaises, le 18 décembre de la même année, y fut célébrée d’une curieuse façon.

En effet, le général Paul Louis Gaultier de Kervéguen donnait l’ordre, depuis Nice, au commandant de la place de Monaco, Miollis, de faire tirer douze coups de canon pour célébrer cette victoire française.

Mais, parallèlement, il invitait la municipalité de Monaco,  » vu la rareté de la poudre et le besoin que nous avons encore de nos cartouches pour porter les derniers coups aux despotes coalisés, de trouver bon qu’il n’en fasse tirer aucune !!! « 

Les canons silencieux de Monaco est un texte inspiré par le « Bulletin de l’Académie du Var’ de 1931.

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Nice en 1792
FRANCE

Nice en 1792

par JMS 17 septembre 2024

Nice en 1792 est un récit qui décrit la ville et sa campagne environnante.

 » La place Victor, à Nice, est grande, spacieuse, belle, entourée de maisons tirées au cordeau, et un régiment y fait l’exercice avec toute la liberté possible.

Le Cours Saleya n’a rien d’extraordinaire, mais à côté est une terrasse qui a près de mille pas de long et de dessus laquelle on découvre la mer qui vient battre le bas de cette belle promenade.

Ce qu’on appelle le Port neuf n’est pas moins beau par rapport à ses édifices, mais ce qui attire le plus la curiosité des étrangers, c’est le nombre infini des maisons de campagne qui se trouvent sur la route de France.

Nice ne comprenait alors que la vieille ville actuelle, située sur la rive gauche du Paillon. Les quartiers élégants de la rive droite n’existaient pas. A leur place s’étendait la campagne plantée d’orangers et d’oliviers

A près d’une lieue de distance de la ville, vers l’ouest, on ne trouve, à droite et à gauche, que de ces maisons ayant toutes des jardins ou des parterres, et à l’extrémité de cette route est une croix couverte d’une voûte soutenue de quatre colonnes.

Elle commémore l’entrevue du pape Paul III, de Charles Quint et de François 1er. »

Nice en 1792 est un texte extrait du livre « Un prêtre émigré en Italie en 1793 » du Vicomte de Richemont, publié en 1894.

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Premier rattachement de Nice à la France
FRANCE

Premier rattachement de Nice à la France

par JMS 4 juillet 2024

Premier rattachement de Nice à la France est un récit qui raconte les évènements de 1793.

 » Dans la réponse faite à un toast de M. Malausséna, le président de la République a retracé la séance de la Convention où les administrateurs de Nice vinrent demander la réunion de leur ville à la République française.

Entraînée par un élan de reconnaissance et d’enthousiasme, la Convention allait céder, lorsque Barère monte à la tribune et fait observer que des administrateurs ne sont pas des députés élus par leurs concitoyens et qu’ils ne peuvent disposer de leurs administrés.

La Convention se ressaisit et déclare qu’elle ne peut donner suite à la demande des Niçois tant qu’un doute subsistera sur leur volonté de devenir Français.

Trois mois après, des députés élus renouvellent la demande des administrateurs.

Cette fois, la Convention l’accueille et Nice devient une première fois française, en 1793.

Les événements de 1814 et de 1815 la séparent de sa patrie d’élection.

Mais ceux de 1860 la trouvent fidèle à elle-même et elle est réunie pour toujours au pays.

Le président a rappelé tout cela en termes d’une réelle éloquence. Il a ajouté, au milieu des applaudissements, que la réunion de Nice et de Menton subsisterait, parce qu’elle avait été librement consentie.

Tout ce qui se fonde par la force et au mépris du droit ne subsiste et ne saurait subsister.

En effet, un peuple ne se donne à un autre peuple que si le cœur et la raison lui conseillent un changement de patrie. »

Premier rattachement de Nice à la France est un texte tiré des « Annales politiques et littéraires » du 15 mars 1860.

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Emigrés à Nice
FRANCE

Emigrés à Nice

par JMS 23 mai 2024

Emigrés à Nice est un récit qui raconte la vie de ceux qui ont fui la France et sa Révolution.

 » Malgré tous les agréments qu’on trouve dans cette ville de Nice, je m’y ennuie fort, et j’ai dessein d’aller à Rome par la première occasion qui s’en présentera.

Nous sommes ici émigrés, mais en trop grand nombre, ce qui fait qu’on dépense le double et les habitants murmurent de la cherté des vivres.

Outre environ quinze cents prêtres, il y a bien autant ou plus d’émigrés.

Toute la noblesse de Provence s’y trouve, avec celle des États d’Avignon et du Comtat, le vice-légat à leur tête.

Les magistrats ont déjà fait des instances auprès du gouvernement pour nous obliger à entrer dans le Piémont.

Ce serait là notre plus court parti nous serions tous au large pour le logement et nous ne dépenserions pas le quart de ce qu’il nous en coûte.

Mais le plaisir de se voir en grand nombre et d’être à portée d’avoir de France des secours d’argent, fait que personne ne bouge et qu’on a même fait des démarches par le moyen de l’évêque de Nice qui est un digne prélat, pour que nous ne soyons pas inquiétés au sujet de notre séjour. »

Emigrés à Nice est un texte extrait du livre « Un prêtre émigré en Italie en 1793 » du Vicomte de Richemont, publié en 1894.

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Les archives disparues de Monaco
MONACO

Les archives disparues de Monaco

par JMS 21 septembre 2023

Les archives disparues de Monaco est un article qui raconte comment le patrimoine de la principauté a été affecté par le rattachement à la France de 1792 à 1814.

 » En 1814, le Congrès des puissances inscrivit au traité de Paris que la principauté de Monaco serait replacée dans les rapports où elle se trouvait avant le Ier janvier 1792.

Le drapeau des Grimaldi fut de nouveau arboré sur le Palais, et les représentants des trois communes y vinrent prêter serment de fidélité à Honoré IV.

Les princes ne voulurent rien réclamer de ce qui avait été enlevé.

Ils n’exercèrent aucune revendication au sujet de la vente de leurs biens comme biens nationaux par la France.

Une seule réclamation fut faite en 1814 par M. de Millo-Terrazzani, gouverneur de la Principauté.

Elle portait sur la restitution de 1380 volumes provenant des archives des princes, qui avaient été enlevés en l’an VI, par ordre de l’administration centrale du département des Alpes-Maritimes, et transférés à Nice.

On ne put retrouver que 73 volumes.

Quelles lacunes regrettables il en résulte pour les archives de Monaco ! « 

Les archives disparues de Monaco est un texte découvert dans le journal « La Semaine niçoise » du 29 juin 1902.

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Vive la République à Nice
FRANCE

Vive la République à Nice

par JMS 14 juin 2022

Vive la République à Nice est un texte célébrant le nouveau régime politique après le départ des troupes britanniques occupant Toulon.

La reprise de Toulon aux anglais est l’occasion d’une fête patriotique à Nice.

Cortège de la liberté à Nice

Le 9 janvier 1794, le cortège comprenait tous les corps constitués, venait ensuite une pierre de la Bastille portée sur un char, puis un vieillard de 102 ans, assis sur une charrue, entouré d’un bataillon d’enfants.

Suivait la Société Populaire avec sept drapeaux portant les noms de Brutus, Marat, Rousseau, Lepelletier, Charlier, Bayle et Gasparin.

Venait ensuite un Hercule représentant la force du peuple, puis la déesse Liberté, personnifiée par la citoyenne Cary, portée sur un brancard par huit guerriers dont quatre vêtus à la romaine et quatre en sans-culottes.

Elle était accompagnée de quatre citoyennes vêtues de blanc, avec des écharpes tricolores.

La garnison formait la haie le long du cortège.

Place de la République en fête

Sur la place de la République (aujourd’hui place Garibaldi), l’arbre de la Liberté avait été garni d’inscriptions patriotiques.

La déesse de la Liberté vint s’asseoir sur l’autel de la Patrie.

Alors arriva le char des vainqueurs de Toulon, représentés par quatre républicains foulant aux pieds les infâmes drapeaux des peuples coalisés.

Ils traînèrent dans la fange les enseignes odieuses de la tyrannie, avant qu’on les brûlât.

Après les chants et les discours, le cortège revint sur le port, où il fut salué par les bâtiments français et génois, et se rendit au Temple de la Raison.

La fête se termina par un banquet civique. Chaque citoyen mit sa table devant sa maison et l’on mangea aux cris de : « Vive la République ! ».

Il y eut, le soir, de grandes illuminations en ville, et, par les soins de la Société de la Liberté, on donna au Théâtre, une représentation de « La Liberté Reconquise ».

Vive la République à Nice est un extrait de la relation imprimée de la fête par la Société Populaire de la ville en 1794.

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Les émigrés français de Nice
FRANCE

Les émigrés français de Nice

par JMS 7 juin 2022

Les émigrés français de Nice est un récit qui rappelle qu’au moment de la Révolution française de nombreux nobles ont trouvé refuge dans cette ville étrangère.

 » Le Boulevard du Midi, qui s’étend à l’Est de Nice du Pont des Anges jusqu’à la base de la colline du Château, est planté de palmiers le long du rivage.

Il est aussi bordé à votre gauche de belles constructions parmi lesquelles vous remarquerez l’élégante villa du Comte de Kersaint.

Les terrasses de Nice

Puis, viennent deux longues rangées parallèles de maisons basses, d’égale hauteur, couvertes en terrasse, qui séparent le Boulevard du Midi de la Promenade du Cours.

Ces Terrasses, où l’on monte par un large escalier, ont été longtemps la merveille de Nice, pauvre merveille, aujourd’hui bien vieillie, bien déchue, bien démodée, et dont l’aspect minable ne peut vous rappeler les anciennes splendeurs.

L’une, celle qui s’élève le long de la Baie a été construite au milieu du siècle dernier, alors que la ville de Nice commençait à s’étendre au Sud entre la rive gauche du Paillon et la mer, couvrant de ses constructions nouvelles l’ancienne plage d’échouage qui avait si longtemps servi de port aux premiers habitants de Nice.

Nice n’était plus une place de guerre.

Les grands personnages étrangers commençaient à y affluer en hiver, attirés par la douceur de son climat, et les habitants, pour les recevoir, travaillaient à embellir leur ville.

Le refuge de Nice

Jusqu’à l’époque de la Révolution française Nice progressa.

Elle eut un moment de grande prospérité : les émigrés français, gens de robe ou d’épée, abbés et gentilshommes vinrent alors, très nombreux, à Nice.

A l’heure de la promenade, on les voyait sur la terrasse, agités et remuants, formant des projets hardis pour la délivrance de leur Roy, rêvant de mettre à merci ces manants insolents qui pillaient leurs châteaux, partageaient et achetaient leurs terres.

Narguant le drapeau aux trois couleurs qu’ils voyaient flotter sur le Fort-Carré d’Antibes, puis frivoles, sémillants et charmants sous leurs habits brillants, ils s’empressaient auprès des dames nonchalantes, provoquantes sous leurs atours coquets, sous la poudre qui couvrait leur chevelure, leur adressant quelques compliments galamment troussés, maniérés souvent, et toujours un peu lestes.

La Terrasse alors offrait un spectacle charmant et très animé.

Cela dura jusqu’au 30 septembre 1792, jour où le général Anselme, à la tête du bataillon des volontaires du Var, entra à Nice, sans combat.

Pendant la nuit précédente, les cinq mille émigrés français qui étaient encore à Nice, s’enfuyaient précipitamment, dans une débandade épouvantable, par la route de Turin. »

Les émigrés français de Nice est un texte extrait du livre « Au pays des enchantements » de Gustave Somons, publié en 1893.

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Emeute à Cagnes-sur-Mer
FRANCE

Emeute à Cagnes-sur-Mer

par JMS 13 octobre 2020

Emeute à Cagnes-sur-Mer retrace comment des émeutiers ont attaqué l’église puis le château.

Une bande vociférante, conduite par un certain François Isnard, sème le trouble à Cagnes-sur-Mer.

Elle pénètre, tout d’abord, dans l’église paroissiale. Elle arrache les bancs et les chaises de la famille de Grimaldi, les empile sur la place avant d’y mettre le feu et de danser la farandole.

Le maire de Cagnes, M. Latty, parvient difficilement à les calmer, mais ils finissent par se retirer.

Puis, les émeutiers reviennent un peu plus tard et décident de s’attaquer au château.

A coups de hache, ils défoncent la porte et s’engouffrent à l’intérieur.

Ensuite, les appartements sont dévastés.

Une partie des émeutiers montent sur les toits du château et détruit les créneaux et les merlons, considérés comme symboles de la féodalité et de ses privilèges.

La journée se termine enfin.

Nous étions le 31 juillet 1791.

Emeute à Cagnes-sur-Mer est Inspiré du livre  » Histoire de la Révolution française dans les Alpes-Maritimes  »  par le chanoine Eugène Tisserand édité en 1878.

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Disparition du cadran solaire de l'Opéra de Nice
FRANCE

Disparition du cadran solaire de l’Opéra de Nice

par JMS 1 octobre 2020

Disparition du cadran solaire de l’Opéra de Nice raconte comment cette pièce monumentale a disparu et a été retrouvée.

La construction de l’Opéra de Nice

 » Le théâtre de l’Opéra a ceci de particulier que, reconstruit à diverses reprises, il n’a pas changé d’emplacement.

En effet, il se dresse aujourd’hui sur le même terrain où, en 1766, la famille Maccarani fit élever une primitive salle de spectacles, dont elle obtint la concession pendant vingt ans.

Puis, une Société d’une quarantaine de nobles en fit l’acquisition en 1789, dans l’intention de la transformer.

La Révolution fit alors ajourner ce projet qui ne fut repris que sous le régime sarde.

Le Théâtre Italien fut cependant rebâti par les soins de la Municipalité. Et cela sur les dessins de l’ingénieur Brunati et sous la direction de l’architecte Beruto.

Détail curieux à noter : les deux auteurs ménagèrent dans le fond de la scène une large baie vitrée. Elle permettait aux spectateurs des loges et du parterre d’apercevoir la mer et l’horizon lointain du Cap-d’Antibes.

Le Théâtre Municipal fut encore remis à neuf en 1866. Nous étions sous l’administration de la Municipalité Malausséna, qui comptait Carlone, adjoint-délégué aux Beaux-Arts.

La disparition du cadran solaire

La vaste baie du fond de la scène fut alors murée et on plaça sur la façade reconstruite du quai du Midi le cadran solaire dut à la collaboration du capitaine Wagner et du sculpteur Raymondi.

Un crédit de 6.850 francs avait certes été alloué pour la pose, mais le cadran solaire était dû à la générosité d’un hôte fidèle de Nice, M. Coventry.

Ce même M. Coventry qui, durant plusieurs années, fit tirer à ses frais le canon de midi, non encore sur l’esplanade de la colline du Château, mais sur le quai devant l’Opéra.

Relevons que le cadran, qui remplaçait la baie, indiquait l’heure niçoise de midi. La hauteur totale du monument était de 7 m. 40 ; sa largeur était de 4 mètres.

Enfin, le cadran solaire a été enlevé, après l’incendie du Théâtre Municipal en 1881. Il a alors été déposé dans les entrepôts de la Ville, à l’école Saint-Augustin. »

Et depuis cette année, sa trace est perdue.


Disparition du cadran solaire de l’Opéra de Nice est une narration extraite d’un journal niçois du 31 juillet 1921.

Le cadran de l’Opéra de Nice, disparu depuis 1881, a été retrouvé en 2013 par Marianne Martin, gérante d’une entreprise de taille de pierres dans la plaine du Var. Il était, en effet, dans une décharge de blocs de pierre dont la mairie de Nice avait demandé à l’entreprise de la débarrasser.

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Glissement de terrain à Roquebrune
FRANCE

Glissement de terrain à Roquebrune

par JMS 6 août 2020

Glissement de terrain à Roquebrune rapporte la légende selon laquelle un arbuste aurait arrêté la chute du village dans la mer.

 » Il faut aller visiter Roquebrune, mais je doute qu’il soit séduisant d’y vivre.

Rien de plus pittoresque, mais rien aussi de moins confortable.

Les rues sont des escaliers voûtés. Dans ces tortueuses allées l’ombre et la lumière produisent des effets à ravir un peintre flamand.

Les maisons, cramponnées au roc, semblent toujours prêtes à glisser.

D’ailleurs, en réalisant cette apparence menaçante, elles ne feraient que poursuivre un voyage déjà commencé si l’on en croit la légende.

Autrefois, dit-elle, Roquebrune était perché sur le sommet de la montagne.

Mais le diable irrité de je ne sais quel bon tour que lui joua un saint moine du lieu, précipita le bourg qui dégringolant avec son rocher, allait rouler au fond de la mer bleue qui s’étale à sept ou huit cents mètres plus bas.

Tout-à-coup, une tige d’olivier ou de myrte ou seulement de genêt arrêta l’écroulement.

C’était un miracle dû au bon moine, et depuis ce jour, Roquebrune s’est maintenue sur la pente. »

Nous étions en …1866 avec un anglais, M. John Moggridge, qui raconte cette légende
Glissement de terrain à Roquebrune dans son livre « Menton et ses environs ».

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...Catherine Ségurane est une héroïne niçoise qui s'illustra lors du siège de Nice en 1543...

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