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Les Salines de Nice
FRANCE

Les Salines de Nice

par JMS

Les Salines de Nice est un récit qui rappelle que des salines ont été exploitées le long de la côte.

 » Au XVème siècle, l’exploitation du sel était une branche très considérable du commerce de Nice.

On le tirait en grande partie des salines situées le long du rivage de la mer, depuis le Magnan, petit torrent, jusqu’au Var, dans l’étendue du terrain vulgairement appelé les Sagnes.

Il s’agissait d’un marais assez étendu que l’industrie des cultivateurs a rendu en grande partie à l’agriculture.

Des excavations pratiquées, en 1625, dans la campagne de la famille Capello, située auprès du Magnan vers l’embouchure de la mer, firent retrouver les traces des anciennes salines.

Les fermiers des gabelles avaient le droit de s’associer d’autres négociants ; ils approvisionnaient non seulement le Piémont et la Savoie, mais encore la Provence, la rivière de Gênes et une partie de la Lombardie. »

Les Salines de Nice est un texte découvert dans le « Répertoire des travaux de la Société de statistique de Marseille » de 1856.

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Les salines de Monaco
MONACO

Les salines de Monaco

par JMS

Les salines de Monaco est un article qui rappelle que la production de sel a été une source de revenus pour la famille princières.

 » C’est le quartier des Salines qui, de la mer aux escarpements de la Tête de Chien, forme la frontière de la Principauté à l’Ouest.

Les princes de Monaco avaient ici des salines actives, et ils vendaient du sel même aux ducs de Savoie, bien que ceux-ci eussent leurs salines assez près, à l’ouest du Cap d’Ail, dans l’anse de Saint-Laurent d’Eze.

Le quartier des Salines a conservé ce nom.

Il comprend, au-dessus du chemin de fer et de la route nationale, d’une part le cimetière d’autre part l’Hôtel-Dieu auquel on arrive par une large voie en lacets gagnée dans le rocher ou soutenue sur des voûtes. »

Les salines de Monaco est un texte extrait du journal « La Semaine niçoise » du 30 octobre 1902.

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La grotte des Salines à Cap-d'Ail
FRANCE

La grotte des Salines à Cap-d’Ail

par JMS

La grotte des Salines à Cap-d’Ail raconte l’histoire de l’entrepôt de sel des ducs de Savoie.

 » C’est dans l’anse de Saint-Laurent, à Cap-d’Ail, que les ducs de Savoie établirent, au XVème siècle, l’entrepôt des sels pour les Etats du Piémont et de la Lombardie

La grotte appelée les Salines existe encore, assez bien conservée, dans une propriété de M. Arduini.

Les communes environnantes étaient obligées d’entretenir le chemin desservant cette grotte et qui est aujourd’hui classé sous la dénomination d’intérêt commun de Saint-Laurent à la Turbie.

L’anse antique s’est peu à peu comblée.

Elle fut close définitivement à la mer lorsque le chemin de fer lui fut jeté en remblai à son ouverture sur l’anse de Mala. »

La grotte des Salines à Cap d’Ail est un texte extrait du journal « La Semaine niçoise » du 5 février 1903.

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Les salines d'Antibes
FRANCE

Les salines d’Antibes

par JMS

Les salines d’Antibes est un article qui rappelle que la production du sel a été une source de richesse pour cette cité de la Riviera.

 » Le sel fut de tout temps un objet de première utilité.

Les Ligures-Antibois, peuplade maritime des Décéates, s’occupèrent de bonne heure d’établir des salines sur leur littoral.

Ils établirent là leur entrepôt.

Les Antibois, en outre, se livrèrent aux salaisons à l’exemple des autres peuplades de leur nation.

Les premières salines d’Antibes occupèrent le quartier Saint-Roch, où l’on a creusé depuis le port.

Si vous remontez le vallon, au Nord, vous rencontrerez sur le versant de droite, un château qui depuis la plus haute antiquité se nomme Castrum Sala, Casale ad Saletas, et aujourd’hui Château Salé.

Ce château qui appartient au maréchal Reille, a été la demeure de la famille Bonaparte en 1794.

Plus tard d’autres salines furent établies, au Golfe-Juan, dans la région des Nielles. Un quartier d’Antibes porte d’ailleurs le nom de Salis.

Les incursions des pirates, les invasions, les guerres nuisirent à la prospérité d’Antibes.

Les marais salins, cessant d’être exploités, faute de bras et de sécurité, devinrent contagieux pour la ville, qui fut réduite dans le Moyen Âge à 2.000 habitants au plus.

Antibes dut s’approvisionner ailleurs de sel, tant pour ses salaisons que pour ses autres usages domestiques.

Il fut même permis d’avoir des entrepôts de sel et d’en vendre aux autres pays. »

Les salines d’Antibes est un texte tiré des « Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes » de 1873.

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Paupiettes à la niçoise
FRANCE

Paupiettes à la niçoise

par JMS

Paupiettes à la niçoise donne la recette de ce plat à base d’escalopes complétée par des produits méridionaux.

Aplatir des escalopes très minces, prises dans la noix ou dans la longe, les couper de manière égale et les assaisonner avec du sel, du poivre.

Hacher du jambon cru et des parures de veau, avec la chair de quelques olives noires, une pointe d’ail, du persil et du poivre.

Etendre ce hachis sur chaque escalope, les rouler et les attacher aux deux extrémités.

Les faire braiser vivement et les déglacer au vin blanc. Ajouter du fonds de veau et du jus de citron.

Blanchir quelques olives noires et les servir en accompagnement des paupiettes.

Paupiettes à la niçoise est une recette découverte dans le « Manuel pratique de cuisine provençale « , publié en 1924

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Macaronis à la niçoise
FRANCE

Macaronis à la niçoise

par JMS

Macaronis à la niçoise donne la recette de ce plat, facile à réaliser, découvert dans un vieux livre de cuisine.

Pour réaliser la sauce, hacher de l’oignon, le faire revenir à l’huile et au beurre avec de l’ail écrasé, des tomates fraîches concassées et laisser mijoter pendant quinze minutes.

Egoutter les macaronis, les mélanger avec la sauce précédemment préparée en ajoutant du sel, du poivre, du fromage râpé et une cuillerée de jus.

Macaronis à la niçoise est une recette simple que l’on peut découvrir dans le « Manuel pratique de cuisine provençale « , daté de 1924.

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Gnocchi à la niçoise
FRANCE

Gnocchis à la niçoise

par JMS

Gnocchis à la niçoise donne cette recette à base de pommes de terre qu’on peut trouver dans un vieux livre de cuisine.

Eplucher des pommes de terre et les cuire à l’eau salée.

Dès qu’elles sont cuites, les égoutter, les sécher quelques minutes dans le four et les passer ensuite au tamis en fer.

Peser, en égale quantité, de la farine bien tamisée, l’incorporer avec les pommes de terre en travaillant bien le tout et ajouter trois ou quatre œufs entiers battus avec du sel, du poivre, de la muscade et du fromage râpé.

Former une grosse boule de cette pâte, la couper en 5 ou 6 morceaux, les rouler dans la farine pour les ramener à l’épaisseur d’une quenelle et les détailler ensuite au couteau.

Les cuire à l’eau bouillante salée pendant 7 à 8 minutes, les égoutter, les ranger par couches dans un plat à gratin, les soupoudrer de fromage râpé et de jus et les gratiner au four.

Gnocchis de pommes de terre à la niçoise est une recette extraite du « Manuel pratique de cuisine provençale « , paru en 1924.

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