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Triste fin au Cap Brun à Toulon
FRANCE

Triste fin au Cap Brun à Toulon

par JMS 3 septembre 2025

Triste fin au Cap Brun à Toulon est une histoire qui raconte un tragique fait divers.

 » Vendredi dernier, au petit jour, des pêcheurs découvraient, sous le cap Brun, à Toulon, derrière un petit rocher formant ilot, à 25 mètres de la plage, le cadavre d’un homme dont la tête était détachée du tronc.

Cette tète gisait.en morceaux informes près du corps; une corde nouée autour du cou sanglant fit d’abord supposer que la mort avait été le résultat de la strangulation, et que les assassins, pour empêcher que leur victime fût reconnue, lui avaient littéralement broyé la tête.

Les pêcheurs qui avaient fait cette découverte s’empressèrent d’aller en instruire la justice.

Elle se rendit sur les lieux, et, après un minutieux examen, ne douta plus que la mort fût le résultat d’un suicide, suicide incontestablement sans précédent.

En effet, à la ficelle qui serrait le cou était suspendu un sac d’étoffe noire, devant contenir de la dynamite ou toute autre matière explosive plus puissante que la poudre, car aucune noircissure n’indiquait l’emploi de cette dernière.

Ce qui confirma la justice dans cette certitude, c’est que les pêcheurs se souvinrent que, dans la nuit où ils découvrirent lo cadavre, ils avaient entendu vers minuit une détonation semblable à celle d’un coup de canon.

Ce bruit était évidemment l’explosion qu’avait produite la substance dont s’était servit celui qui s’était suicidé.

Le cadavre a été transporté aussitôt à la morgue. Jusqu’à présent son identité n’a pas été établie. On va procéder incessamment à l’autopsie du cadavre. »

Triste fin au Cap Brun à Toulon est un texte découvert dans le journal « La République » du 7 août 1877.

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Le peintre qui aimait la Côte d’Azur
FRANCE

Le peintre qui aimait la Côte d’Azur

par JMS 25 avril 2025

Le peintre qui aimait la Côte d’Azur est un article qui rappelle l’attachement de Claude Monet à cette régionn et à sa lumière.

« Claude Monet aimait la Côte d’Azur.

Il peignit, d’ailleurs, plusieurs de ses toiles à Cagnes, où il séjourna aux environs de l’année 1905. Il était l’hôte de son gendre, M. Salerou, le regretté conseiller général de Cagnes.

Antibes était certainement la localité de notre région que Claude Monet préférait.

La lumière, d’ailleurs, était sa passion : « Toute sa vie, a écrit M. Roger Dardenne, Monet n’a songé qu’à en surprendre les modulations les plus rares, les passages les plus furtifs et à l’instant suprême sans doute, comme Goethe, lui aura-t-il adressé sa dernière pensée. »

Claude Monet, qui est mort dans sa propriété de Giverny, était né à Paris en 1840.

Il fut un des plus célèbres impressionnistes. C’était un « analyste » remarquable de la couleur. Il a été inégalé et il restera peut-être inégalable dans l’art de percevoir les variations de la lumière.

C’est le peintre suisse Charles-Gabriel Gleyre qui fut le professeur de Claude Monet à ses débuts. Mais c’est, en réalité, Gustave Courbet, avec lequel il se lia d’amitié, qui eut sur son talent une influence décisive.

Tous les paysages ont retenu l’attention de Claude Monet : Paris et sa banlieue, la Normandie. L’Î!e de France, Londres et la Hollande, la Provence et la Côte d’Azur lui ont inspiré des œuvres maîtresses qui resteront et qui ont exercé une très forte influence sur le renouvellement de notre vision.

Il a, selon l’expression d’un critique, « complété l’éducation de nos yeux ».

C’est son vieil ami Georges Clemenceau qui, assistant à ses derniers moments, a fermé les yeux à ce grand peintre de la lumière.

Claude Monet disparaît après une vie de luttes et de bonté, tout entière consacrée à son art. »

Le peintre qui aimait la Côte d’Azur est un texte découvert dans la revue « L’Éclaireur du dimanche » du 12 décembre 1926.

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L'inventeur de la Côte d'Azur
FRANCE

L’inventeur de la Côte d’Azur

par JMS 28 janvier 2025

L’inventeur de la Côte d’Azur est un article qui rend hommage à Stephen Liégeard qui a créé l’expression en 1887.

 » Un jour, il y a très longtemps, je rencontrai chez José Maria de Heredia, qui, chaque samedi, recevait des poètes, un petit vieillard prodigieusement bien mis, savamment pomponné et de manières exquises.

C’étail Stephen Liégeard, grand bourgeois bourguignon, propriétaire du Chambertin et candidat à l’Académie Française.
Celle candidature l’occupa et le tortura pendant trente ans ; on souriait de sa marotte, mais avec sympathie, car c’était un galant homme et un homme de bien ; les académiciens lui faisaient des promesses, parfois sincères, puis ne les tenaient pas. Et il recommençait, inlassablement, ses visites, ses démarches, ses tentatives…

Il finit par renoncer à son rêve et, dès lors, on ne le vit plus guère à Paris.

Il passait l’hiver dans sa villa de Cannes et l’été dans son domaine de Grobon, aux environs de Dijon, écrivant encore des vers et gérant le magnifique trésor viticole dont il était possesseur.

Ce fut à Cannes que je le revis après bien des années.

Il assistait assidûment aux représentations du Casino et je ne montais jamais au pupitre pour diriger l’orchestre sans apercevoir son fin visage pâle aux légers favoris tuyautés, son plastron emperlé el ses gants blancs.

Il me fit souvent l’honneur de m’inviter à déjeuner ; la cuisine élail succulente et la cave mirifique. Bien qu’âgé de quatre-vingt-dix ans, il mangeait bien et buvait sec, et il lui étail agréable, au dessert, de réciter quelques sonnets de lui.

Il n’avait conservé nul ressentiment de ses déconvenues académiques ; il paraissait même en avoir perdu la mémoire, ou, peut-être, se disait-il malicieusement que plus d’un immortel serait depuis longtemps oublié quand son nom à lui serait encore cité par les fervents du Midi.

Sans doute n’avait-il pas tort, car ce fut Stéphen Liégeard qui, ayant, dans sa jeunesse, consacré un livre à la description des splendeurs du littoral, inventa pour lui servir de titre une appellation dont le succès fut immense el qui vaut à elle seule bien des poèmes : La Côte d’Azur. »

L’inventeur de la Côte d’Azur est un texte trouvé dans la revue « La Rampe » du 15 février 1931.

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La Côte d'Azur toute l'année
FRANCE

La Côte d’Azur toute l’année

par JMS 27 décembre 2024

La Côte d’Azur toute l’année est une histoire qui raconte comment la saison d’été a été inventée dans cette région.

 » On a eu tort, jusqu’ici, d’envisager simplement la Côte d’Azur comme une station hivernale, dotée de villes essentiellement destinées à l’étalage d’un luxe effréné et au seul accomplissement du plaisir continuel.

La Côte d’Azur, renommée à juste titre pour son cier bleu, ses fleurs et son climat tempéré, mérite de retenir l’hivernant le plus longtemps possible.

Le printemps y est enchanteur. L’été plus doux que dans la plupart des villes de saison parsemées sur les hauteurs de notre France, jouit de la brise toujours modérément rafraîchissante qui lui vient de la grande bleue.

Juan-les-Pins est un séjour d’été charmant, et c’est sans doute ce qui explique la décision de M. Antoine Sella, le très distingué directeur du Grand-Hôtel du Cap d’Antibes, qui, à l’encontre de la coutume, laissera ouvert toute l’année ses deux établissements, l’hôtel du Cap et le Pavillon Eden Roc.

Cet exemple sera suivi, n’en doutons pas. La Côte d’Azur mérite, en effet, d’être aussi appréciée l’été que l’hiver.

Contentons-nous de l’hiver, répondent certaines personnalités, qui trouvent actuellement plus de profits ailleurs, la saison chaude revenue. Nous qui n’avons pas les mêmes raisons qu’elles pour nous expatrier, nous disons, redisons et redirons sans cesse que la Côte d’Azur reste la Côte d’Azur d’un bout de l’année à l’autre, et que rien ne pourra empêcher désormais tous ceux qui cherchent le repos et la tranquillité d’y rester à l’avenir plus longtemps qu’ils ne l’ont fait jusqu’à présent. »

La Côte d’Azur toute l’année est un texte trouvé dans le journal « L’Impartial français » du 8 mai 1920.

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Un drame à Juan-les-Pins
FRANCE

Un drame à Juan-les-Pins

par JMS 28 mars 2023

Un drame à Juan-les-Pins est un texte qui raconte une histoire qui n’est pas ce qu’elle paraît être.

 » Hier, tard dans la nuit, on entendait des cris affreux aux alentours d’Eden Roc.

Quelques rares témoins assistèrent avec stupeur à un combat singulier que se livraient deux jeunes femmes.

L’une d’elles fut précipitée à la mer, mais fut assez heureuse pour atteindre les rochers tout proches.

Après une enquête discrète, on apprit qu’une rivalité amoureuse avait dressé les deux jeunes femmes et que l’une d’elles avait séduit le prince charmant en se faisant une haleine fraîche et parfumée, grâce aux bons petits cachous Lajaunie. »

Un drame à Juan-les-Pins est une publicité parue dans le journal « Paris-soir » du 23 septembre 1936.

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Pas de Romains à Menton
FRANCE

Pas de Romains à Menton

par JMS 17 novembre 2022

Pas de Romains à Menton est un article qui se penche sur les origines du nom de cette jolie ville de la Riviera française.

« On a attribué la fondation de Menton aux Romains.

Par une étymologie trop forcée pour être admise, on a prétendu que Menton a été fondée par des partisans d’Othon, à la suite de la grande bataille livrée aux troupes de Vitellius, sur le sol de l’antique Lumone, en 70 après J-C.

De : in memoria Othonis, on aurait, par contractions successives, fait Menton.

On appuie cette étymologie d’une autre également fantaisiste.

Le nom de Carnolès, donné à un château de Menton, viendrait de Carnis lœsio, carnage, indiquant que la grande bataille avait ensanglanté ce point.

Mais tout ceci est loin d’être sérieux.

Dans une savante dissertation appuyée par les textes, M. A. L. Sardou a établi que la rencontre entre Vitelliens et Othoniens s’est produite dans les environs de Cagnes.

De Menton, il n’existait rien à l’époque romaine. Les auteurs, les documents anciens n’en font nulle mention, tandis qu’ils citent Lumone, la station du Cap-Martin.

Les cartes romaines, telles que celle de Peutinger marquent la rudesse du chemin à partir de Vintimille, chemin qui gravit les escarpements de la Mortola, et n’indique ensuite que les stations de La Turbie et de Cimiez.

Nul vestige romain n’a été trouvé à Menton, alors qu’ils abondent en d’autres communes voisines. »

Pas de Romains à Menton est un texte extrait du journal « La semaine niçoise » du 1er janvier 1903, d’après un livre de Philippe Casimir.

Cet article à une suite avec le nouvel épisode « Les Sarrazins à Menton ».

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Excursion pédestre à Falicon
FRANCE

Excursion pédestre à Falicon

par JMS 15 novembre 2022

Excursion pédestre à Falicon est un texte qui décrit une promenade en 1880 vers ce village de l’arrière-pays niçois.

 » Falicon n’est qu’un point insignifiant dans l’espace lumineux et pittoresque qui environne la ville de Nice ; mais les perspectives variées que ménage aux regards la terrasse de son ancien château le recommandent aux touristes qui ont des goûts artistiques.

Montée vers Falicon

Suivons donc la route de Cimiez, chère aux hôtes de la colonie étrangère, et, après avoir traversé les ruines de l’antique amphithéâtre romain, montons le chemin du quartier de Rimiès jusqu’à l’aire Saint Michel. Il faut monter pendant deux heures et quart.

De là, une route récemment construite conduit, à l’ombre d’innombrables groupes d’oliviers, au pied du cône sur lequel est perché le pauvre village de Falicon, avec ses 515 habitants.

L’ascension devient pénible.

Un chemin tortueux, rocailleux et raide comme une échelle mène à l’église. Cet édifice, qui date de l’an 1624, n’est pas précisément le type le plus parfait de l’art religieux. Mais la vue de l’horizon splendide qu’offre sa terrasse, dernier débris des remparts d’une ancienne fortification féodale, mérite un examen détaillé.

Vue sublime depuis Falicon

D’un côté on aperçoit la ville de Nice avec son vieux château, les sommets verdoyants du Montboron, le fort de Montalban, le mont Vinaigrier, le mont Gros avec la route de la Corniche, un panorama des plus étendus et des plus éblouissants, encadré par les flots bleus de la Méditerranée.

Du côté opposé, un paysage d’un aspect sombre et sévère, les sites agrestes du mont Cau et du mont Maccaron, et, à travers des rochers gigantesques, les massives tours de Tourette et les ruines désolées de Châteauneuf, le village abandonné.

Le retour à Nice par la route de Saint-André ressemble à une promenade dans les vallons alpestres de la Suisse.

On se croirait à mille lieues du pays où fleurit le citronnier.

C’est un décor d’une expression de tristesse indicible, une gorge de montagne dénudée qui rappelle les scènes de sorcières de Macbeth, des rochers escarpés, une terre grise et inculte, une végétation maigre et maladive, çà et là quelques genévriers sauvages et un bouquet de pins maritimes.

Un calme absolu règne dans cette région stérile et solitaire ; on n’entend que le bruit du vent et le murmure d’une cascade formée par les eaux impétueuses du torrent de la Leissoniera.

Nulle trace de culture, d’industrie, de travail humain, à l’exception d’un chétif moulin à huile, qui a l’air d’un grain de blé égaré sur une roche. »

Excursion pédestre à Falicon est un récit tiré du journal « Le Mémorial diplomatique » du 3 janvier 1880.

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Les pénitents blancs de Peillon
FRANCE

Les pénitents blancs de Peillon

par JMS 1 novembre 2022

Les pénitents blancs de Peillon sont la trame d’une histoire qui raconte le rôle tenu par cette confrérie dans la vie du village.

 » Les enterrements au vieux village de Peillon donnaient lieu, autrefois, à une cérémonie originale traditionnelle.

Après l’office religieux célébré à la chapelle de Notre-Dame de la Madone des Sept Douleurs, on portait les corps jusqu’au cimetière situé,  à moins de 100 mètres, sur la colline la plus proche du village.

Cette chapelle était chapelle de Pénitents blancs.

Ces confréries de Pénitents, blancs ou noirs, ont eu une importance considérable dans la vie des paroisses de l’ancien comté de Nice.

Mais « qu’ils soient blancs ou noirs, écrit l’historien Pierre Gauberti, les Pénitents avaient des buts semblables : pratique de la religion dans toute sa pureté et en faisant des œuvres de pénitence personnelles, de charité fraternelle, telles que l’assistance aux malades, aux mourants et aux défunts, porter leur corps en terre, prier pour eux ».

Naturellement, depuis que la population de Peillon est descendue dans la vallée entraînant mairie et école et créant ainsi un autre village, situé sur une route nationale et donc plus accessible, on n’enterre plus beaucoup à dans le vieux village de Peillon.

La municipalité a, en effet, aménagé un nouveau cimetière dans la vallée, au quartier des Moulins.

Sont seuls encore enterrés à Peillon les gens qui y possèdent un caveau. « 

Les pénitents blancs de Peillon concernent un texte tiré de la revue « Sites et monuments » de janvier 1972.

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La terre tremble à Roquebrune
FRANCE

La terre tremble à Roquebrune

par JMS 27 octobre 2022

La terre tremble à Roquebrune est un article qui cherche à donner une raison scientifique à la légende qui entoure ce village de la Côte d’Azur.

« Roquebrune, Rocca bruna, dont le sol semble bouleversé par de violentes révolutions, est perchée sur les derniers plans d’un bloc de rochers om la tradition veut qu’elle ait été précipitée, non loin de la colline où elle reposait jadis ; ayons soin d’ajouter qu’elle fut retenue par un genêt.

On ne doit pas croire aux fables, mais il est bon de les recueillir quand elles sont traditionnelles, et qu’elles ne nuisent pas au récit.

D’ailleurs, elles cachent presque toujours un sens allégorique.

Un tremblement de terre a remué autrefois le sol de Roquebrune, détaché de la montagne d’énormes pierres qui, dans leur chute, ont miraculeusement épargné la ville : c’est là si je ne me trompe, le sens de la fable populaire. »

La terre tremble à Roquebrune est un texte extrait du livre  » Menton, Roquebrune, Monaco  » d’Abel Rendu, publié en 1848.

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Vie rustique à Menton
FRANCE

Vie rustique à Menton

par JMS 20 octobre 2022

Vie rustique à Menton est un article qui vante les charmes de cette ville de la Côte d’Azur à la frontière de l’Italie.

« Le climat de Menton est très recherché aujourd’hui des étrangers.

Il est plus doux que celui de Nice et moins sujet aux variations fréquentes de température.

Les promenades y sont intéressantes et variées, au milieu des citronniers et des oliviers.

Du rivage on aperçoit très bien la pointe effilée du cap Martin et le soir la vive clarté du sémaphore.

Riches villas, élégants châteaux, riants chalets y sont répandus à profusion.

C’est une vie rustique, adorable en sa simplicité que la vie de Menton. Le site lui-même est ravissant et on y goûte le plus grand calme sous la douce sérénité d’un ciel toujours bénin.

A l’époque des fêtes, la cité mentonnaise ne reste point en arrière. Une société choisie se distingue dans les batailles de fleurs par son empressement à conquérir des lauriers. La lutte est très vive, la joie inénarrable.

Menton est et sera toujours le lieu favori des délicats à qui répugne les plaisirs des foules et qui préfèrent une tranquillité bien assurée dans un petit clos, le long de la mer, loin des grosses caisses, dans une franche familiarité qui n’exclut point le plaisir et la joie.

La campagne de Menton est bien faite pour satisfaire à tous les goûts et l’on peut dire que du cap Martin à Menton, c’est bien la partie la plus agréable du littoral méditerranéen, tant au point de vue de la richesse du climat que du site lui-même. »

Vie rustique à Menton est tiré du livre « La Côte d’Azur en l’an 1897 » de Georges Fontaines, publié en 1897.

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