Chanson sur Nice reprend la chanson « A Nice, la Jolie » dont les paroles sont de Francisque Faque et la musique de Jean Villar.
Elle vante sur un rythme allegro moderato les vertus du mariage.
» Je connais à Nice deux filles,
Dont l’une au moins à marier,
L’autre qui fut des plus gentilles,
Est d’âge à peu s’en soucier.
Mariez-vous mesdemoiselles,
Quand vous êtes dans votre fleur,
Car, on en vit, et des plus belles,
Dépérir de peines de cœur !
Mettant tout votre être en langueur ;
Là, soucis et chagrins moroses
Font place aux rêves de bonheur !
Mais l’amour de l’or règne en maître
Dans ce beau pays tant vanté ;
Jeunes hommes, gardez-vous d’être
Atteints de ce mal exécré ! «
Chanson sur Nice est un texte qui rappelle une partie des paroles d’une chanson publiée en 1910.