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Brigitte Bardot de Saint-Tropez
FRANCE

Brigitte Bardot de Saint-Tropez

par JMS 9 décembre 2024

Brigitte Barot de Saint-Tropez est un article qui reprend les paroles d’un chanson interprétée par Dario Moreno.

 » Brigitte Bardot, Bardot

Brigitte Bardot, bravo !

Aucune fille au monde

N’est aussi sympa que toi

Brigitte Bardot, Bardot

Brigitte Bardot, bravo !

Pour toi, toutes les secondes

Chaque homme a le cœur qui bat

Oh ! BB, BB, BB

Je connais beaucoup de femmes

Qui voudraient bien te ressembler

Mais aucune n’a, comme toi

Ce petit je ne sais quoi

Qui fait que c’est toi, BB

Qui seras toujours aimée

Il aurait fallu t’inventer

Si tu n’avais pas existé

Brigitte Bardot, Bardot

Brigitte Bardot, bravo !

Aucune fille au monde

N’est aussi sympa que toi « 

Brigitte Bardot de Saint-Tropez est un extrait des paroles d’une chanson écrite par Jean-Max Rivière sur une musique de Gérard Bourgeois.

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La fin de l’ancien port de Nice
FRANCE

La fin de l’ancien port de Nice

par JMS 3 décembre 2024

La fin de l’ancien port de Nice est une histoire qui raconte l’émergence du port de Lympia.

« Le XVème et surtout le XVIème siècle marquèrent l’apogée des ports de Nice et de Villefranche.

Mais, le déclin allait suivre de près la prospérité.

En 1513, le port Saint-Lambert était aux trois quarts comblés par les alluvions, qui, tassées et aplanies, devinrent une place : la place du Môle.

Les navires entraient dans la darse par un étroit boyau.

Le Tercenal ou arsenal fut abandonné : en 1604, on n’en voyait plus que les restes.

En 1684, la darse, entourée de ses remparts, existe toujours ; l’avant-port est réduit à une sorte de couloir très court, protégé, à l’est, par un tronçon de l’ancien môle.

Les ruines du Tercenal ont été rasées.

Les connexions entre la darse et le Château sont encore visibles. Celle-là et celui-ci sont toujours hors la ville, mais dépendent toujours des remparts.

Au XVIIIème siècle, l’alluvion du Paillon parachèvera son oeuvre. L’avant-port et la darse seront comblés. A leur place s’élèveront de nouveaux bâtiments.

Le duc Charles-Emmanuel III, désireux de conserver son port à Nice, fit venir de Turin des ingénieurs.

Ces hommes de l’art proposèrent de jeter les eaux du Paillon dans l’actuel quartier de Riquier et d’y creuser un bassin. La peur des atterrissements et l’énormité de la dépense firent écarter ce projet.

En 1738, on se rabattit, d’un commun accord, sur le port de Lympia, où le travail était facile.

Le terrain fut défoncé en direction du nord.

Le 22 juillet 1750, on construisit un petit môle. Un an après, le port de Nice était livré à la navigation. »

La fin de l’ancien port de Nice est est un texte repêché dans le « Précis analytique des travaux de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen », publié en 1940.

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Création du port de Villefranche
FRANCE

Création du port de Villefranche

par JMS 2 décembre 2024

Création du port de Villefranche est une histoire qui raconte l’ouverture de cet ouvrage par la maison de Savoie.

« Non loin de cette ville de Nice, à l’est, s’ouvre une admirable baie.

Afin de renforcer la défense de Nice et de favoriser son trafic, Charles d’Anjou fonda un port et une ville, les deux fortifiés, à l’orée de la baie, vers l’ouest : c’est Villefranche.

A Villefranche s’attache une particularité digne de remarque.

A compter de 1420, le duc Amédée VIII institua, sous le nom de « droit de transit », une assurance contre la piraterie.

A cet effet, il prélevait 2% sur les cargaisons de tous les navires passant à Villefranche, et, avec le produit de cette taxe, il armait et équipait une flottille de galères en vue de la police des mers.

Il va de soi que le premier soin du duc régnant avait été d’aménager une darse, à Villefranche, sur le modèle de celle de Nice.

En 1557, Emmanuel Philibert répara cette darse, où se tenaient en permanence quatre galères.

Les chantiers de construction de Villefranche connaissaient une forte activité et, à la fin du XVème siècle, avaient mis à flot, d’après les plans des frères Galléan, des unités de 1.600 tonneaux, portant 150 hommes et 27.000 quintaux de marchandises. »

Création du port de Villefranche est un texte émergé depuis le « Précis analytique des travaux de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen », publié en 1940.

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Le Saint-Suaire à Nice
FRANCE

Le Saint-Suaire à Nice

par JMS 29 novembre 2024

Le Saint-Suaire à Nice est une histoire qui raconte son transfert dans la ville pour des raisons de sécurité.

 » Les différends politiques qui opposaient le roi François Ier et le duc Charles III, de plus en plus soumis à l’influence de Charles Quint, eurent pour conséquence l’occupation de la Savoie, en février 1536, par les troupes françaises.

Avant l’arrivée de celles-ci, le duc, alors à Turin, avait pu faire enlever le Saint-Suaire de Chambéry.

Le 27 mars suivant, devant l’avance de l’adversaire, Charles III s’échappa en toute hâte de la capitale piémontaise, occupée à son tour quelques jours plus tard par les forces françaises.

Le duc trouva refuge, ainsi que la célèbre relique chambérienne, dans la ville de Verceil.

Les pérégrinations de ce malheureux prince, désireux de se rapprocher de l’empereur, qui s’employait à son expédition de Provence, amenèrent à Nice le palladium de la Maison de Savoie.

En 1537, cette ville fut menacée par une offensive française.

Pour implorer l’assistance du ciel une ostension publique du linceul eut lieu.

Du château du Drappo, le Saint-Suaire fut porté processionnellement à la cathédrale.

Le clergé et les membres des confréries avançaient pieds nus et les fidèles étaient couverts de cendre et portaient des silices.

Le vendredi saint, 29 mars 1537, la relique fut exposée du haut de la tour de Bellanda à la vénération d’une immense foule. »

Le Saint-Suaire à Nice est un texte trouvé dans les « Mémoires de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie » de 1960.

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En train à vapeur de Nice à Grasse
FRANCE

En train à vapeur de Nice à Grasse

par JMS 28 novembre 2024

En train à vapeur de Nice à Grasse est un récit qui relate le parcours emprunté par la compagnie du chemin de fer du Sud.

 » Nous traversons la jolie gare du chemin de fer du Sud, située avenue Malausséna, et nous nous installons dans un des élégants wagons de ladite Compagnie.

Stridents coups de sifflet — le train s’ébranle, la machine gémit, souffle, crache, et nous voilà, franchissant le ravin de la Mantega, atteignant le village de la Madeleine, le hameau de St-Isidore.

Notre train ondule gracieusement au milieu d’une verdure luxuriante, s’engouffre dans les tunnels.

Le parcours, véritable kaléidoscope, déroule à nos yeux émerveillés des sites variés d’un pittoresque enchanteur : plaines riantes, collines ensoleillées, escarpements couronnés de châteaux en ruines protégeant des villages semblables à des nids d’oiseaux de proie.

Le Var s’élargit, s’élargit, s’élargit, prend une allure superbe, rendant ainsi plus vaste encore l’horizon où se silhouette Lingostière, où se profilent les ruines de l’ancien palais des Templiers à La Gaude, le château et le haut clocher de Gattières, Carros avec sa vieille église et son antique manoir.

Puis, vient Le Broc avec son hospice du XVème siècle et son église Renaissance.

Nous faisons halte à la station de Colomars. Ici, la vue est, incomparablement de toute beauté.

Nous brûlons les petites gares où le paysage est cependant plein de séductions.

Nous nous arrêtons quelques heures à Vence, et nous revoyons avec un vif plaisir sa vieille cathédrale aux splendides stalles sculptées du XV siècle.

Nous arrivons à Tourrettes-sur-Loup et nous visitons ses trois tours, ses vieux murs de défense et ses maisons du XVème siècle.

Nous franchissons les Gorges du Loup, si justement en grand renom. Le train glisse, sur un viaduc qui fait l’admiration des voyageurs.

Les eaux limpides de la rivière du Loup coulent capricieusement, du Nord au Sud, sur un lit rocailleux, au fond de ce ravin qui se présente comme une immense fissure dans le roc sur une longueur de plus de deux lieues.

A l’entrée de celle profonde vallée, sur un monticule, on aperçoit le bourg du Bar.

Gourdon possède une vieille forteresse et une église du XIIème siècle, puis c’est Magagnosc et enfin nous arrivons à Grasse. »

En train à vapeur de Nice à Grasse est un texte découvert dans le livre « Stations de la Méditerranée et environs » de Léon Sarty, publié entre 1900 et 1910.

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La darse de Nice
FRANCE

La darse de Nice

par JMS 26 novembre 2024

La darse de Nice est un récit qui raconte l’histoire de l’ancien port de la cité.

 » Il n’était pas de mois que le littoral niçois ne fût infesté par les pirates sarrasins. De plus, les marins et les marchands de la ville souffraient du despotisme des Génois et des Pisans, maîtres de la mer.

Aussi, Charles d’Anjou, comte de Provence, résolut-il d’assurer à ses sujets la sécurité et la liberté de circulation.

Il appela deux notables, Jacques Caïs et Guillaume Olivari, qui connaissaient, pour y avoir navigué et séjourné, Gênes, Venise, Alexandrie, Byzance, les côtes du Levant, et s’étaient distingués sur les flottes des Croisades.

En 1251, il leur donna l’ordre de creuser, sans délai, une darse.

En somme, il s’agissait de faire du vieux port Saint-Lambert un port militaire artificiel.

La darse de Charles d’Anjou se trouvait, parallèlement au rivage, sur l’emplacement actuel du Palais de Justice et de la Préfecture. La darse, qui pouvait mesurer environ 2 hectares et demi, était fortifiée, ainsi que ses abords immédiats.

On sait que la tour la plus rapprochée des Ponchettes et, par conséquent, du château, s’appelait tour Saint-Elme.

Deux môles fortifiés limitaient, du côté de la mer, une surface d’eau que l’on désigna du vieux nom de Port Saint-Lambert. Ce port Saint- Lambert nouveau faisait office d’avant-port à la darse.

En principe, il était réservé aux caboteurs, tandis que la darse l’était aux navires de guerre.

A ces deux fonctions correspondaient deux modes administratifs. La darse était entretenue par le comte, disons l’Etat ; le port Saint-Lambert et ses môles, par les habitants et les usagers. A cet effet, on prélevait un cinquième sur les legs et successions ; les navires chargés de blé et de sel donnaient chacun une mesure ; les bêtes de somme étaient réquisitionnées un jour par an, au mois d’avril, pour les travaux de réparation effectués aux môles ; les paysans des alentours, qui semaient plus de 2 setiers, étaient taxés à 2 deniers par setier.

Le caractère exclusivement militaire de ces ouvrages était encore rehaussé par la présence de l’Arsenal ou « Tercenal ».

Puissamment fortifié (tours, créneaux, etc.), cet édifice coiffait, au nord, la darse et venait s’appuyer, à l’ouest, sur le rempart de mer. Il contenait un chantier de constructions navales et les magasins habituels d’armes et d’agrès.

L’avant-port, la darse et le Tercenal, ainsi définis, ont rendu les plus grands services.

Ils ont tenu en respect les Barbaresques, les écumeurs de mer de tout acabit et imposé une crainte salutaire aux Génois, aux Siciliens et aux Pisans.

Les Chevaliers de Saint- Jean-de-Jérusalem, d’une part, le duc Amédée VIII, d’autre part, y firent construire et armer des galères que l’on lançait par des ouvertures pratiquées, à cet effet, dans les murailles.

C’est de Nice que sortit, en 1522, la caraque Sainte-Anne, le plus grand vaisseau de l’époque. »

La darse de Nice est un texte découvert dans le « Précis analytique des travaux de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen », publié en 1940.

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Les deux ports de Nice
FRANCE

Les deux ports de Nice

par JMS 25 novembre 2024

Les deux ports de Nice est une histoire qui raconte comment la vie économique de la cité a été favorisée par ces abris.

 » Au début du XIIIème siècle, l’agglomération niçoise disposait de deux ports naturels : Saint-Lambert et le port de Lympia.

Le premier était situé entre les Ponchettes, extrémité rocheuse, pointant en mer, des hauteurs du Château, à l’est, et l’embouchure de la petite rivière, le Paillon, à l’ouest.

 Le second, à l’orient des hauteurs du Château, entre le pied de celles-ci et les quartiers actuels du Lazaret et de Montboron.

Aujourd’hui, le port Saint-Lambert a totalement disparu et le port de Lympia est devenu le seul port de Nice.

Dans le port Saint-Lambert, les navires de guerre se mêlaient aux navires de commerce. Au vrai, le port Saint-Lambert était, par-dessus tout, marchand.

A l’exportation, assez active, on trouvait : des huiles d’olive, des vins, des fruits confits, des parfums, des soies grèges, du sel, du bois de charpentes, des cordages, des étoffes de laine tissées à Drap.

Les importations consistaient en blé, comestibles, tissus variés.

Le port de Lympia, où se déversaient des sources limpides, n’avait reçu aucun aménagement. Mais, en 1251, il fut transformé de fond en comble. »

Les deux ports de Nice est un texte issu du « Précis analytique des travaux de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen », publié en 1940.

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Séjour à Nice (7)
FRANCE

Séjour à Nice (7)

par JMS 22 novembre 2024

Séjour à Nice est un récit, en plusieurs épisodes, qui décrit les agréments de cette ville de la Méditerranée.

 » De cette terrasse où l’on vient respirer le soir el chercher les douces émotions que j’essayais de vous peindre, on a pu assistera des drames terribles.

C’était vers l’année 1854.

Un navire sorti du port de Gênes se trouva en vue du port de Nice dans une situation désespérée.

La mer était affreuse. Le navire, secoué comme une coque de noix par les vagues, et dont le grand mât était brisé, ne gouvernait plus.

Les Niçois contemplaient, du rivage, avec une morne stupeur, cette scène navrante, sans pouvoir porter aucun secours aux malheureux qui semblaient condamnés à périr, car la tempête, qui poussait leur navire à la côte, empêchait qu’on pût aller jusqu’à eux.

Tout à coup on vit le clergé de Nice, sorti des églises, se rendre processionnellement sur ce rocher des Ponchettes qui domine tout le paysage, et sous lequel la mer s’engouffrait avec fureur.

Ne pouvant aider les malheureux passagers à entrer dans le port de Nice, les prêtres leur apportaient les paroles de pardon et de bénédiction qui ouvrent aux naufragés des mers les ports de la vie éternelle.

Ce fut une scène d’une majesté et d’une émotion inexprimables.

On voyait les marins et les passagers agenouillés sur le navire autour duquel grondait la mer réclamant sa proie, et l’évêque de Nice, debout sur le rocher des Ponchettes, faisait descendre sur ces fronts courbés les paroles qui absolvent el qui réconcilient.

Mais le dénouement fût inattendu : la mer n’eut que le navire.

Au moment où il sombrait, une barque grecque qui, vigoureusement manœuvrée, revenait de la haute mer, recueillit l’équipage et réussit à entrer dans le port.

Le lendemain, on voyait les naufragés prosternés dans la cathédrale et rendant leurs actions de grâces. »

Séjour à Nice est un texte trouvé dans la revue « La Semaine des familles » du 9 mai 1860.

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Lettre à Catherine Ségurane (4)
FRANCE

Lettre à Catherine Ségurane (4)

par JMS 21 novembre 2024

Lettre à Catherine Ségurane (4) est une étude où l’auteur cherche à démontrer que l’héroïne niçoise n’a jamais existé.

 » En 1642, le Père Giuglaris prononce, à la cathédrale, un sermon où il dit, comme Fighiera, que, en 1543, beaucoup de Niçoises avaient combattu sur les remparts.

Mais le jésuite niçois compare nos concitoyennes de 1543 à des Amazones.

Celles de l’antiquité hellénique ont de fort beaux noms. Et vous n’étiez encore connue que sous un vilain sobriquet.

Or, votre buste a inspiré deux inscriptions, dont nous ignorons la date.

L’une est sur la base. Voici pour la première fois votre prénom et votre nom, que nous ignorions encore ; et, cela va de soi, le sobriquet sous lequel on vous avait connue : « Catherine Ségurane, dite donna Maufaccia ».

L’autre sur la pierre de la niche : « L’Amazone niçoise, alors que les Turcs montaient à l’assaut, courut à leur rencontre, enleva un drapeau et mérita le triomphe ».

L’Amazone ! le triomphe !

Je suppose que le Père Giuglaris, un érudit, y est pour beaucoup.

Ne serait-il pas aussi le père de votre prénom, Madame, et de votre nom ?

En tout cas, l’Amazone rappelle son sermon de décembre 1642.

N’est-il pas probable que ces deux inscriptions furent faites en 1643, pour le premier centenaire du siège de Nice ?

Enfin, un polisson natif de Villefranche se permet d’endommager la sculpture. Notre municipalité la répare en 1653.

A dimanche prochain, Madame, je vous prie, et avec tous mes meilleurs hommages. »

Lettre à Catherine Ségurane est un texte découvert dans la revue « L’Éclaireur du dimanche » du 19 août 1929, sous la plume de Georges Doublet.

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Attentat évité à Monaco
MONACO

Attentat évité à Monaco

par JMS 20 novembre 2024

Attentat évité à Monaco est un récit loufoque sur un joueur du Casino.

 » Les joueurs qui fréquentent les salons de jeu à Monte-Carlo viennent de l’échapper belle.

Un homme d’un certain âge et de mise très correcte, s’intéressait à la roulette, mais avant de miser sur la rouge ou sur la noire, il avait toujours soin de porter la main à sa poche.

Des détectives au service du prince de Monaco, intrigués autant par son manège que par sa veine persistante l’observèrent discrètement et le virent soudain sortir de sa poche une corde à sauter.

Le doute n’était plus permis…

L’intention de ce joueur inconnu était manifeste. Il était venu pour faire sauter la banque.

Avec tous les ménagements d’usage, le malheureux déséquilibré fut conduit dans les jardins et confié aux soins d’une nurse sous la surveillance de qui, faisant tourner sa corde, il se livra paisiblement à son sport favori. »

Attentat évité à Monaco est un texte tiré du journal « Le Régiment » du 17 janvier 1924.

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