Episode 48 des Mystères de la Riviera porte sur un château construit dans une nouvelle station balnéaire.
Sa construction a commencé en 1890 et sera interrompue par l’assassinat de son architecte.
Qui a fait construire ce château ?
Dans quelle ville peut-on encore le voir ?
Vous pouvez transmettre vos répondre en cliquant ICI.
Episode 48 des Mystères de la Riviera rend hommage à une construction qui est une balise voire un phare de son époque.
Fouilles au couvent de Cimiez raconte les premières découvertes archéologiques faites sur ce site de la ville de Nice.
“Au-dessus de Saint-Pons, à Nice, est le couvent de Cimiez, qui appartient aux Récollets, et qui est bâti sur les ruines de l’ancienne ville romaine de ce nom.
On y a découvert un grand nombre d’inscriptions.
En 1787, un voyageur allemand ayant eu la permission de faire des fouilles dans le jardin, y trouva deux petites statues de bronze d’un pied et demi de haut, et une de marbre à-peu-près de même grandeur.
Deux ans après, la princesse Lubormirska fit faire aussi des fouilles dans d’autres endroits du même jardin.
Elles produisirent une clef et un anneau d’or antiques, un lare représentant Jupiter, plus de cent médailles de différents empereurs, quelques morceaux de mosaîque, et des restes d’un grand aqueduc qui conduisait l’eau à Cimiez.”
Fouilles au couvent de Cimiez comporte un extrait du livre “Voyage dans le département des Alpes-Maritimes” de S. Papon, publié en 1804.
Brève n°96 de Passion Riviera révèle de courts fragments de l’histoire de la Riviera et de ses habitants au cours du temps.
“Je suis prêt à rencontrer mon créateur.
Quant à savoir s’il est préparé à l’épreuve de me voir, c’est une autre histoire.”
Mots de l’homme d’Etat anglais Winston Churchill, qui a souvent séjourné sur la Côte d’Azur.
Brève n°96 de Passion Riviera espère vous donner envie de consulter régulièrement le blog Passion Riviera.
Erreurs de parcours sur l’hippodrome de La Napoule raconte un épisode amusant lors de la réouverture du champ de course.
“La réouverture du champ de courses de La Napoule s’est effectuée dimanche dernier, sous un ciel gris.
L ‘assistance était composée de l’élite de la société mondaine de Cannes et des environs, et dès les premières heures de la matinée, ce fut une très grande animation qui régna en ville.
Autos, autocars, voitures hippomobiles, tramways étaient bondés de sportsmen qui, en foule, se rendaient sur le coquet hippodrome de La Napoule entièrement remis à neuf.
Les travaux effectués sur la piste, les nouvelles dispositions qui ont été prises par la Société des Courses ont été très appréciés du public.
Certaines tribunes, pourtant, ne lui ont pas donné entière satisfaction, celles-ci étant découvertes, et en conséquence, exposant les assistants à l’inclémence du ciel.
Il est pourtant à noter que depuis sept ans le champ de courses était fermé et que le succès réalisé pour cette première réunion récompense largement la peine du comité organisateur, qu’il y a lieu de féliciter.
Les jockeys, qui la veille, couraient sur l’hippodrome du Var, se sont trouvés fort dépaysés —c’est compréhensible — sur l’hippodrome de La Napoule, qu’ils ne connaissaient pas.
C’est ce qui explique pourquoi, sur quatre courses, ils se sont trompés de parcours, ce qui a causé d’agréables et de désagréables surprises aux joueurs. “
Erreurs de parcours sur l’hippodrome de La Napoule date de …1921. Cette histoire figure dans “L’Eclaireur du dimanche” du 6 février.
Brève n°95 de Passion Riviera révèle de courts fragments de l’histoire de la Riviera et de ses habitants au cours du temps.
” Guillaume D., propriétaire d’un fief dans le duché de Meckiembourg-Schwerin, s’est pendu à Monaco le 17 décembre 1878.
Il laissait à l’hôtel et ailleurs 2.534 francs de dettes.
C’était un hôte assidu des salles de jeux.”
Extrait de la “Gazette de Magdebourg” 1881.
Brève n°95 de Passion Riviera espère vous donner envie de consulter régulièrement le blog Passion Riviera.
Episode 47 des Mystères de la Riviera porte sur un restaurant posé sur un nid d’aigle offrant une vue imprenable sur la mer.
Avec ses tours et ses remparts crénelés, l’établissement se donnait un faux air de château.
Ce restaurant s’appelait Fan Farigoule.
Dans quelle ville pouvait-on venir y boire un thé ou un chocolat ?
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Episode 47 des Mystères de la Riviera cherche encore à savoir ce qu’il est advenu de ce restaurant.
La chienne la plus célèbre de Monaco raconte le rôle crucial de ce animal dans le bon déroulement du tir aux pigeons.
“Rendons à César ce qui appartient à César.
Parmi les nombreux employés qui s’occupent de ce tir aux pigeons célèbre par le monde entier, il en est un remarquable à tous égards, et qui par son habileté a su conquérir toutes les admirations et toutes les sympathies.
Cet employé est vêtu de brun et possède quatre pattes.
Cet employé est une chienne, et fait la besogne que jadis faisaient deux employés à deux pattes et à casquette d’uniforme.
Son nom est Nelly.
Dans une journée, il se tire environ huit cents pigeons.
Sur les huit cents, il en est au moins six cents qui, je ne dirai pas mordent la poussière, à Monte-Carlo, il n’y a pas de poussière, mais qui tombent, tués ou blessés, sur le gazon.
Du moment où ils ont été touchés, ils appartiennent à Nelly.
Placée entre les jambes du célèbre Gentil, un vieux matelot qui a fait six fois le tour du monde, et se repose maintenant dans la fonction qui consiste à tenir Nelly par son collier et à lui débarbouiller de temps en temps son museau chargé de plumes, elle suit des yeux le tireur et le pigeon sortant de la boite.
A la manière dont le chasseur se campe sur son fusil, elle semble deviner le sort de l’oiseau.
L’éclair du coup de fusil n’a pas plutôt jailli, qu’on la voit s’élancer ou rester en place.
Si l’oiseau est touché, Nelly en un clin d’œil, aussi bien au premier pigeon qu’au six-centième, a parcouru les trente, ou quarante, ou cinquante mètres de distance qui la séparent de l’endroit où il se trouve.
Souvent l’oiseau n’est que blessé, il proteste en voyant arriver un nouvel ennemi, puis cherche à s’envoler et à franchir la barrière.
Nelly, avec une merveilleuse adresse, le saisit et le happe parfois en l’air.
Plusieurs fois, aux applaudissements du public, elle a rétabli certaines parties et décidé de certaines victoires.
Un sportsman reconnaissant auquel elle avait fait gagner un prix de vingt mille francs, lui a fait cadeau d’un collier neuf.
Dans la race canine, Nelly est un chef-d’œuvre.
Elle mérite d’être rangée parmi les chiens célèbres.”
La chienne la plus célèbre de Monaco est un extrait du livre ” La comédie de notre temps ” de Bertall, publié en 1874.
Brève n°94 de Passion Riviera révèle de courts fragments de l’histoire de la Riviera et de ses habitants au cours du temps.
“Un pêcheur a retrouvé, ce matin, à peu de distance du rivage, le cadavre de l’aviateur Gaudart, qui se noya le mois dernier pendant le meeting d’aviation de Monaco.”
Extrait du journal ” L’Humanité ” du 11 mai 1913.
Brève n°94 de Passion Riviera espère vous donner envie de consulter régulièrement le blog Passion Riviera.
La bouillabaisse de Beaulieu rappelle, qu’à la fin du XIXème siècle, les hivernants allait se régaler de poissons frais dans cet endroit charmant.
“Le village de Beaulieu, se trouve à l’est de la presqu’île de Saint-Jean.
Il est semé, tout le long de la mer, de villas délicieuses et de joyeux cabanons.
On s’y donne rendez-vous, le dimanche, pour aller manger sur le pouce, la bouillabaisse ou quelque autre plat confectionné avec des poissons fraîchement péchés.
De tels mets, un homme d’esprit ne les dédaigne jamais. Puisque, d’après Brillat-Savarin, l’homme d’esprit seul sait manger.”
La bouillabaisse de Beaulieu-sur-Mer trouve son inspiration dans le livre ” Nice pratique et pittoresque ” de MM. A. Lacoste et G. Pietri, publié en 1888.
Brève n°93 de Passion Riviera révèle de courts fragments de l’histoire de la Riviera et de ses habitants au cours du temps.
Le 21 Mars 1925 a lieu la création au théâtre de Monte-Carlo de l’Enfant et les sortilèges, fantaisie lyrique en deux parties, composée par Maurice Ravel, en collaboration avec la romancière Colette qui en a écrit le livret.
La chorégraphie est de George Balanchine, célèbre chorégraphe russe.
Brève n°93 de Passion Riviera espère vous donner envie de consulter régulièrement le blog Passion Riviera.