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En villégiature à Nervi
ITALIE

En villégiature à Nervi

par JMS 16 janvier 2023

En villégiature à Nervi est un article qui détaille les charmes de cette nouvelle station de la Riviera italienne.

 » Nervi, ce nouveau lieu de villégiature a été inauguré lors de l’hiver de 1870 et a pris de l’importance depuis la visite de l’impératrice de Russie en 1874-75.

La présence du général de Molkte y a amené par ailleurs la colonie allemande.

Au bord de la mer à Nervi

La ville est longée par la grande rue, parallèle au rivage. De la place centrale part l’allée de la Marine plantée de palmiers et de citronniers, avec des maisons meublées à louer.

Parmi les hôtels l’Eden est le plus grand et le mieux placé. Il dispose d’un grand vestibule, de grands couloirs, d’un large escalier. Les salons et chambres sont à l’avenant. Plus de cent personnes peuvent y séjourner pour un prix de 10 francs avec un bon service.

Sa façade donne sur un immense jardin planté d’arbres verts donnant au sud sur la mer. Les malades peuvent faire de longues promenades sans sortir du domaine.

Le Grand Hôtel, propriété du marquis Grapallo, a également de beaux jardins de premier ordre et bien tenu.

Plus central, l’hôtel Victoria est un peu moins grand et se présente bien avec sa galerie orientée plein sud.

Ensuite, on découvre des maisons plus modestes. Des villas sont en pleine ville et sur les hauteurs. Beaucoup de familles préfèrent les villas.

Climat agréable à Nervi

La ville de Nervi est défendue du nord par des collines où les maisons blanches tranchent sur le vert des oliviers.

Au bord de la mer est un petit sentier bordé d’une muraille ; les malades vont s’y asseoir au soleil. Les habitants du Nord y viennent de plus en plus pour les maladies de poitrine. Il existe d’ailleurs un sanatorium de tuberculeux.

Nervi est donc bien abrité et offre un climat favorable. Il y a d’ailleurs les mêmes plantes qu’à San Remo : aloès, agave, palmiers, bananiers, bambous, citronniers…

En villégiature à Nervi est un récit découvert dans le livre « Villes d’hiver et bains de mer de la Corniche franco-italienne » du docteur Auguste Labat, publié en 1898.

Cet épisode se prolonge avec l’article « En route vers Rapallo« .

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Brève n° 10 de Passion Riviera
MONACO

Brève n°10 de Passion Riviera

par JMS 6 novembre 2025

Brève n°10 de Passion Riviera révèle de courts fragments de l’histoire de la Riviera et de ses habitants au cours du temps.

« Monsieur le baron de Rothschild, en villégiature à Nice, est allé l’autre jour à Monaco et il est entré à la maison de jeu – sans argent- ce qui est beau de la part d’un homme qui en a tant.
Il n’avait pas apparemment l’intention de jouer, mais la curiosité le prit et il emprunta vingt francs.
Il en jette cinq sur le tapis, et en quelques minutes il avait gagné trente louis qu’il empocha sagement. »

Extrait du journal « Le Figaro » du 4 janvier 1867.

Brève n°10 de Passion Riviera espère vous donner envie de consulter régulièrement le blog Passion Riviera.

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Altesses impériales au Cap Martin
FRANCE

Altesses impériales au Cap Martin

par JMS 29 octobre 2025

Altesses impériales au Cap Martin raconte la rencontre entre François-Joseph, Elisabeth d’Autriche et l’impératrice Eugénie, veuve de Napoléon III.

 » François-Joseph d’Autriche était, avec les femmes, d’une exquise et délicate courtoisie et qui semblait d’un autre âge.

J’en surpris un témoignage charmant lorsqu’il quitta le Cap Martin après sa dernière villégiature avec l’Impératrice.

La voiture qui les conduisait à la gare filait à travers les pins, lorsque soudain apparaît au détour du chemin, se détachant sur le vert panache d’un palmier, une femme en deuil, toute droite sous ses cheveux blancs et qui portait encore dans la finesse de ses traits, la noblesse de sa taille, les traces d’une souveraine beauté.

Appuyée sur une canne à pomme d’or, elle semblait les attendre.

Effectivement, elle leur fait signe.

L’Empereur aussitôt descend de voiture avec l’Impératrice, se découvre et s’inclinant très bas, lui baise la main ; puis ils font, dans la bruyère, quelques pas en causant.

Mais les minutes fuient : il faut partir.

L’Impératrice alors l’embrasse avec un tendre respect, l’Empereur ému, s’incline de nouveau très profondément devant elle.

Et la voiture repart à vive allure emportant les augustes voyageurs tandis que la noble dame, immobile, appuyée sur sa grande canne, les suit du regard jusqu’à ce qu’ils aient disparu.

Ils venaient de saluer… l’impératrice Eugénie, qui ne se doutait pas que dans le baiser de l’impératrice Elisabeth il y avait un suprême adieu… »


Altesses impériales au Cap Martin provient du livre « Leurs Majestés  » de Xavier Paoli, publié en 1912.

Au Cap Martin, l’impératrice Eugénie vivait dans la villa Cyrnos.

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LES VILLAS DE CELEBRITES SUR LA PROMENADE DES ANGLAIS
FRANCE

Les villas de célébrités sur la promenade des Anglais

par JMS 24 octobre 2025

Les villas de célébrités sur la promenade des Anglais ont toujours attiré les touristes, curieux de voir les lieux de villégiature de l’élite de la vie mondaine.

 » Sur la Promenade des Anglais, on rencontre donc successivement :

La villa Gautier qui s’appela d’abord villa Souvaroff et que cette princesse gagna, dit-on, un soir à Monte-Carlo.

L’ancienne villa Dalmas (n° 25) où se retira après 1830 le dey d’Alger et où logea plus tard Meyerbeer ; c’est là, dit-on, — d’autres affirment que c’est à l’Hôtel des Princes, aux Ponchettes, — que le grand compositeur écrivit le troisième acte de L’Africaine, tandis que le flot de la Méditerranée berçait la rêverie du maestro.

Plus loin on voit la villa Diesbach qui a reçu tour à tour le grand-duc Michel, le prince et la princesse de Wurtemberg, puis le duc de Mecklembourg-Strelitz.

La villa Stirbey qu’habitèrent d’abord (1851) l’impératrice douairière de Russie, ensuite (1875) l’infortuné sculpteur Carpeaux.

La villa Lions où sont morts la grande-duchesse Stéphanie de Bade, en 1859; Ali-Pacha, en 1859 et le roi de Bavière, en 1868.

L’ancienne villa d’Acquaviva, qui appartient aujourd’hui au prince Radziwill, et où séjourna aussi l’impératrice douairière de Russie.

La villa Lavit, occupée, en 1857, par le grand-duc Constantin.

L’ancienne villa Carlone qui fut habitée de 1812 à 1814 par la princesse Pauline Borghèse, soeur de Napoléon 1er.

Enfin la villa n° 85 qui a appartenu à Villemessant, le directeur du Figaro.

Cet inventaire des villas de célébrités sur la promenade des Anglais date de …1888. Il figure dans le livre  » Nice pratique et pittoresque  » écrit par  MM. A. Lacoste et G. Pietri.

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Saint-Tropez avec bravade
FRANCE

Saint-Tropez avec bravade

par JMS 11 juillet 2025

Saint-Tropez ave bravade est une histoire qui raconte la fête ancestrale de cette ville de villégiature du Var.

 » Dans les Maures, le village de Saint-Tropez continue, chaque mois de mai, à faire trembler ses vieilles maisons avec la pétarade des tromblons de ses bravadeurs.

L’origine exacte de cette bravade, bien malin qui la découvrira.

L’essentiel est de la célébrer et de ne pas manquer d’évoquer par là le passé héroïque de cette petite république de soldats et de marins.

Alors, pendant trois jours, Saint-Tropez en effervescence voit processionner la statue du patron local sur les épaules de mousquetaires empanachés et tricolores, de hussards inconcevables, de marins, de grenadiers fantaisistes, bottés, casqués, galonnés, chargés de plumes, d’épaulettes et d’aiguillettes.

Ayant fait bénir solennellement leurs armes, entendu la messe dans une église éclatante de tambours et de fifres, ils déchargent, des après-midis durant, leurs tromblons bourrés de poudre noire jusqu’à la gueule.

Et dans la fumée qui s’enfle sous le soleil, tourbillonne suivant un rite immuable la longue pique du capitaine de ville, noir et or, superbe comme un amiral du Second Empire.

Elle n’est pas près de mourir celle-là de tradition.

Il faudrait que les Tropéziens aient perdu leur âme.

Songez un peu : la liste de ces capitaines de ville qui se renouvellent chaque année et qu’on choisit parmi les plus purs Tropéziens remonte à 1558. »

Saint-Tropez avec bravade est un texte trouvé dans le « Le Journal » du 20 novembre 1931.

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Histoire de Cannes
FRANCE

Histoire de Cannes

par JMS 20 juin 2025

Histoire de Cannes est un article qui rappelle les temps forts du passé de cette ville de villégiature.

« A quelques 30 kilomètres de Nice, Cannes s’alanguit dans la quiétude dans un coin du golfe de la Napoule, abritée des vents par l’Esterel aux lignes sauvages et par les hauteurs de Grasse.

Aux premiers siècles de notre ère la colline du Mont-Chevalier seule était peuplée.

C’est actuellement le vieux quartier du Suquet situé sur l’emplacement de l’antique cité d’Aegytna capitale de la tribu celto-ligure des Oxybü.

Cette cité fut détruite par les Romains, sous les ordres du Consul Quintus Opimus, mais les colons de Marseille la reconstruisirent et elle prit le nom de Castellus Marsellinum, puis plus tard celui de Costrum Torum.

Elle fut par deux fois complètement dévastée : par les Lombards au VIIIème siècle, par les Sarrasins au Xème.

Des familles italiennes originaires de Gênes la repeuplèrent et elle devint Castrum de Cannis.

Ces Génois la fortifièrent. De cette époque datent la Tour carrée du Château et le donjon de l’Ile Saint Honorat.

Comme Nice, elle fut par la suite sujette des Comtes de Provence qui y édifièrent le château du Mont Chevalier.

Peu à peu la bourgade s’agrandit à l’Est et au Sud-Est et devint cité de 2.000 habitants. C’étaient surtout des pêcheurs.

Cannes fut également vassale des Abbés de Lérins, puis en 1524 devint possession espagnole.

L’année suivante François er prisonnier à Pavie s’arrêta à Saint Honorat où il laissa en don la Châsse magnifique qui contient les reliques de ce saint.

Cannes alors connut une période excessivement agitée. Français et Espagnols se la disputant sans cesse.

En outre, la peste y fit en 1580 de terribles ravages. Elle s’en releva néanmoins mais pour être la proie des guerres de religion.

Sous le règne de Charles de Lorraine elle retrouva quelque tranquillité ; puis de 1630 à 1660 elle fut à nouveau aux mains de l’Espagne. L’Eglise Notre-Dame d’Espérance est un vestige de cette période.

En 1746, Cannes est livrée au pillage par les Anglais et les Autrichiens.

Par contre, la période révolutionnaire y laissa peu de traces pas plus que l’Empire, si ce

n’est que, le 1er mars 1815, Napoléon s’y arrêta, de retour de l’ile d’Elbe.

Ce n’est que de 1838 que date ce qu’on appela la « fortune de Cannes », grâce à Lord Brougham, riche Anglais qui sut tout mettre en œuvre pour attirer et retenir ses compatriotes sur cette plage privilégiée.

Aujourd’hui, Cannes est une station hivernale de luxe, rivale de Nice son aînée, et chaque jour la voit grandir. »

Histoire de Cannes est un texte découvert dans la « Revue municipale » du 1er janvier 1929.

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Roulette musicale à Monaco
MONACO

Roulette musicale à Monaco

par JMS 7 mai 2025

Roulette musicale à Monaco raconte comment jouer au casino de Monte-Carlo sans l’avouer.

 » Les concerts de Monte-Carlo sont excellents, surtout le jeudi, où la musique classique seule défraye le programme.

Les matinées attirent tous les abonnés du Conservatoire en villégiature à Nice, à Menton, à Cannes, à Antibes, voire à Bordighera et à San Remo.

On dit que Mozart, Beethoven, Haydn, Mendelssohn, Wagner, etc., ont bon dos, et qu’un nombre immense de maris, de femmes, de fils, de pupilles, qui prétendent aller le jeudi à Monte-Carlo pour le concert classique, se contentent de prendre un programme à l’entrée afin de le rapporter, le soir, comme pièce de conviction.

Eh bien ! franchement, ils ont tort.

Le concert vaut la roulette et le trente-et-quarante. Il vaut mieux même dans ce pays enchanté où, si l’on pouvait se distraire de la préoccupation des jeux, tout porterait au rêve et à l’harmonie. « 

Roulette musicale à Monaco et un texte extrait du livre « Les stations d’hiver de la Méditerranée » de Gabriel Charmes, daté de 1885.

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L'Eden-Roc est triste
FRANCE

L’Eden-Roc est triste

par JMS 19 décembre 2024

L’Eden-Roc est triste est une histoire qui honore l’œuvre d’Antoine Sella à l’occasion de son décès.

 » Un grand deuil vient affliger non seulement tout une famille estimée à tant de titres sur la Riviera, mais cette belle région entière, où celui qui vient de disparaître laisse les témoignages d’une œuvre magnifiquement édifiée par lui au plus éclatant profit du renom et de la prospérité de notre grande villégiature méditerranéenne.

Antoine Sella, le créateur de l’Hôtel du Cap d’Antibes, le créateur de la Villa Privée, devenue par la suite le Grand-Hôtel du Cap, où il a reçu des rois et des princes, est mort à Antibes, à l’âge de 78 ans, au bout d’une carrière dont les labeurs, les succès et les bienfaits désignent sa mémoire à toutes les louanges comme à tous les regrets.

Antoine Sella, à qui notre Côte d’Azur doit, en dernier lieu, l’admirable création du Pavillon Eden-Roc, était de plus un grand philanthrope dont l’activité généreuse ne cessait de rayonner autour de lui.

Il venait d’être nommé commandeur de la couronne d’Italie. »

L’Eden-Roc est triste est un texte découvert dans le journal « Comoedia » du 27 février 1931.

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Pénurie d'ânes à Menton
FRANCE

Pénurie d’ânes à Menton

par JMS 5 décembre 2024

Pénurie d’ânes à Menton

Pénurie d’ânes à Menton est une histoire qui raconte comment la fête de Saint-Agnès a perturbé les loueurs de cette villégiature.

 » Jamais ministre de la guerre ne fit réquisition de chevaux et de mulets pour les services de l’armée pareille à la réquisition de bourriques qu’ont faite pendant les huit derniers jours les loueuses d’ânes de Menton.

Ce n’est pas vingt, ce n’est pas trente, ce n’est pas soixante, ni cent, ni cent cinquante, c’est deux cents au moins de ces bons quadrupèdes qu’il a fallu trouver.

C’était, lundi dernier, la fête du village de Sainte- Agnès, et tout ce qu’il y a de valide dans la colonie anglaise a voulu grimper sur le plateau où sont les ruines.

Deux cents ânes !

C’est tout un régiment de cavalerie, et il n’y a certainement pas à Menton deux cents bourriques valides capables de fournir pareille traite.

Les roussins ont pourtant été livrés.

Les loueuses aux abois avaient télégraphié dans toutes les directions.

Ce fut pendant quelques jours un échange de dépêches et de correspondances burlesques.

Les possesseurs d’ânes de Roquebrune, surpris de tant de demandes, répondaient aux réquisitionneuses de Menton : « Votre demande nous étonne : nous pensions que Menton était suffisamment pourvu, d’ânes » (les malins !).

Lundi matin a eu lieu le départ de la Cavalcade pour Sainte-Agnès.

C’était une fourmilière de haquenées à longues oreilles.

Les deux cents touristes s’étaient divisés par escouades. Il en partait de toutes les directions. Plusieurs hôtels ont été déserts toute la journée.

Un temps indescriptiblement beau a favorisé cette excursion. Jamais Sainte-Agnès n’avait vu pareille affluence de visiteurs sur son rocher. »

Pénurie d’ânes à Menton est un texte découvert dans le journal « Paris-touriste » du 3 février 1884.

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Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat
FRANCE

Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat

par JMS 27 novembre 2024

Monument Léopold II à Saint-Jean-Cap-Ferrat est un article qui rappelle que le roi des Belges venait en villégiature dans cette commune.

 » Ce matin a été inauguré à Saint-Jean Cap-Ferrat un monument élevé à la mémoire du roi Léopold Il.

On sait que le monarque possédait dans cette commune de vastes domaines et qu’il aimait, pendant la saison d’hiver, venir se reposer quelques semaines dons une coquette villa qu’il avait fait édifier au fond d’une pittoresque crique, au bord de la mer.
C’est pour cela qu’un comité s’était formé après sa mort pour perpétuer en ces parages, qu’il affectionnait tant, le souvenir de cet hôte royal.

Le monument, fort simple, s’élève au milieu du parc du Cap-Ferrat. »

Monument Léopold II est un texte tiré du journal « La Dépêche » du 29 mars 1911.

Léopold II a été roi des Belges du 17 décembre 1865 au 17 décembre 1909.Il a été le créateur de l’état indépendant du Congo qu’il a administré à son profit personnel en laissant commettre des atrocités à l’encontre de la population autochtone.

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